Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un chant vif, lumineux, presque trois heures d'une fluidité incomparable, véritable ode à la famille, à la fraternité métisse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Josué Morel
Il fallait donc que Kechiche s’abandonne pleinement à la richesse et à l’impromptu de l’événement pour livrer son film le plus libre et minutieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Chef-d'oeuvre. Point.
L'Humanité
par Dominique Widemann
On découvre de magnifiques comédiens qui ne l’étaient pas hier. Hafsia Herzi est de retour, dix ans après la Graine et le mulet, en jeune tante indulgente et drôle. L’intérêt n’est pas dispersé. Les émancipations se transmettent par voix de mères. Et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Romain Le Vern
Un hymne solaire à la vie, à l'amour, aux corps, à l'avenir, dans lequel le réalisateur filme avec une intense sensualité un groupe de jeunes le temps d'un été lumineux à Sète. Le cinéma comme on aimerait qu'il soit toujours et partout.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
C’est un grand film sur la jeunesse, sur le rapport aux autres, sur la volonté de vivre paisiblement. "Mektoub my love", il fallait de l’amour dans le titre, car c’est bien le fil d’Ariane du film : l’amour de la vie.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le tout est magnifiquement éclairé dans un geste de cinéma radical, d'une beauté suffocante si difficile à dompter malgré les apparences.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
POUR : Un cinéma vérité, brûlant et lyrique, qui emporte.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Pour son sixième long-métrage, Abdellatif Kechiche ouvre en grand les fenêtres de son cinéma et plonge dans un tourbillon de scènes dont le caractère extensif n’a d’égal que la sensation de plénitude, créant un appel d’air si intense qu’on parvient à peine à y reprendre son souffle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Dans des scènes qui s’étirent, le cinéaste observe ses sujets vivre. Sa caméra filme les corps sous une lumière sublime. Et nous livre 2h55 d’une fresque naturaliste de toute beauté sur la jeunesse et le désir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Avec Mektoub, Kechiche se débarasse de toute la négativité qui traverse son cinéma pour capter sans mélange ce qui l'a toujours hanté : filmer la vie, étreindre le naturel, c'est, dans les deux cas, un éternel mouvement, une subite ivresse du réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Autour d’un trio amical et amoureux, Abdellatif Kechiche filme somptueusement la plage, le soleil et les corps et, sans les démêler, s’attarde sur ce qui est écrit et ce qui ne l’est pas dans le magnifique premier volet d’une fresque fleuve.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
POUR : (...) fracassant, inattendu et excitant.
Première
par Frédéric Foubert
L’été est chaud, les filles sont belles, le soleil écrase tout. Et le cinéma de Kechiche est à poil, sublime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par François Bégaudeau
Avec "Mektoub my love, canto uno", Abdellatif Kechiche porte son art vitaliste à son point culminant.
Voici
par Lola Sciamma
Un conte d'été, hymne à la vie, à l'amour et au désir.
BIBA
par Lili Yubari
Un hymne hédoniste à la vie, qui ressemble à un flirt sans fin.
CNews
par La rédaction
D’un matériau de grande qualité – le roman de François Bégaudeau salué par la critique, "La Blessure, la vraie" – Kechiche tire un film au style naturaliste dont il a le secret, pour un récit d’apprentissage sensible.
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
De cette volonté de filmer une sexualité crue et assumée, en passant par cette si rare justesse à dépeindre l’adolescence comme une période où se côtoient la vacuité et le sublime, jusqu’à la révélation d’une France multiculturelle ; c’est sans doute ce dernier axe, qui confirme, une fois de plus, l’indispensable place de ce réalisateur dans le paysage cinématographique français.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
En de longues séquences intenses, Abdellatif Kechiche capte le bouillonnement de l’adolescence et de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Khadija Moussou
Un ballet de vie : cru et ardent. Aussi, on aime ces longues conversations entre les personnages. Qui se répètent pour certaines, c’est vrai mais où on sent la recherche d’une certaine vérité, brute et sans artifices. Et rien que pour ça, nous, on ne se lasse pas de ce cinéma-là…
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un marivaudage sensuel et impétueux, emmené par de jeunes comédiens épatants et qui ne laissera personne indifférent.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Parmi plusieurs séquences splendides, la mise bas d'une chèvre sur un air de Mozart précède une autre, interminable, en boîte de nuit, où l'exhibition des corps sur la piste de danse frise la pornographie. Tout l'art de Kechiche, ce moraliste voyeur en quête de sublimation, est là résumé. Vivement le "Canto due".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
À rebours de la plupart des dialoguistes français, Kechiche écrit des répliques qui sonnent infiniment justes. On sort tous les soirs. L'après-midi, c'est baignade. Les fous rires éclatent dans les vagues ; les gouttelettes volent (pas au ralenti, quand même). Une caméra virtuose se balade parmi cette troupe bavarde, insouciante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Dilatant à l’extrême le temps de mise en place de ce qu’on peut supposer être un drame, le film flirte avec le vide pour en définitive toucher à l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dans "Mektoub My Love : Canto Uno", le réalisateur filme la vie dans ce qu’elle a de plus difficile à saisir au cinéma, le temps. Et c’est réussi.
Télérama
par Jacques Morice
Quinze ans après “L’Esquive”, une ode au bel âge, où Renoir a rejoint Marivaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Kechiche cache sous un film mineur une ambition énorme : filmer la vie lorsque rien de spécial ne s’y passe mais que toute nouvelle journée est chargée de la promesse vague, lancinante qu’il pourrait arriver quelque chose.
Ecran Large
par Simon Riaux
Les amateurs du cinéma de Kechiche apprécieront la formidable sensualité de cet opus organique, quand les autres regretteront les effets de redite d'un film trop long et stéréotypé.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui étonne le plus chez Abdellatif Kechiche et suscite l'admiration, c’est sa direction d’acteurs. Grâce à laquelle il peut étirer ses longues scènes tels des plans séquences, alors qu’elles sont très découpées.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Sans doute imparfaite, l’œuvre n’en demeure pas moins séduisante et remarquablement interprétée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Alain Masson
CONTRE : Nul ne peut sans doute montrer si longuement, en plans en mouvement très rapprochés, des personnages qui se ressemblent trop, à eux-mêmes et entre eux : la platitude est inévitable.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Après la Palme d’or et le succès, en 2013, de La vie d’Adèle, le cinéaste revient avec un film consternant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.J.
CONTRE : On regarde ses jeunes protagonistes badiner banalement comme dans un teen movie ou un épisode de téléréalité, la vulgarité en moins. Qu’importe, c’est la vie ?
Paris Match
par Aurélie Raya
Il n’y a rien à raconter, rien à résumer, le film empile des digressions interminables qui poussent le spectateur au supplice, éveillant l’espoir de recevoir un coup de fil pour échapper à ce traquenard.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
Un chant vif, lumineux, presque trois heures d'une fluidité incomparable, véritable ode à la famille, à la fraternité métisse.
Critikat.com
Il fallait donc que Kechiche s’abandonne pleinement à la richesse et à l’impromptu de l’événement pour livrer son film le plus libre et minutieux.
L'Express
Chef-d'oeuvre. Point.
L'Humanité
On découvre de magnifiques comédiens qui ne l’étaient pas hier. Hafsia Herzi est de retour, dix ans après la Graine et le mulet, en jeune tante indulgente et drôle. L’intérêt n’est pas dispersé. Les émancipations se transmettent par voix de mères. Et de cinéma.
LCI
Un hymne solaire à la vie, à l'amour, aux corps, à l'avenir, dans lequel le réalisateur filme avec une intense sensualité un groupe de jeunes le temps d'un été lumineux à Sète. Le cinéma comme on aimerait qu'il soit toujours et partout.
La Septième Obsession
C’est un grand film sur la jeunesse, sur le rapport aux autres, sur la volonté de vivre paisiblement. "Mektoub my love", il fallait de l’amour dans le titre, car c’est bien le fil d’Ariane du film : l’amour de la vie.
La Voix du Nord
Le tout est magnifiquement éclairé dans un geste de cinéma radical, d'une beauté suffocante si difficile à dompter malgré les apparences.
Le Journal du Dimanche
POUR : Un cinéma vérité, brûlant et lyrique, qui emporte.
Le Monde
Pour son sixième long-métrage, Abdellatif Kechiche ouvre en grand les fenêtres de son cinéma et plonge dans un tourbillon de scènes dont le caractère extensif n’a d’égal que la sensation de plénitude, créant un appel d’air si intense qu’on parvient à peine à y reprendre son souffle.
Le Parisien
Dans des scènes qui s’étirent, le cinéaste observe ses sujets vivre. Sa caméra filme les corps sous une lumière sublime. Et nous livre 2h55 d’une fresque naturaliste de toute beauté sur la jeunesse et le désir.
Les Inrockuptibles
Avec Mektoub, Kechiche se débarasse de toute la négativité qui traverse son cinéma pour capter sans mélange ce qui l'a toujours hanté : filmer la vie, étreindre le naturel, c'est, dans les deux cas, un éternel mouvement, une subite ivresse du réel.
Libération
Autour d’un trio amical et amoureux, Abdellatif Kechiche filme somptueusement la plage, le soleil et les corps et, sans les démêler, s’attarde sur ce qui est écrit et ce qui ne l’est pas dans le magnifique premier volet d’une fresque fleuve.
Positif
POUR : (...) fracassant, inattendu et excitant.
Première
L’été est chaud, les filles sont belles, le soleil écrase tout. Et le cinéma de Kechiche est à poil, sublime.
Transfuge
Avec "Mektoub my love, canto uno", Abdellatif Kechiche porte son art vitaliste à son point culminant.
Voici
Un conte d'été, hymne à la vie, à l'amour et au désir.
BIBA
Un hymne hédoniste à la vie, qui ressemble à un flirt sans fin.
CNews
D’un matériau de grande qualité – le roman de François Bégaudeau salué par la critique, "La Blessure, la vraie" – Kechiche tire un film au style naturaliste dont il a le secret, pour un récit d’apprentissage sensible.
Culturopoing.com
De cette volonté de filmer une sexualité crue et assumée, en passant par cette si rare justesse à dépeindre l’adolescence comme une période où se côtoient la vacuité et le sublime, jusqu’à la révélation d’une France multiculturelle ; c’est sans doute ce dernier axe, qui confirme, une fois de plus, l’indispensable place de ce réalisateur dans le paysage cinématographique français.
Dernières Nouvelles d'Alsace
En de longues séquences intenses, Abdellatif Kechiche capte le bouillonnement de l’adolescence et de la vie.
Elle
Un ballet de vie : cru et ardent. Aussi, on aime ces longues conversations entre les personnages. Qui se répètent pour certaines, c’est vrai mais où on sent la recherche d’une certaine vérité, brute et sans artifices. Et rien que pour ça, nous, on ne se lasse pas de ce cinéma-là…
Femme Actuelle
Un marivaudage sensuel et impétueux, emmené par de jeunes comédiens épatants et qui ne laissera personne indifférent.
L'Obs
Parmi plusieurs séquences splendides, la mise bas d'une chèvre sur un air de Mozart précède une autre, interminable, en boîte de nuit, où l'exhibition des corps sur la piste de danse frise la pornographie. Tout l'art de Kechiche, ce moraliste voyeur en quête de sublimation, est là résumé. Vivement le "Canto due".
Le Figaro
À rebours de la plupart des dialoguistes français, Kechiche écrit des répliques qui sonnent infiniment justes. On sort tous les soirs. L'après-midi, c'est baignade. Les fous rires éclatent dans les vagues ; les gouttelettes volent (pas au ralenti, quand même). Une caméra virtuose se balade parmi cette troupe bavarde, insouciante.
Les Fiches du Cinéma
Dilatant à l’extrême le temps de mise en place de ce qu’on peut supposer être un drame, le film flirte avec le vide pour en définitive toucher à l’essentiel.
Sud Ouest
Dans "Mektoub My Love : Canto Uno", le réalisateur filme la vie dans ce qu’elle a de plus difficile à saisir au cinéma, le temps. Et c’est réussi.
Télérama
Quinze ans après “L’Esquive”, une ode au bel âge, où Renoir a rejoint Marivaux.
Cahiers du Cinéma
Kechiche cache sous un film mineur une ambition énorme : filmer la vie lorsque rien de spécial ne s’y passe mais que toute nouvelle journée est chargée de la promesse vague, lancinante qu’il pourrait arriver quelque chose.
Ecran Large
Les amateurs du cinéma de Kechiche apprécieront la formidable sensualité de cet opus organique, quand les autres regretteront les effets de redite d'un film trop long et stéréotypé.
Franceinfo Culture
Ce qui étonne le plus chez Abdellatif Kechiche et suscite l'admiration, c’est sa direction d’acteurs. Grâce à laquelle il peut étirer ses longues scènes tels des plans séquences, alors qu’elles sont très découpées.
aVoir-aLire.com
Sans doute imparfaite, l’œuvre n’en demeure pas moins séduisante et remarquablement interprétée.
Positif
CONTRE : Nul ne peut sans doute montrer si longuement, en plans en mouvement très rapprochés, des personnages qui se ressemblent trop, à eux-mêmes et entre eux : la platitude est inévitable.
La Croix
Après la Palme d’or et le succès, en 2013, de La vie d’Adèle, le cinéaste revient avec un film consternant.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : On regarde ses jeunes protagonistes badiner banalement comme dans un teen movie ou un épisode de téléréalité, la vulgarité en moins. Qu’importe, c’est la vie ?
Paris Match
Il n’y a rien à raconter, rien à résumer, le film empile des digressions interminables qui poussent le spectateur au supplice, éveillant l’espoir de recevoir un coup de fil pour échapper à ce traquenard.