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Philippe R.
2 abonnés
50 critiques
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3,0
Publiée le 20 novembre 2014
grace a un homme qui enquete sur une "humanisation" de robots ménagers dans un monde futur et ,,vivant sur une terre radioactivée et de pluies acides , Antonio Banderas nous lie d'amitié avec ces étres de métal intelligents qui désirent uniquement l'aider ..bref ,du I robot avec des humains quoi!spoiler: spoiler:
Jolie réalisation. Par contre l'histoire se répète, dès qu'il s'agit de robots, le scénario est toujours le même. Maltraitance de ceux-ci et ils ont une âme. Vaut pas mieux que 2 étoiles et demie.
Tout n'est que successions de poncifs, de déjà vu et revu. Mais, le pire est que Gabe Ibañes nous fait toucher le fond de la nullité en nous servant des situations d'une telle invraisemblance, qu'une fois arrivé à l'image finale, on ne souhaite qu'une seule chose, tomber sur une machine à se baffer, un pied automatique à se botter le postérieur, ou un distributeur à corde pour se pendre, et ainsi, se punir de n'avoir pas eu le courage de partir dix minutes après le début de ce pénible navet. Comment un acteur de l'envergure de Banderas, peut-il se prêter à de telles inepties? Faut-il chercher un appât démesuré du gain, ou des dettes d'une ampleur abyssale?
Les films avec des robots, ce n'est pas nouveau. Ici, ce sont des automates qui ressemblent aux mannequins des crash test. L'histoire n'est pas passionnante et pourtant l'intro est accrocheuse et le monde post-apocalyptique n'est qu'à peine justifiée et le manque d'action rend le film très moyen. La réalisation est pourtant bonne et le casting est là. Mais le film ne vaut guère mieux qu'un épisode des Animatrix. Beaucoup trop long pour ce qu'il y a à montrer.
Situé entre un "Blade Runner" et un "I, Robot", "Automata" ne brille pas par son originalité. Le concept, du déjà vu, est centré sur l'émancipation des robots; une émancipation passant par la violation de leurs protocoles rappelant fortement les lois de la robotique inventées par Asimov. L'intrigue elle-même ne vole pas bien haut et demeure assez simple. Toutefois, ormis la faiblesse du scénario, le reste est honorable sans faire d'étincelles. Juste de quoi passer un moment agréable.
On peut effectivement déplorer le manque de profondeur du scénario, des personnages, toutefois correctement interprétés, et d'assez fréquentes longueurs, mais ici, l'ambiance et les décors font tout, pour seulement 7 millions de dollars de budget, somme dérisoire pour les films d'aujourd'hui. Sans oublier qu'il est le produit d'une union improbable, à la fois espagnol, bulgare, américain et canadien...
Automata fait partie de ces films qui empruntent ça et là sans réellement se demarquer ou apporter quelque chose d'original. Le monde a changé, il y a des robots pour effectuer les taches et on suit Antonio Banderas, agent d'assurance qui s'occupe des litiges robots/humains. On ne va pas spoiler ici mais le déclencheur du film est basique et on ne comprend pas trop pourquoi le personnage principal se retrouve poursuivi alors que le problème pourrait être réglé simplement. Les differents protagonistes de l'affaire sont pas trés bien utilisés, notamment la femme d'Antonio, enceinte, qui ne sert presque à rien dans le propos du film. Bref, Automata est un énième film sur la conscience des machines mais bien d'autres sont passés avant avec plus de succés.
Automata prend place dans un futur apocalyptique et reprend le principe des trois lois de la robotique d'Isaac Asimov. Les quelques villes dans lesquelles vivent les derniers survivants de l'humanité sont froides et ternes. Assistés d'androïdes régis par deux lois (Asimov simplifié), un agent de la société ROC (Jacq Vaucan/Antonio Banderas), fabricante de ces robots, intervient sur les lieux d'accidents de machines ayant violés la première loi : "ne pas porter atteinte à un humain". D'un autre côté, un policier surprend un androïde en train de se réparer (chose interdite par la deuxième loi). Le film démarre ainsi sous les meilleures hospices. L'enquête, intrigante au travers de ces robots censés être dociles, est intéressante sur la première moitié du film mais l'ensemble glisse doucement vers une conclusion qui ne mérite peut être pas 2 heures de film. Certes, le message passe mais l'ennui guette aussi le spectateur malgré une ambiance particulière. De la science-fiction mêlée à de l'anticipation pour un film qui ne ressemble en rien au genre action futuriste que la jaquette du DVD essaye de nous vendre. C'est d'ailleurs là son avantage car c'est cette mise en scène et ce rythme lent prônant l'évolution qui permettent à l'ensemble de ne pas sombrer. Automata peut se résumer comme original, surement bourré de bonnes intentions mais, maladroit et finalement assez creux par rapport au questionnement qu'il aurait pu soulever.
Un film de robots dramatique assez classique, Antonio Banderas en est le principal atout, car l'histoire et les effets spéciaux sont moyens. Surtout pour les amateurs du genre.
Le décor apocalyptique et la survie au travers des robots n'est qu'un prétexte au message que veut faire passer le film. Surtout ne pas regarder ce film comme un film d'action ou de fiction à effets spéciaux. Le message est sommes-nous les seuls à pouvoir prétendre être en vie ? Les machines super évoluée (suite à un dérèglement par la faute de l'homme : expliqué tout au long du film) peuvent-elle prétendre aussi être habité de la vie ? Malgré quelques petites erreurs et quelques scènes d'action inutiles, le film aborde assez bien le sujet. J'ai apprécié.
Un film très moyen, convaincu par un début prometteur, on se lasse vite de la mise en scène bâclé qui rend le film de plus en plus inutile plus le temps avance, rien de magistral, rien de meme potable, bef très décu
Automata, film de Gabe Ibanéz, et comme tête d'affiche mon compatriote Antonio Banderas. Film Espagnol, et de Science-Fiction, un domaine rare (très rare) dans le cinéma Espagnol.. Et en plus sans être un chef d’œuvre, le film est réussis. Avec le sujet de la conscience des machines dans une société future, du conflit entre l'intelligence artificielle et celle de l'homme, est assez récurant dans la science fiction "humaniste". Comme le montre de nombreux films comme Blade Runner, A.I., I Robot etc.. Gabe nous raconte l'histoire dans laquelle les robots fabriqués par l'être humain, finissent en démontrant une plus grande capacité pour l'intelligence émotionnelle que ceux qui les ont créés. J'ai pas grand chose à dire sur le film, la mise en scène est très bonne, le design du film est parfait, avec un monde post-apocalyptique très réussi, la photographie est bonne, les décor pareil, le casting aussi avec un Antonio Banderas tout chauve, le scénario un petit peut faible mais pas mauvais. Ainsi que le design des robots sont parfait. Ce film associe bien des éléments du cinéma du genre, tant dans la conception comme dans la visualisation des robots, franchement ingénieux. il vaut le coup de le voir, surtout avec ce qu'ils sont réussi avec un si petit budget, une esthétique post-apocalyptique, une cadence et une configuration des robots, vraiment réussite.
Au croisement de Blade Runner et de Gost in the Shell, ce Automata possède quelques atouts, notamment esthétiques, mais le scénario demeure superficiel, l'histoire sous exploitée, et les personnages trop caricaturaux... Juste la moyenne, dommage.
Film d'anticipation qui se fane au fur et à mesure de l'histoire et tombe dans les travers classiques maintes fois traitées. Cela laisse une fin convenue sans grande surprise. A déplorer également des longueurs inutiles; Juste à voir ! 3/5 !!!