Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film touchant permet de retrouver de nombreux thèmes chers au cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Cry Macho est une belle histoire de rédemption, de transmission, qui donne aussi à réfléchir sur la représentation de la virilité et le temps qui passe. Ce n’est pas son film le plus abouti, mais il n’en demeure pas moins tendre et précieux.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Semblant constamment se préparer à la mort, dans cet énième vrai-faux film testament, le corps d’Eastwood appelle sans arrêt à la sieste, au sommeil et à la paix.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Clint Eastwood enfourche les codes classiques du western et les dépoussière dans un road-trip lent et mélancolique au Mexique. Les chevaux de l’automobile ont remplacé le cheval animal et le cow-boy mutique, vieux loup solitaire, tombe amoureux. Douce love story.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tout est possible, avec le western, même l’amour. Clint Eastwood, 91 ans, se remet en selle avec Cry macho et entretient sa légende en narrant avec une désarçonnante douceur, une histoire d’amour. Le cow-boy ne dégaine plus de violence, il est désormais devenu sentimental.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Il y a dans ce film pur et simple, une bonté, un côté sentimental qui n’est pas nouveau chez le réalisateur et qui aujourd’hui saute aux yeux. Clint Eastwood n’a plus rien à prouver.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film comporte certes quelques défauts. (...) Mais les yeux toujours rieurs du grand Eastwood, l’ambiance décontractée et les péripéties permanentes de l’histoire finissent par emporter le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
L'histoire d'une éducation à la virilité et à la vie qui a des allures de film-testament.
Libération
par Camille Nevers
A travers l’histoire d’un vieil homme en mission pour ramener un enfant du Mexique, Clint Eastwood se regarde et regarde le temps passer, sublimant sa fatigue et son corps vieillissant qui ne suit plus.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Même si Cry Macho n’atteint pas les sommets récemment arpentés par le cinéaste dans la Mule ou le Cas Richard Jewell, on se réjouit de retrouver Clint dans ses nouvelles aventures.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Loup Bourget
Tourné au Nouveau-Mexique, dans des paysages arides aux tons ocre, ce film souvent crépusculaire ruisselle néanmoins du lait de la tendresse humaine.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Alors, la démarche peut bien vaciller de manière un peu plus prononcée, la voix se faire plus chevrotante, les rictus se figer davantage, l’humanité qu’il a désormais choisi de mettre en avant – et ici avec insistance – donne tout le sel à des intrigues auxquelles certains pourront reprocher une consistance assez… relative.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Frédéric Mercier
Clint Eastwood signe un nouveau film, Cry Macho, qui malgré quelques défauts, reste du très bon Eastwood.
Voici
par La Rédaction
Crépusculaire et touchant.
Bande à part
par Jo Fishley
Scénario paresseux mais austérité formelle qui caractérise toute l’oeuvre d’Eastwood.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Josué Morel
Assurément le film du cinéaste le moins accompli et ambitieux depuis un moment, mais pas non plus la catastrophe annoncée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Clint Eastwood ne change pas pour ce - faux - western déconnecté du réel et de ses évolutions, totalement apaisé. Il ne cherche pas plus à plaire, à s’inscrire dans une temporalité contemporaine qu’à caresser dans le sens du poil l’exigence d’un spectateur venu assister à la grande œuvre d’un artiste autrefois célébré. Il assume pleinement la modestie, l’anachronisme et la naïveté de "Cry macho".
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Plus fragile que vulnérable, rabougri que modeste, ce nouveau film de Clint Eastwood a des airs de fantôme essoufflé. Au moins lui reste-t-il quelques jolies scènes pour nous hanter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On ne va pas se mentir, Cry Macho nous paraît nonchalant, peu surprenant, pas toujours crédible et handicapé par une grosse erreur de casting. Voilà pour le film. Reste Clint Eastwood, qu’on passerait volontiers des heures à regarder.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Une fable bancale mais touchante.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinquante ans après ses débuts de cinéaste, Clint Eastwood signe une balade mexicaine, mineure mais émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
L’œuvre est très mineure en tant que fiction, mais profondément émouvante en tant que documentaire sur son cinéaste-acteur de 90 ans qui se ressaisit de ce scénario vieux de plus de 40 ans, pousse sa silhouette hiéroglyphique au milieu de situations aberrantes, se filme comme un mâle alpha, mais glisse dans les plis du récit une allure d’ombre, un fantôme, un cadavre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Cédric Page
Variation un brin languissante sur les thèmes eastwoodiens éternels, Cry Macho est à réserver à ses admirateurs les plus sentimentaux.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Au milieu de tout ça, il y a Eastwood, 91 ans, son 1,90 mètre brinquebalant, plus en âge de défendre la veuve mais encore de la séduire et de lui accorder une danse. Sa silhouette, c’est du cinéma. « Cry Macho » est bien parti pour être son ultime tour de piste. La légende mérite plus beau testament.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À 91 ans, Clint Eastwood poursuit sa quête de rédemption dans ce néowestern naïf et maladroit où il accuse le poids des ans.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Le 39e de Clint Eastwood déçoit par son intrigue mollassonne, sa dénonciation du virilisme contredite par des personnages féminins clichetonneux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Un Clint Eastwood en très petite forme, qui semble se moquer d’être encore crédible comme de sa première selle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Cette mise en bouche était en fait tellement efficace que le film, à côté, paraît presque superflu. Surtout après La Mule, où Eastwood se montrait déjà à nu, comme arrivé au bout du chemin. Cry Macho, lui, rabâche et musarde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film très mineur de l’auteur de « Gran Torino » où l’acteur et réalisateur interprète un ancien champion de rodéo qui doit récupérer un gamin au Mexique.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Il y a dans ce « vieil homme et l’enfant » pas mal de bons sentiments et de clichés.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un Clint Eastwood bien peu inspiré, qui multiplie les invraisemblances parfois grotesques et les stéréotypes en tous genres sur les Mexicains.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Entre road-movie mexicain et réflexion sur la filiation intergénérationelle, « Cry Macho » aligne les poncifs et les violons, trop mal écrit pour émouvoir, souvent mal joué.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par La Rédaction
Mais le plus embarrassant est la performance d’Eastwood lui-même, à la limite de l’autocaricature. Clint surjoue les croulants tout en essayant de faire croire que son personnage est encore capable de monter un mustang enragé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce film touchant permet de retrouver de nombreux thèmes chers au cinéaste.
CNews
Cry Macho est une belle histoire de rédemption, de transmission, qui donne aussi à réfléchir sur la représentation de la virilité et le temps qui passe. Ce n’est pas son film le plus abouti, mais il n’en demeure pas moins tendre et précieux.
Cahiers du Cinéma
Semblant constamment se préparer à la mort, dans cet énième vrai-faux film testament, le corps d’Eastwood appelle sans arrêt à la sieste, au sommeil et à la paix.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Clint Eastwood enfourche les codes classiques du western et les dépoussière dans un road-trip lent et mélancolique au Mexique. Les chevaux de l’automobile ont remplacé le cheval animal et le cow-boy mutique, vieux loup solitaire, tombe amoureux. Douce love story.
Le Dauphiné Libéré
Tout est possible, avec le western, même l’amour. Clint Eastwood, 91 ans, se remet en selle avec Cry macho et entretient sa légende en narrant avec une désarçonnante douceur, une histoire d’amour. Le cow-boy ne dégaine plus de violence, il est désormais devenu sentimental.
Le Figaro
Il y a dans ce film pur et simple, une bonté, un côté sentimental qui n’est pas nouveau chez le réalisateur et qui aujourd’hui saute aux yeux. Clint Eastwood n’a plus rien à prouver.
Le Parisien
Le film comporte certes quelques défauts. (...) Mais les yeux toujours rieurs du grand Eastwood, l’ambiance décontractée et les péripéties permanentes de l’histoire finissent par emporter le morceau.
Le Point
L'histoire d'une éducation à la virilité et à la vie qui a des allures de film-testament.
Libération
A travers l’histoire d’un vieil homme en mission pour ramener un enfant du Mexique, Clint Eastwood se regarde et regarde le temps passer, sublimant sa fatigue et son corps vieillissant qui ne suit plus.
Marianne
Même si Cry Macho n’atteint pas les sommets récemment arpentés par le cinéaste dans la Mule ou le Cas Richard Jewell, on se réjouit de retrouver Clint dans ses nouvelles aventures.
Positif
Tourné au Nouveau-Mexique, dans des paysages arides aux tons ocre, ce film souvent crépusculaire ruisselle néanmoins du lait de la tendresse humaine.
Rolling Stone
Alors, la démarche peut bien vaciller de manière un peu plus prononcée, la voix se faire plus chevrotante, les rictus se figer davantage, l’humanité qu’il a désormais choisi de mettre en avant – et ici avec insistance – donne tout le sel à des intrigues auxquelles certains pourront reprocher une consistance assez… relative.
Transfuge
Clint Eastwood signe un nouveau film, Cry Macho, qui malgré quelques défauts, reste du très bon Eastwood.
Voici
Crépusculaire et touchant.
Bande à part
Scénario paresseux mais austérité formelle qui caractérise toute l’oeuvre d’Eastwood.
Critikat.com
Assurément le film du cinéaste le moins accompli et ambitieux depuis un moment, mais pas non plus la catastrophe annoncée.
Culturopoing.com
Clint Eastwood ne change pas pour ce - faux - western déconnecté du réel et de ses évolutions, totalement apaisé. Il ne cherche pas plus à plaire, à s’inscrire dans une temporalité contemporaine qu’à caresser dans le sens du poil l’exigence d’un spectateur venu assister à la grande œuvre d’un artiste autrefois célébré. Il assume pleinement la modestie, l’anachronisme et la naïveté de "Cry macho".
Ecran Large
Plus fragile que vulnérable, rabougri que modeste, ce nouveau film de Clint Eastwood a des airs de fantôme essoufflé. Au moins lui reste-t-il quelques jolies scènes pour nous hanter.
La Voix du Nord
On ne va pas se mentir, Cry Macho nous paraît nonchalant, peu surprenant, pas toujours crédible et handicapé par une grosse erreur de casting. Voilà pour le film. Reste Clint Eastwood, qu’on passerait volontiers des heures à regarder.
Le Monde
Une fable bancale mais touchante.
Les Echos
Cinquante ans après ses débuts de cinéaste, Clint Eastwood signe une balade mexicaine, mineure mais émouvante.
Les Inrockuptibles
L’œuvre est très mineure en tant que fiction, mais profondément émouvante en tant que documentaire sur son cinéaste-acteur de 90 ans qui se ressaisit de ce scénario vieux de plus de 40 ans, pousse sa silhouette hiéroglyphique au milieu de situations aberrantes, se filme comme un mâle alpha, mais glisse dans les plis du récit une allure d’ombre, un fantôme, un cadavre.
Ouest France
Variation un brin languissante sur les thèmes eastwoodiens éternels, Cry Macho est à réserver à ses admirateurs les plus sentimentaux.
L'Obs
Au milieu de tout ça, il y a Eastwood, 91 ans, son 1,90 mètre brinquebalant, plus en âge de défendre la veuve mais encore de la séduire et de lui accorder une danse. Sa silhouette, c’est du cinéma. « Cry Macho » est bien parti pour être son ultime tour de piste. La légende mérite plus beau testament.
La Croix
À 91 ans, Clint Eastwood poursuit sa quête de rédemption dans ce néowestern naïf et maladroit où il accuse le poids des ans.
Le Journal du Dimanche
Le 39e de Clint Eastwood déçoit par son intrigue mollassonne, sa dénonciation du virilisme contredite par des personnages féminins clichetonneux.
Les Fiches du Cinéma
Un Clint Eastwood en très petite forme, qui semble se moquer d’être encore crédible comme de sa première selle.
Première
Cette mise en bouche était en fait tellement efficace que le film, à côté, paraît presque superflu. Surtout après La Mule, où Eastwood se montrait déjà à nu, comme arrivé au bout du chemin. Cry Macho, lui, rabâche et musarde.
Sud Ouest
Un film très mineur de l’auteur de « Gran Torino » où l’acteur et réalisateur interprète un ancien champion de rodéo qui doit récupérer un gamin au Mexique.
Télé 7 Jours
Il y a dans ce « vieil homme et l’enfant » pas mal de bons sentiments et de clichés.
Télé Loisirs
Un Clint Eastwood bien peu inspiré, qui multiplie les invraisemblances parfois grotesques et les stéréotypes en tous genres sur les Mexicains.
Paris Match
Entre road-movie mexicain et réflexion sur la filiation intergénérationelle, « Cry Macho » aligne les poncifs et les violons, trop mal écrit pour émouvoir, souvent mal joué.
Télérama
Mais le plus embarrassant est la performance d’Eastwood lui-même, à la limite de l’autocaricature. Clint surjoue les croulants tout en essayant de faire croire que son personnage est encore capable de monter un mustang enragé.