Saisissant , c'est le mot qui me vient a la sortie de la salle , L'intrigue est bien ficelée et l'interpretation est au top. Franchement une bonne surprise.
Une plongée dans la folie raté au possible avec un personnage principal exasperant et une fin en suspend qui gache tout le film par l'incomprehension qu'elle renvoie. Seuls les personnages secondaires s'en sortent bien.A zapper.
Un film d'épouvante fascinant, atypique et assez effrayant. "Magic Magic" parvient à développer une intrigue à la fois floue et terrifiante, portée par de jeunes acteurs talentueux. Dommage que la fin ne soit pas à la hauteur du reste de ce bijou d'horreur psychologique.
les acteur, ne joue bien mais le film est très dure a suivre des le début une musique terrible, avec un volume sonore très élever, l'histoire est ennuyeuse, on est comme la film on subit l'histoire, sens tout comprend de plus a la fin on n'est pas plus avancé
Prenez votre télécommande. appuyer sur n'importe quelle touche de chaine télé et regardez sans interruption pendant 1h37. Il y a de très fortes chances que ce soit plus intéressant que Magic Magic. C'est incroyable que des films pareils puissent encore trouver leurs chemins en salles. Je me hasarde pourtant régulièrement à aller voir des films indépendants, à petits budgets, pour le plaisir de tomber sur des perles d'émotion et de sensibilité. Mais là, absolument rien à sauver. Le film a l'air d'avoir été improvisé de bout en bout et on s'ennuie à mourir pour cette "histoire" qui ne mérite franchement pas d'être raconté, ni sur grand écran, ni même sur un écran smartphone. Passez votre chemin, et optez plutôt pour le film à l'affiche dans une salle voisine, il sera de toutes les façons meilleur que ce....film.
Magic Magic et le troisième film de Sebastián Silva. Le jeune réalisateur chilien a travaillé récemment en tant que 1er assistant sur To the wonder (2013) de Terrence Malick et s’offre ici les talents du grand chef opérateur Christopher Doyle.
Présenté en avant premier au festival de Sundance puis à la quinzaine des réalisateurs à Cannes, Magic Magic ne fait pas l’unanimité. Alicia (Juno Temple), une jeune américaine se retrouve sur une île isolée en compagnie de son amie et cousine Sara (Emily Browning), d’Augustin (Augustin Silva), de Brink (Michael Cera) et de Barbara (Catalina Sandino Moreno). A cause de son tempérament réservé, Alicia n’arrive pas à s’intégrer, se replie sur elle même et perd peu à peu sa lucidité. Magic Magic n’est pas un film d’horreur, d’épouvante comme le montre la bande annonce. Pas un thriller comme il est répertorié, pas non plus un teen movie. Le film n’est pas ancré dans une catégorie puisqu’il puise en chacune, de la comédie au drame en passant par de l’horreur psychologique. Le film est très proche, dans sa construction, de Répulsion (1965) de Polanski. Pas de sang, pas de danger, un huis clos intérieur qui ronge la personne petit à petit. Les très beaux plans de l’île isolée au début du film, dévoilant une nature paisible, accueillante sont les premiers marqueurs d’une inquiétante étrangeté qui frappera Alicia et qui mettent le spectateur sous pression. La suite ici:
Contrairement au titre, rien de magique ici, et d'ailleurs, rien du genre "Épouvante-horreur" non plus. Inintéressant du début à la fin. Certains films ne gagnent pas à être connus, et celui-ci gagne à ne pas l'être.
Thriller psychologique? Pas si sûr que les fans de Shining, dont le film semble à bien des égards s’inspirer, puisse y trouver leur compte. La trop grande linéarité de l’histoire est très décevante alors que les effets visuels, très bien maitrisés, nous bercent dans beaucoup d’espoir tout au long du film.
Il y a des films qui vous laisse sans voix, et bien celui ci en fait partie! probablement un des plus beau film de l année 2013. Un drame touchant et intimiste qui vous emmène vers de somptueux paysage du Chili pour plonger dans la folie d' une Juno Temple tout simplement superbe! a voir absolument!
Après son dernier film “Les vieux chats” (2010), qui abordait avec panache le thème de la dégénérescence mentale chez les personnes du troisième âge, on pouvait sans trop de difficultés imaginer un nouveau beau film du réalisateur chilien Sebastian Silva. A ce propos, je vous livre un sentiment personnel : je n’ai jamais été autant emballé cette année à l’idée d’aller voir un film, suite à la lecture du synopsis. Il n’y a peut-être que “Mud” qui nourrissait une telle attente chez moi, c’est dire !
“Magic magic”, c’est une déception à la hauteur de la surestime dont je l’ai crédité. Il y avait pourtant de quoi faire : un paysage chilien désert et somptueux, un casting plutôt sympa (Juno Temple, Emily Browning, je ne nomme pas l’acteur Michael Cera puisque ce dernier est totalement agaçant dans le film), un sujet d’étude qui me passionne et qui, en plus, s’inspire d’un fait divers récent (deux amies chiliennes étaient en vacances au Brésil, l’une est devenue schizophrène sans que l’autre s’en aperçoive).
Le début du film est poussif, mou, brouillon. On s’attend alors au pire pour la suite. Cette dernière est une espèce de cacophonie insupportable, où la musique donne la migraine, où les personnages parlent en anglais et en espagnol … On reste donc largement à distance fasse à la perte des facultés mentales du personnage principal. De plus, l’emploi de certains codes propres aux films d’horreur (la cabane hantée par exemple) n’est pas judicieux.
Seules deux scènes (la brûlure et le saut du haut de la falaise) permettent de se poser une question intéressante sur ce film : La protagoniste est-elle réellement schizophrène ou bien n’est-elle qu’une victime des agissements malsains de ses compagnons de fortune ? Au lieu de répondre à la question, Sebastian Silva nous gratifie d’un nouveau raté : une fin brutale et mystique, durant laquelle chaque spectateur de la salle pense très fort : “Bon débarras !”
Pour conclure, “Magic magic” manque cruellement de maîtrise et de limpidité pour traiter de la folie avec brio. Mon plus gros faux-espoir de l’année, en somme.
Excellent thriller psychologique où une jeune femme fragile perd pied à l'étranger avec des gens qu'elle ne connaît pas et qui ne la comprennent pas alors qu'elle est tout à fait normale, juste momentanément désorientée et insomniaque. J'ai adoré.