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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 mars 2019
_ Le personnage de 'TONY' ne représente en aucun cas les jeunes tunisiens. _ LA scène érotique au début du film est trop exagéré et enadéquat, et ne représente pratiquement rien sur la relation secrète de deux protagonistes. _ un réalisateur doit imperetivement protéger ses acteurs surtout les jeunes donc protéger Ophelie __ Monsieur ,vous n'avez pas mis en relief la beauté de la TUNISIE que vous l'aimez.spoiler: . _Je comprend l'arabe et surtout le mot 'mektoub' et j'ai regarde le film quatre fois et j'ai pas trouve la réalisation du mektoub (destin) donc mektoub 2 est impératif pour que le titre et le film deviennent compatible..
Y avait-il besoin de 2H53 pour apprécier un tel film ? Sûrement pas. C'est bien dommage car les jeunes acteurs sont convaincants. Kechiche semble ne pas savoir couper les scènes. La scène dans la discothèque aurait dû durer 10 minutes, elle en fait au moins trente. Avec un film ramené à 90mn, on aurait assister à un spectacle bien plus digeste et cela aurait donner à la mise en scène le rythme qui lui manque.
Un joli Drame romantique coécrit et mis en scène par Abdellatif Kechiche. Si l'on peut regretter le manque total de consistance du scénario, ce film démontre néanmoins de grandes qualités : une photographie délicate, de superbes décors naturels méditerranéens, une BO attractive et une superbe scène de naissances d'agneaux. L'affiche nous permet d'apprécier des acteurs débutants comme la pétillante Lou Luttiau (Celine), la belle présence d'Ophélie Bau dans le premier rôle féminin d'Ophélie et l'honorable prestation de Shaïn Boumedine dans le premier rôle masculin. La jeunesse des comédiens donne des dialogues très frais, semblant parfois improvisés. Dommage que cette réalisation ne nous offre pas plus de rythme, bon nombre de scènes se révélant beaucoup trop longues
CHIANT À CREVER. Il ne se passe strictement rien du début à la fin et les dialogues sont interminables. Sans grand étonnement, le monde du cinéma crie au génie...
Ce film pose un sérieux problème de l'image de la femme. Et le fait que le réalisateur soit franco-tunisien aggrave mon point de vue sur la situation. J'aurais supporté des voir des femmes dénudées durant 3 heures à condition qu'il en soit de même pour les hommes. Ce film est au même niveau que les films X. Pure science-fiction. Toutes les femmes vous le diront y compris les femmes arabes qui sont des femmes comme les autres.
Face aux fesses trémoussées pendant près de trois heures, un sentiment double et trouble germe en nous : une énergie sensuelle d’une part, indéniable talent de Kechiche à capter l’effervescence de corps en transformation et faisant de l’été le cadre d’un récit d’apprentissage qui s’ignore ; une verve quelque peu redondante et nombriliste d’autre part, où le créateur se reflète tant dans sa création qu’il en exclut parfois le spectateur. Car ce jeune photographe en herbe dans Mektoub My Love : Canto Uno, c’est Abdellatif Kechiche, celui qui ne goûte les femmes que par le biais de l’art telle l’incarnation en éphèbe de l’artiste asexué. Alors on s’enivre le temps de ces amours estivaux et pastoraux, mais l’ivresse découle-t-elle d’une contagion ou de notre propre rapport – intime donc – à l’œuvre ? La longueur démesurée de certains plans nous donne l’impression d’assister à une conversation à laquelle nous ne sommes guère conviés ; puis soudain les scènes de baignade nous rabouchent à l’œuvre. C’est cette immersion en dents de scie qui déconcerte et donc traduit la puissance d’un film capable d’embarquer sans se débarquer intégralement. Gage d’une sincérité rafraîchissante.
Toutes les longueurs des films de Kechiche ne sont toujours que répétitions et complaisance. Donc s'il se décidait à travailler avec un réel chef-monteur, au lieu de reste dans la complicité de ses assistantes réalisation, il ferait un cinéma formidable de bout en bout. Pour l’instant, ce n’est pas le cas, donc il y a de la torture dans ce film, lorsqu’on n’en peut plus d’entendre « elle est belle » pour la 45e fois, entre autres. Mais il y a aussi un amour de la vie et du cinéma, et un regard critique sur ces amours adolescents que personne ne semble avoir vu jusqu’ici. Les critiques ouvriront probablement les yeux à l’opus 2 !
un film beaucoup trop bavard et trop long . Des scènes interminables à n'en plus finir. De jeunes actrices et acteurs très naturels dans leur jeu. De la sensualité débordante et à part cela pas grand chose. ne mérite pas 3 heures
Quand je lis certaines critiques de journaux qui sont dithyrambiques sur ce film, je ne comprends pas ! Mektoub my love : canto uno a fait 128 071 entrées dans le monde, autant dire un grand, grand bide, les gens ne sont pas précipités pour voir ce film, le bouche à oreille n'a pas vraiment fonctionné. Oui, la lumière est belle mais pour le reste, c'est long, ennuyeux, la scène de la naissance des agneaux n'en finit pas et que vient elle faire dans ce film ? Les dialogues sont insipides, bavards, sans intérêt et cela dure... 3 heures, incroyable ! Je trouve par contre tous les acteurs très beaux. Ophélie Bau est magnifique surtout son postérieur magnifiquement mis en valeur par Kechiche et on peut dire qu'il insiste lourdement ! Autre réussite, la musique surtout la musique traditionnelle tunisienne, qui heureusement est là pour donner un peu de rythme à ce film qui en a bien besoin. Il paraît qu'i y a une suite, je crains le pire. Que peut il bien se passer après ? J'aimerais comprendre comment on trouve que ce film est un chef-d'œuvre ?
La réalisation est superbe : vibrante, sensuelle, lumineuse. La direction d'acteurs, parfaite. On y croit, tout sonne juste. Il y a quelques moments de grâce, pure, mais aussi malheureusement de longues (très longues) séquences plus ou moins insignifiantes. Comme à son habitude, Kechiche laisse le temps au temps, pour sonder la vraie vie, même quand il ne se passe rien, ou pour cultiver une forme de suspense sur la durée (ici sentimental ou érotique). C'est bien. Encore faut-il s'intéresser à la matière, au sujet : dragouilles et amours sur la plage ou en boîte de nuit, conversations de bar... Trois heures durant. Expérience de cinéma, certes, mais expérience que l'on peut trouver un brin fastidieuse. Loin de la puissance émotionnelle de La Vie d'Adèle.
Un film sans scénario et sans dialogues, et la caméra raconte beaucoup de choses de la vie mais ne raconte pas le cinéma . Kechiche s'est embourgeoisé et a décidé de raconter son adolescence avec petit "a" Beaucoup de longueur dans les discussions (c'est pas des dialogues mais des papotages), on est loin de la dramaturgie.
C'est beau à voir par moments mais ce n'est pas du cinéma pour moi, et puis Mectoub my love e n'est pas très inspiré
Quelqu'un peut me dire en plus de toute les critiques déjà faites où est la cohérence historique?? Le film est censé se dérouler en 1994 et les personnages parlent avec des expresssions de 2018 et ne parlons pas de l'accent ou encore de l'acessoirisation ou du choix des tenus qui globalement ne colle pas du tout
Mektoub my love : canto uno, le désir selon Abdellatif Kechiche. Le réalisateur efface ses maladresses de La vie d'Adèle pour saisir tout ce qu'il y a de plus beau dans la liberté.
Tout ça pour ça ! Trois heures à attendre une intrigue, sans parler d'un "dénouement". On enchaîne les scènes en boîte et à la plage. Les coucheries des personnages les uns avec les autres. Bref, rien de bien original, la jeunesse française... Mais on sent dès les premières secondes du film que le réalisateur veut voir (et montrer ?) le corps des femmes sous toutes ses coutures (allant jusqu'à filmer sous les jupes...). J'ai eu l'impression qu'il était fétichiste des fessiers de ces dames... c'est lassant et même gênant. Il devrait peut-être suivre une petite thérapie... heureusement que les acteurs sont bons, beaux et frais !