AlloCiné
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petit film sympa mettant en scène 2 jeunes qui cherchent leur route et se cherchent en même temps
quel chemin prendre
un duo très en phase
les acteurs sont justes
des moments drôles et très émouvants (notamment avec les parents)
j'ai beaucoup apprécié ce film simple, juste
quel chemin prendre
un duo très en phase
les acteurs sont justes
des moments drôles et très émouvants (notamment avec les parents)
j'ai beaucoup apprécié ce film simple, juste
Ma critique rejoint celles de beaucoup d'allocinéens. Au départ je pensais que j’allais avoir affaire à un film sympa agrémenté de beaucoup de péripéties, mais bof. Même s'il y a quelques bons points, globalement c'est lent, mou et le scénario est assez pauvre. De quoi réaliser un court métrage et pas un truc de 95 minutes. En plus le fils à papa capricieux interprété par Arthur Dupont fini par avoir une tête à claque!
On sort de la séance un peu déçu, on espérait en voir un peu plus, dommage. Une demi-étoile de plus pour les plans de ma ville: Liège.
Un « road movie » passif et monotone qui aurait mérité quelques péripéties plus croustillantes.
« Mobile home » fait partie de ces comédies sans grandes stars et sorties sans faire grand bruit et qui pourtant mérite vraiment qu’on les voie. Pour son premier long-métrage François Pirot s’intéresse à ces tournants dans la vie où on s’interroge sur qui on est et si la direction prise par notre vie est celle qu’on voulait et s’il n’est finalement pas possible de lui faire prendre une direction plus enthousiasmante. C’est le cas ici de Simon et Julien, trentenaires un rien perdu dans leurs vies et qui décident un soir sur un quasi coup de tête de partir à l’aventure tel qu’ils l’avaient rêvé dans leur adolescence. Bien sûr rien ne se passe comme prévu et c’est là que le mécanisme de la comédie se mets en branle. Le réalisateur-scénariste procède par petites touches pour mettre lentement à jour les hésitations de ce duo qui n’est pas aussi en phase qu’il le pense et dont les motivations se révèlent sur le long terme moins solides que ce qu’elles leurs semblaient. Les péripéties et les dialogues sonnent justes et permettent au spectateur de se plonger sans hésitation dans ce road-movie immobile. Les deux acteurs forment un tandem très efficace et on se prend rapidement d’affection pour ces deux sympathiques rêveurs qui osent, à l’âge où on commence à voir sur le long terme et à se poser, un truc un peu kamikaze aux yeux de la société. Les seconds rôles sont aussi pour beaucoup dans la réussite de cette histoire notamment les trois acteurs incarnant les parents absolument irrésistibles chacun dans leurs genres. Bref une comédie qui manie avec brio le doux-amer et qui sans jamais forcer le trait offre un regard acéré, mais tendre sur la thématique de la recherche de soi. À voir sans hésitation.
Le genre de film qu'on est heureux d'avoir téléchargé gratis.
Vraiment sans intérêt aucun.
Ne perdez pas votre temps...
Vraiment sans intérêt aucun.
Ne perdez pas votre temps...
Un petit film sympatoche qui pourrait se définir comme étant un anti-intothewild. L'idée d'un road-movie qui fait du sur place est original, mais le film ne se démarque ni par ses dialogues, ni par sa mise en scène. On retiendra également quelques baisses de rythme par moment. Heureusement que les deux acteurs parviennent à rendre leur personnages attachants, et du même coup à rendre l'ensemble du film plutôt réussi.
Dik ap Prale
Une perle bien lustrée. François Pirot énonce avec justesse et réflexion son sujet. Un film qui aborde les grands espaces avec une exposition particulier de ceux-ci, avec des situations claires et un discours bien orienté. Décors ou accessoires jamais hasardeux rendent fluide le propos
spoiler:
- Jackie Berroyer (toujours impeccable) qui poursuit la maison mobile de son fils Simon (A. Dupont) et y trouve son compagnon de route dans la douche alors que la seule envie du père était que son fils se pose avec une fille / Le personnage de Julien (G. Gouix) qui très soucieux de la santé de son père, le retrouve dans les cieux perché en haut d'une grande échelle pour achever les travaux que son fils ne réalisera jamais pour rester auprès de son vieux et dont les principaux échanges se font au Scrabble / Les deux acolytes Simon et Julien, qui laisse derrière eux leurs potes, dans une maison neuve mais toujours en travaux, toujours pleins de projets qui dénotent avec les leurs / [...]
. Les tribulations de ces deux acolytes nous réconcilient avec nos doutes et nos espoirs. Un film sincère, mais surtout malin, qui laisse paraître plus de légèreté, par les situations et dialogues, que dans sa forme.
. Les tribulations de ces deux acolytes nous réconcilient avec nos doutes et nos espoirs. Un film sincère, mais surtout malin, qui laisse paraître plus de légèreté, par les situations et dialogues, que dans sa forme.
Film touchant profondemment humain ancré dans une Wallonie si proche de l'arc nord est d'une France oubliée : Comment quitter ce qui nous maintient en dehors de la précarité mais à tendance à cultiver notre dépendance!!! Formidable film sur l'incertitude trentenaire et comment faire de son cocon une belle mue, les acteurs sont formidables le duo de potes mais les parents aussi , en particulier le pere de Vincent d'une épaisseur mutique paradoxale,fragile dans un corps malade et fort de vouloir faire quelquechose( y compris des gestes périlleux inconsidérés) pour ce fils qui a su prendre soin de lui .
🎬 RENGER 📼
Ceux qui s’attendaient à un road-trip à travers la France ou l’Europe vont être déçu (sauf si vous avez pris connaissance du synopsis), en effet Mobile Home (2012), n’a absolument rien à voir avec cela, le voyage auquel se préparent les deux compères ne va pas les emmener plus loin qu’à l’autre bout de leur village ! En effet, à l’aube de la trentaine et n’ayant aucun projet concret ni d’avenir tout tracé, ils se décident sur un coup de tête de partir à l’aventure sur les routes et ce, en toute insouciance. L’ennui, c’est qu’ils vont rapidement devoir revoir leurs attentes à la baisse car pour le moment, leur voyage est… plus immobile que mouvementé. Les galères s’enchaînent et cela les obliges à rester dans leur village natal en attendant de pouvoir enfin lever l’encre. Pour son premier long-métrage, François Pirot nous entraîne dans une sympathique comédie portée par deux excellents acteurs (encore peu connu du grand public), à savoir Arthur Dupont & Guillaume Gouix. Le réalisateur dresse le portrait touchant de deux adultes (mais adulescent dans leur tête), constamment indécis, ne sachant jamais quelle direction prendre, aller de l’avant ou régresser et rester au sein de sa famille. Tel est le dilemme de cette sympathique comédie.
► http://qr.net/ivn ◄
► http://qr.net/ivn ◄
selenie
Deux amis d'enfance trentenaire décide de réaliser leur ancien rêve de gamin et de partir à l'aventure sur les routes. A partir de cette histoire découle un road movie atypique et originale, parfois absurde mais toujours ancré dans une réalité qu'on peut constater tous les jours ; nos deux personnages principaux sont d'une immaturité confondante, se remémorant des rêves de gosses et voulant encore y croire rendu à l'âge adulte (normalement). Le ton nonchalant ne quitte jamais le film, à l'instar des deux dilettantes qui ne vivent que d'utopie. La vraie bonne idée du film est d'en faire un road-movie sans réel voyage, qui est de fait la meilleure façon de se regarder en face et surtout, au final, de devoir faire des choix inévitables, presque à l'insu de leur plein gré. Sur le fond le film tape juste et fort en évitant d'être moralisateur tandis que dans la forme le réalisateur réussit plusieurs scènes d'un charme fabuleux. Bon point également avec le choix "familial" des deux copains qui les placent d'emblée dans un milieu peu compréhensif. D'ailleurs excellent casting avec un Jacky Berroyer particulièrement marquant, plusieurs spectateurs reconnaitront une part de leur propre paternel. Je ne vois qu'un bémol, quelques petites baisses de régime et une fin mi-figue mi-raisin. Il n'en demeure pas moins que ce film est une très bonne bouchée de cinéma avec un duo d'acteurs extraordinaires.
ffred
Auteur des scénarii Nue propriété et Elève libre pour Joachim Lafosse (A perdre la raison), François Pirot passe aujourd'hui naturellement derrière la caméra. Son premier long métrage est un joli road-movie qui ne mènera pas bien loin ses protagonistes. Une jolie chronique, douce-amère, de cette période de la vie où il faut faire des choix. A cheval entre une jeunesse encore pleine de rêves de voyage et de liberté, et une réalité implacable, une vie d'adulte beaucoup moins drôle. C'est assez finement écrit, plein de tendresse et de sensibilité...
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-mobile-home-109669543.html
La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-mobile-home-109669543.html
defleppard
2 jeunes hommes ont comme projet, de partir découvrir le monde en mobile home. Les 10 premières minutes sont ratées, on a envie d'arrêter ce film. Une fois l'histoire en place, cet opus tourne un peu en rond comme leur départ. A noter une prise de son médiocre. 2 étoiles et demie.
Un premier film tendre avec un air et une ambiance plaisante, qui se laisse regarder mais qui ne laissera peut-être pas un souvenir impérissable. C'est un film avant tout sobre et qui ne se donne pas d'autres ambitions que de nous raconter une histoire simple. Sans jamais être totalement drôle, certaines scènes font sourire et le jeu des comédiens est juste, naturel, donnant le ton à ce premier long métrage. Arthur Dupont, dans un rôle d'adulescent un peu genre "bourgeois blasé" très à contre-emploi des rôles dans lesquels on a pu le découvrir auparavant ("Nos 18 ans", "Bus palladium"...), est remarquable. Son pote, Guillaume Gouix, dont le jeu m'a jusqu'alors toujours laissé indifférent ("Jimmy Rivière", "Poupoupidou"), étonne tout autant par la composition faite de son personnage, quelqu'un d'extrêmement timide qui semble cacher certaines blessures. Après, la fin est belle et, comme l'a dit très justement un jeune homme à l'avant première hier au Cinéma La Clé lors des débats avec l'équipe, elle a le mérite de n'être ni triste ni belle... Juste une fin ouverte qui clôt un faux road movie rempli d'une certaine tendresse et de la nostalgie de la fin de l'enfance. C'est d'ailleurs le ton du film: la fin de l'enfance et le refus de la vie d'adulte et de ses responsabilités.
C'est un film honnête, bien exécuté, basé sur un scénario contemporain qui tient la route, mais ça reste un peu plat et il n'y a pas de petites étincelles ou de petits frissons qui se déclenchent en voyant ce film.
Si vous voulez aller passer vos vacances dans l'Ardenne belge, ce film montre quelques beaux paysages que nos deux jeunes aventuriers, un peu Tanguy sur les bords, explorent à défaut d'aller plus loin avec leur mobile home.
C'est une comédie sympa avec Gouix et Dupont. A signaler le personnage du père d'A. Dupont joué par J. Berroyer.
Si vous voulez aller passer vos vacances dans l'Ardenne belge, ce film montre quelques beaux paysages que nos deux jeunes aventuriers, un peu Tanguy sur les bords, explorent à défaut d'aller plus loin avec leur mobile home.
C'est une comédie sympa avec Gouix et Dupont. A signaler le personnage du père d'A. Dupont joué par J. Berroyer.
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