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    Dans la maison
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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    84 abonnés 1 741 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2018
    Un peu Hitchcockien, un peu De Palmien, mais ça reste la pâte Ozon et c'est bon. Et Fabrice Luchini est extra
    P.  de Melun
    P. de Melun

    53 abonnés 1 115 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 novembre 2017
    Malgré l'excellentissime Luchini entouré d'acteurs plutôt à leur aise (le jeune Claude est remarquable), ce polar est rempli d'invraisemblances, le scénario original n'est pas toujours bien exploité avec des bavardages incessants. Les personnages récitent un peu leur texte sur ce film long, lent et quelque peu linéaire. Les 40 premières minutes laissaient entrevoir un film différent et intelligent, puis le voyeurisme a pris le dessus dans la seconde partie.
    Veneto
    Veneto

    18 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    un "thriller" (sic) ou plutôt un navet qui navigue entre voyeurisme, boboïsation et clichés. Luchini, avec pourtant un rôle taillé sur mesure, ne sauve pas ce film ennuyeux avec un twist minable. Un épisode de Derrick n'aurait pas fait pire.
    David E
    David E

    15 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    On se laisse emporter dans l'histoire. Luchini juste mais jeu un peu théâtral, un jeune homme au sourire narquois un peu énervant mais qui colle bien au personnage. 2
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    3 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 août 2017
    Le début de l'intrigue est intéressant mais la suite tourne en rond. Comme toujours avec le cinéma français, le regard porté sur les classes populaires est maladroit et caricatural. Lucini ne suffit pas à rattraper un film très creux sonnant très faux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    Film poignant, touchant et plutôt atypique et limite pervers. La fin ouverte laisse penser le spectateur. spoiler:
    spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 mai 2017
    C’est un jeu de manipulation. De savoir qui est plus fort que qui. C’est un jeu de pouvoir. D’arrogance, même. Et François Ozon nous fait vite entrer dans son petit jeu. C’est sans doute le point fort du film – le meilleur du cinéaste.
    Un jeune étudiant remet à son profes- eur de français une copie sur son week-end. Il est allé chez son meilleur ami, Rapha, et les décrits comme des personnes sans valeur, pas à leur place. Avec une phrase (magique) à la fin de son texte : « A suivre... ». La relation entre le professeur et l’enfant est comme un metteur en scène avec son acteur. François Ozon évoque sans doute son amour pour le cinéma avec ce film. La chose mystérieuse, presque dérangeante du film, c’est qu’on ne sait pas si ce que l’enfant écrit est vrai ou pas. Le cinéaste ne distingue plus réel et irréel. Le film plaît aussi grâce à un casting cinq étoiles : Fabrice Luchini en tête, avec toujours autant d’aisance, la révélation de Ernst Umhauer, Kriten Scott Thomas au top, et Emmanuel Seigner parfaite en mère de famille perdue. Reste les seconds rôles aussi rechercher que les autres... Ozon nous embrouille, Ozon se perd, les acteurs aussi, et on adore ça. On doute. Tout le temps. On a peur. Puis tout redescend. Le film nous met une pression. On est angoissé. Et on relâche. C’est tout le temps comme ça.
    François Ozon est un vrai curieux – comme tous les cinéastes au monde – mais avec "Dans la maison" il se pose sur une question et s’arrête dessus. Puis il va en rechercher une autre. Cette relation entre le professeur et l’élève est-elle une sorte de relation sado-maso ? Peut-être que oui ou que non. Et c’est là où le cinéaste fait rentrer le spectateur avec lui. Le spectateur aide le cinéaste à trouver une réponse à sa question. Dans ce film tout est question de sensibilité et de psychologie.
    Et au bout, d’une heure, le film monte en tension, comme un changement de cap. L’atmosphère est envoûtante, tout est encore plus savoureux que le reste du film. Et puis le plus petit rôle de la famille des Rapha devient important, et prend de la place. Est-ce une fiction ou une réalité ? Mystère. Ozon manipule le spectateur, l’éblouit, et lui transmet ses propres émotions.
    Mais qui est vraiment cet élève ? Quel est son but ? Là encore, le cinéaste bluffe par sa maîtrise de tempérament. Et si "Dans la maison" était un thriller à suspense ? Ce vieux, genre – qui n’est traité que par de mauvais blockbuster – est traité ici avec une douceur infinie. Cet élève veut montrer qu’il est fort, écrit-il pour son professeur, sans doute puisqu’il dit « Je croyais que cette chute allez-vous plaire ».
    Le film est aussi une leçon de français. Les conseils que donne Germain (le professeur) à son élève est remarquable. On apprend tout le temps dans ce film. Cinématographiquement, et même en termes de littérature, donc. Ozon a sans doute voulu infliger dans ce film sans doute toute son amour, aussi, à la littérature. Le film ne manque pas de tact, ni de rythme car à tous ses points forts. L Et ce qui est aussi superbe c’est que tout le monde veut se perdre, se perd, et doit se perdre. Le spectateur joue un rôle crucial dans le film. Ozon a donc l’art de diriger ses acteurs, ses spectateurs et a l’art de l’élégance. Car tout au long du film, la mise en scène est simple mais carré. C’est ce qu’on attend du cinéma contemporain.
    "Dans la maison" est un film inclassable, qui se distingue des autres grâce à son audace et son originalité. François Ozon remplit son contrat, il l’a même dépassé : il réalise un chef-d’œuvre, troublant, subtil. Tout est poétique, sensuel. Ozon est un doux rêveur qui veut emmener son spectateur dans un nouveau terrain, inconnu. Et puis il embarque tout une troupe d’acteurs. Ça passe ou ça casse. Des petits destins parmi des milliards de personnes, en font des films magnétiques et magiques. Comme celui-là. C’est la vie.
    Soudain, le prof et l'élève regardent dans un immeuble, tels des voyeurs de Hitchcock et de son Fenêtre sur cour, des êtres qui s'aiment, se disputent, se tuent. Sans doute jaloux l’un de l’autre. Ozon aime le doute. Il fait douter. Dans tous ses films. Et puis, comme dans une fin d’article, l’élève n’arrive pas de trouver de fin. A-t-on besoin d’une fin dans un livre ? Une fin pour qui ? Pourquoi ? Mieux vaut laisser le lecteur imaginé la fin qu’il veut. On ne saura jamais la vérité de ce film. Ni de cet article, d’ailleurs. « A suivre... ». – Sandro Martinez, 10 ans
    bikimazal
    bikimazal

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2017
    La première heure du film m'a bien embarqué dans l'histoire. Après j'ai trouvé ça long, lent.
    Ernst Umhauer est bon en adolescent inquiétant et manipulateur.
    Luchini est dans son univers.

    Il est assez savoureux de voir Kristin Scott Thomas l'assommer en lui assenant un coup de Voyage au bout de la nuit sur la tête...
    Cependant je ne vais pas garder un souvenir impérissable de ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 octobre 2016
    Un très bon rythme...Ozon mêle ici littérature et thriller, mené par un monstre du cinéma français et un tout jeune prometteur. On se prend au jeu, on a peur parfois. Un très bon film nous menant sur les questionnements de ce que doit être un artiste et jusqu'où il peut/doit aller pour son oeuvre.
    Matthias T.
    Matthias T.

    43 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2016
    Un thriller habile sur la manipulation mais aussi le rapport entre réalité et fiction. Excellemment interprété notamment par un Fabrice Luchini tout en sobriété, "Dans la maison" est un des films les plus maîtrisés et les plus intéressants de François Ozon, certes un peu enfermé dans son genre.
    Incertitudes
    Incertitudes

    202 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2016
    Un film littéraire au climat anxiogène à ne pas mettre entre toutes les mains comme le dit Kristin Scott Thomas à la fin en parlant du récit de ce jeune Claude très en avance sur son âge. Bon, déjà, Fabrice Luchini en prof de français. On connaît sa passion pour les grands textes qu'il lit ou qu'il joue régulièrement sur scène. Ce rôle était taillé pour lui. Il n'en fait pas trop et dieu sait que j'aurais aimé avoir un enseignant comme lui. Ça m'aurait un peu réconcilié avec l'école. Entre ce prof de lettres et cet élève va se nouer une étrange relation. Père/fils au départ déviant bien vite vers le glauque. La misère sexuelle touche tous les personnages de l'histoire. Pas uniquement la famille décrite dans la rédaction. Ozon nous donne également une leçon d'écriture à laquelle tous les romanciers en herbe devraient s'inspirer. Et à l'approche des épreuves du bac, pour l'écriture d'invention, ça ne peut pas faire de mal. Là où Ricky et Angel ne m'ont pas trop convaincu, avec Dans la maison, Ozon retrouve l'esprit de ses premiers films comme Sitcom et Sous le sable. Dans la maison s'adresse à tous les nostalgiques de leurs années lycée. Les cours comme les émois amoureux pas forcément avouables.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    178 abonnés 2 256 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 février 2016
    Des dialogues bien écrits, une ambiance et des personnages : ce triptyque résume bien « Dans la maison ». On regarde ce film avec beaucoup d’intérêt. On peut tout juste regretter une petite chute de rythme un peu avant la fin mais rien de bien dommageable pour un film qui sort des sentiers battus. Côté casting, le jeune Ernst Umhauer et le couple de bobo Fabrice Luchini / Kristin Scott Thomas apportent beaucoup au film. Pour situer un peu ce film dans les films d’Ozon que j’ai vus, il s'avère bien meilleur que « Potiche » (2010) ou « 5x2 » (2004) mais aussi bien moins bien que « 8 Femmes » (2002).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 novembre 2015
    "...Dans la maison, une petite gourmandise sans prétention...Un joli film tout de simplicité et de justesse. Pas de chichi, de belles images et de la poésie. Un bon moment de détente."

    Petit article à ce sujet sur mon blog :)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 novembre 2015
    Une claque.. Ce que j'aime avec ce film, c'est qu'il est tellement bon, il contient tellement de détails symboliques et travaillés qu'on pourrait en parler et l'analyser pendant des heures, on trouverait toujours quelque chose à dire. Et ça, c'est la preuve d'un scénario profond et proche de la perfection.. Il n'y a pas d'action, et pourtant on ne s'ennuie pas une seule seconde. On est plongés dans le film grâce à des acteurs incroyables (le duo formé par un Luchini des grands jours et un Ernst Umhauer épatant qui deviendra grand est magistral !), un scénario hors du commun, original, intéressant, plein de suspens et de rebondissements imprévisibles, intelligent, très travaillé.. Et qui offre une superbe réflexion sur l'imagination, l'écriture, mais aussi au fond l'adolescence et les différents modes de vie.. Le voyeurisme de l'adolescence.. C'est très bien écrit, bien mis en scène grâce à la réalisation d'un François Ozon en grande forme ! Certaines scènes et certains plans sont inhabituels mais si intelligents.. Les scènes où on voit en même temps ce qui est raconté par Claude (les scènes dans la maison) et les moments où le prof découvre cette histoire grâce à des plans où on voit Luchini avec les personnages de la maison (ce n'est pas très clair mais les personnes ayant vu le film comprendront très bien de quelles scènes je veux parler), c'est vraiment ingénieux, il fallait y penser. C'est le genre de scène qui sort un peu de l'ordinaire, et c'est ça aussi qui fait l'originalité d'Ozon et de ce film.. Le personnage de Claude, en faisant découvrir son histoire au prof, nous la fait également découvrir, de la même façon.. Chaque plan, de la scène d'introduction à la scène de fin, a un sens et est très travaillé.. Et ça c'est du grand art, du bon cinéma.. "Dans la maison" est l'un des films qui montrent que le cinéma français a peut-être encore de beaux jours devant lui, même si malheureusement ce genre de film reste minoritaire aujourd'hui..
    gnomos
    gnomos

    53 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2015
    Bon film, j'ai été captivée par l'histoire, et ne me suis ennuyée à aucun moment. Ceci dit, il y a des clichés en pagaille, et beaucoup d'invraisemblances, dans ce film. L'histoire en elle-même est peu crédible, le prof de français qui trouve un grand talent aux histoires somme toutes médiocres qu'écrit le garçon, ( je parle de leur valeur littéraire ). Il est prof de lycée, elle directrice d'une galerie d'art, ils sont mal assortis socialement ( et physiquement aussi, d'ailleurs ). Les Rapha ont une belle baraque, ( en région parisienne, si j'ai bien vu, en face d'un parc, sans clôture, à l'américaine ), pourtant, lui n'est qu'une sorte de commercial et elle ne travaille pas, difficile à croire. Et puis j'ai trouvé qu'à la fin, ça partait un peu en sucette, parce que bon, le garçon a seize ans, je sais bien que les couguars sont à la mode, mais toutes les femmes ne succombent pas à n'importe qui, c'est un peu débile. Sinon, ce n'est pas réellement un thriller, personne ne meurt, c'est plutôt un jeu de manipulation un peu pervers, mais c'est à voir. Je n'ai pas été déçue.
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