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gnomos
53 abonnés
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0,5
Publiée le 10 août 2015
Et encore une daube, c'est pitoyable comparé aux films avec Lee R Ermey, qui étaient plutôt bien fichus, soit dit en passant. Là, l'héroïne est censée être née en 74, elle a vingt ans, erreur de calcul qui plombe déjà la vraisemblance. De plus, le déroulement du film est ultra prévisible, et Leatherface n'est pas ici le méchant, juste un attardé à qui l'on pardonnera bien quelques bêtises. Bref, passé toutes les âneries et incohérences inhérentes à ce genre de film, ( on ne nous en épargne pas une ), ce film est une pochade, sauf qu'il n'est même pas drôle, juste affligeant et inutile. De toute façon, filmer en 3D est presque toujours un cache-misère pour pallier à l'absence de talent, j'ai encore perdu 1H30 de ma vie
Du gore, du déjà vu, encore du gore et ça fatigue...
Voilà le copié collé de "Massacre à la tronçonneuse" version aujourd'hui avec évidemment une bande de jeune qui vont dans la maison où le mal est né parce que la jeune fille vient d'en hériter. Et comme d'habitude une maison où il y a eu le mal celui-ci s'y trouve toujours mais c'est assez miraculeux parce qu'il a survécu on ne sait comment d'un incendie... Et bien sûre il va tuer un par un tout les jeunes ou presque parce que faut pas que ça se finisse trop mal... Une fin tout à fait invraisemblable... Le scénario est donc tiré par les cheveux et n'a rien d'original, tout est du déjà vu... Sinon rien d'exceptionnel des acteurs pas trop mauvais, des plans de la caméra pas parfaits...
La 3D peut être intéressante pour quelques plans malheureusement pas assez
Massacre À La Tronçonneuse, c'est un peu à l'horreur ce qu'est, à la comédie, Crocodile Dundee : un classique ! Après le bon boulot de Marcus Nispel en 2003 et le travail plus qu'honorable de Liebesman en 2006, la franchise se devait (argent oblige) de lancer une autre production sur le mythe. La seule -petite- originalité de cette version 2013 est de se placer en tant que vraie suite du métrage de Tobe Hooper. Et entre un scénario assez pauvre et de grosses incohérences, Texas Chainsaw 3D apparait comme une bobine de trop.
Heather apprend qu'elle n'est pas la fille de ses parents (premier drame) et qu'elle hérite d'une maison en plein Texas (deuxième drame), à Newt. Avec ses amis, elle se rend en ce lieu afin de se faire une idée sur sa véritable famille mais, comme souvent, le destin leur a réservé les flammes de l'enfer...
Ce Texas Chainsaw 3d ressemble beaucoup à une oeuvre de commande servant des ambitions purement commerciales. Ainsi, on fait appel à des comédiens typés, stéréotypés (la trahison sentimentale est-elle un trait distinctif de la jeunesse ?), on invite ces gens à participer à une pellicule où le scénario consisterait, surtout, à les voir courir, dire des conneries, boire et rejoindre le royaume du paradis sans faire la queue. Pis encore, cette version tente la reprise de motifs devenus légendaires comme pour mieux reprendre le flambeau. Mais que nenni ! Ce film s'enfonce dans sa propre mollesse, avec un rythme peu maîtrisé et des situations qui sont autant de stupéfiants raccourcis. Si l'image est nette (scope en 2.35 : 1), le travail sur la lumière (en particulier, les scènes de nuit, trop éclairées) déçoit. Le métrage n'est pas assez sombre, ni dans son esthétisme, ni dans sa morale, à peine révoltante. Une bobine qui me laisse un arrière-goût de m... dans la bouche. Le seul point positif, la présence d'Alexandra Daddario (Bereavement), belle comme Aphrodite. 2/5
A croire que l'age d'or de l'horreur est définitivement un passé révolu, cet énième tentative de ranimer la franchise "Massacre à la tronçonneuse" ne propose rien de nouveau, s'avère très chiante, et surtout jamais malsaine ou flippante.
L'idée de départ de reprendre directement là ou le tout premier épisode se terminait est bonne et intéressante, d'autant plus que ce nouveau film reprends quelques idées et éléments du film original de Tobe Hooper ! Après, que dire, si ce n'est que ça reste quand même un film d'horreur pour le moins banal, avec quelques scènes assez sanglantes, et des personnages avec un niveau d'intelligence très moyenne ... La fin reste quand même pas mal, tout comme le film en lui-même en fait :)
Ce septième volet de la saga horrifique et sanglante Massacre à la Tronçonneuse, est en fait la suite directe du tout premier titre réalisé par Tobe Hooper en 1974. D’ailleurs l’introduction de ce long métrage en 3D débute avec les images du premier film, histoire de nous rappeler les événements marquants et nous situer et familiariser avec le peuple qui va évoluer dans cette séquelle. Alors que vaut Texas Chainsaw 3D? Tout d’abord, sa 3D est complètement inutile et inefficace! On peut s’en passer aisément. Ensuite même si les tueries sont gores et difficiles à supporter, le personnage de Leatherface, le fameux tueur à la tronçonneuse, n’est pas vraiment charismatique. Attention, cela ne change en rien la tension qui règne tout le long du film à cause de l’atmosphère pesante et sombre mais c’est un raté sur ce killer qui n’est pas négligeable pour assouvir notre satisfaction. Hormis le final, ce slasher movie adopte les règles classiques du film du genre: une bande de jeunes assoiffés de sexe et alcool, séjournent dans un nouvel habitat pour s’éclater et se font zigouiller un par un…
8/20 : Le film démarre par un générique nostalgique, où l’on redécouvre les moments mémorables de l’œuvre originale « Massacre à la tronçonneuse » de Tobe Hooper réalisé en 1974. La mise en place de ce générique est utile puisque TEXAS CHAINSAW 3D commence là où s’est arrêté l’œuvre de Tobe Hooper, pour ensuite dériver à notre époque. Dans ce film, nous ne retrouvons malheureusement pas l’ambiance de ses prédécesseurs (« Massacre à la tronçonneuse » de Marcus Nispel ou encore « Massacre à la tronçonneuse : le commencement de Jonathan Liebesman) qui était crade, poisseuse, pesante, malsaine où la violence psychologique et physique faisaient rage. Ici, nous nous rapprochons davantage d’une ambiance très teen-movie à la « Destination Finale » ou « Scream ». Les acteurs sont stéréotypés (comme la plupart des films d’horreur) avec toujours l’héroine (souvent brune d’ailleurs) interprétée par Alexandra Daddario ayant la tête sur les épaules tout en étant « rebelle », l’amie dévergondée aux tenues légères (Tania Raymonde), le boulet de service interprété par Keram Malicki-Sanchez, n’ayant pas grand intérêt à part le fait d’être l’une des premières victimes, coupé en deux pour ravir les spectateurs en manque de sensations fortes ou encore l’auto-stoppeur sorti tout droit d’une pub d’Hugo Boss mettant en avant son torse huilé et ses biceps gonflés aux stéroïdes anabolisants. Le tueur, Thomas Hewitt interprété par Dan Yeager, n’a pas le charisme d’Andrew Bryniarski (le Leatherface des années 2000 d’1m96) ni même sa férocité effroyable. Mise à part deux, trois rebondissements à l’arrivée spontanée de notre cher Leatherface, TEXAS CHAINSAW 3D nous laisse de marbre et assure davantage dans la bêtise plutôt que dans la véritable frayeur. De plus, les effets gores destinés pour la 3D (ces derniers manquant de réalisme.) gâchent l’effet de peur et du dégoût. Pour finir, le film se consomme jusqu’au bout car il reste plaisant à regarder mais TEXAS CHAINSAW 3D n’a guère d’intérêt puisque celui-ci n’est qu’un produit commercial, mené par un scénario pauvre.
Plus connu chez nous sous le titre de Massacre à la tronçonneuse, ce nouvel épisode n’est pas un remake puisqu’on y a déjà eu droit ; ce Texas Chainsaw 3D se veut donc une suite directe de l’épisode originale de 1974. Ce n’est pas pour autant qu’on allait échapper à l’habituel groupe de jeunes constitué de nanas bien carrossées et de mecs musclés réunis pour se faire gentiment trucider. Le seul intérêt de cet épisode c’est évidemment cette exploitation en 3D qui permet aux spectateurs de voir d’un peu plus près la chaine de tronçonneuse de notre pote Leatherface ce qui est bien loin de justifier le prix d’un billet de cinéma. Du déjà-vu à réserver aux fans du genre.
franchement pour une suite d'un classique du film d'horreur, on est loin du compte. c'est balisé au possible, et sans aucunes surprises. rare en scènes trash également. et le plus crispant étant la réaction totalement incohérente de l'héroïne. franchement, qui se mettrait du côté d'un maboule qui a tenté de vous tuer, juste parce qu'on découvre qu'il est de votre famille! complètement crétin. on va espérer qu'il n'y ai pas de suite.
Sans être la catastrophe annoncée, ce "Texas Chainsaw 3D" n'en demeure pas moins un film raté. Les incohérences et autres facilités abondent (le début ne colle pas vraiment avec la fin du film de Hooper, par exemple, ou encore ce flic qui s'obstine à débusquer seul Leatherface sur ordre du maire, et j'en passe et des meilleures), et malheureusement les scènes gores ne sont jamais réellement présentes (mis à part à deux-trois reprises, donc une en CGI...), Leatherface n'utilisant à mon sens que peu sa tronçonneuse alors qu'il s'agit tout de même de son arme fétiche! Les acteurs sont plutôt bons, dans l'ensemble, même si on a droit aux clichés habituels (la bimbo, le beau gosse, la gentille fille...). J'espère que le film de Bustillo-Maury relèvera un peu le niveau. Reste, pour le moment, un film plutôt divertissant mais bien loin derrière les autres films de la série.
Je ne comprends pas les gens qui n'ont pas aimer ce film, quel est le problème dans le fait de rendre une histoire simple, plus sophistiquée ? Même moi qui ai beaucoup aimé les remakes de "Massacre à la tronçonneuse" fait précédemment ( comme beaucoup d'autres gens ), je lui aurait reproché une mise en scène et un scénario souvent moins recherché que ce film. Pour une fois, il ne s'agit pas d'une bête histoire de massacre, mais une troisième suite alternative du premier film où on fait évoluer les personnages ( Leatherface notamment ) en prenant pour base une vengeance, une recherche d'identité, en gardant toujours un côté gore si c'est tout ce qui vous intéresse. La seule chose qui me dérange dans ce film, c'est le personnage féminin principal dont les attributs sont un peu trop mis en avant pour pouvoir se rincer l'œil, mais à par ça...
Aiguisez vos tronçonneuses, il est temps pour un autre massacre dans Texas Chainsaw 3D. Cette pseudo-reboot reprend là où s'est terminé l'original, commence par un lynchage qui vient de Leatherface et le clan Sawyer, et les brûle vifs dans leur maison, mais un enfant survit et retourne plus tard (avec quelques amis) lorsque sa grand-mère decede Alexandra Daddario conduit les acteurs et fait un travail juste . Mais il ya beaucoup de problèmes de script, et le film ne fait rien de nouveau ou d'intéressant avec . Texas Chainsaw 3Dnous donne quelques frissons et fait peur, mais il est trop stéréotypé et paresseux pour nous plonger dans la terreur. 2/5
Bon film malgré l'effet de déjà vu, Freddy, Vendredi 13, Halloween et massacre à la tronçonneuse c'est du kif kif bourricot ! Il reste divertissant mais sans grande valeur !
Même si on s'ennuie peu et que l'actrice principale est plutôt mignonne, c'est faiblard côté script et je ne parle même pas du gore à part une scène ! Déçu donc car navrant.
« Massacre à la tronçonneuse », c’est une quadrilogie, suivi d’un remake, puis d’un prequel … du remake. Autant dire que même avant d’avoir vu un de ses films, il faut s’accrocher. Pas forcément attendu, le septième « Massacre à la tronçonneuse » se devait d’innover un peu pour que le public se donne la peine d’y jeter un coup d’œil. N’ayant vu que la version de 2003, je me serais bien contenter d’arrêter l’aventure ici. A l’heure où les films d’épouvante ne font plus preuve de la moindre originalité et adopte l’esprit écolo (vive le recyclage !), l’on peut dire que ce « Texas Chainsaw 3D » n’est pas à mettre à la poubelle. Accrochez vous, ça va saigner ! LA SUITE DE CETTE CRITIQUE DANS LE LIEN CI-DESSOUS... *FreshBuzzCinéma*