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Il y a là un tel élan sensuel, une volonté d'optimisme si contagieuse et une dimension pédagogique tellement bienvenue que cette auscultation des hormones de l'époque se révèle presque d'utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
"Chroniques sexuelles" s'aventure sur le terrain de la sexualité pour réfléchir à une alternative à la pornographie. Jamais vulgaire ni impudique, le film est souvent drôle et juste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La pertinence des réflexions et le souci esthétique des cadres suffisent à la réussite de ce sujet, d'habitude abordé par-dessus la jambe dans des reportages télé voyeuristes, mais qui bénéficie ici du prisme de la fiction autorisant une liberté de ton et quelques bons mots.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les réalisateurs sont explicites mais pudiques. On devine qu'ils se sont fixés comme horizon de mise en scène l'interdiction aux moins de 12 ans (...). Ils sont surtout d'une naïveté confondante. Au choix on sera attendri ou agacé par leur façon d'annoncer la bonne parole de l'amour aux plus de 12 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les duellistes Barr et Arnold tentent de retrouver l'esprit erotico-libertaire de "Lovers" et "Too much flesh". Hélas, [le film] ressemble plus à un catalogue fastidieux de pratiques érotiques (...) qu'à une exploration en bonne(s) et due(s) forme(s) de la sexualité.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'enchaînement ininterrompu de scènes porno chic transformant le monde en une grande demeure bourgeoise emplie de personnages transformés en lapins priapiques par la narration en une sorte de bordel géant (le grand fantasme qui traverse tous les films du duo) sans aucune valeur sociologique.
Une légèreté dans le traitement du problème qui se ressent jusque dans son esthétique, crânement fébrile, en numérique. (...) On aimerait pouvoir saluer la visée exhaustive du traitement des sexualités (...) qui auraient lieu au sein d'une famille, mais cette approche théorique a peut-être fait passer les auteurs à côté de leur sujet.
Réaliser un film sur la sexualité, sans s'embourber dans les clichés ni déraper dans le X, est un tour de force qui n'était visiblement pas à la portée [des réalisateurs].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Entre deux péripéties étranges ou banales (...), des comédiens pas très à l'aise se livrent à des ébats sages (...). Ici, en tout cas, la chair est pâlotte et tristouille...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
TéléCinéObs
Il y a là un tel élan sensuel, une volonté d'optimisme si contagieuse et une dimension pédagogique tellement bienvenue que cette auscultation des hormones de l'époque se révèle presque d'utilité publique.
Ecran Large
"Chroniques sexuelles" s'aventure sur le terrain de la sexualité pour réfléchir à une alternative à la pornographie. Jamais vulgaire ni impudique, le film est souvent drôle et juste.
L'Express
La pertinence des réflexions et le souci esthétique des cadres suffisent à la réussite de ce sujet, d'habitude abordé par-dessus la jambe dans des reportages télé voyeuristes, mais qui bénéficie ici du prisme de la fiction autorisant une liberté de ton et quelques bons mots.
Le Monde
Les réalisateurs sont explicites mais pudiques. On devine qu'ils se sont fixés comme horizon de mise en scène l'interdiction aux moins de 12 ans (...). Ils sont surtout d'une naïveté confondante. Au choix on sera attendri ou agacé par leur façon d'annoncer la bonne parole de l'amour aux plus de 12 ans.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Une écriture plus soignée aurait peut-être permis à cet acte de militantisme hédoniste de toucher un peu plus profond.
Les Fiches du Cinéma
J-M. Barr et P. Arnold tirent de ces "Chroniques" une gentille sitcom, très pédagogique, sympathiquement décontractée, mais d'un intérêt très relatif.
Première
Les duellistes Barr et Arnold tentent de retrouver l'esprit erotico-libertaire de "Lovers" et "Too much flesh". Hélas, [le film] ressemble plus à un catalogue fastidieux de pratiques érotiques (...) qu'à une exploration en bonne(s) et due(s) forme(s) de la sexualité.
Cahiers du Cinéma
L'enchaînement ininterrompu de scènes porno chic transformant le monde en une grande demeure bourgeoise emplie de personnages transformés en lapins priapiques par la narration en une sorte de bordel géant (le grand fantasme qui traverse tous les films du duo) sans aucune valeur sociologique.
Les Inrockuptibles
Une légèreté dans le traitement du problème qui se ressent jusque dans son esthétique, crânement fébrile, en numérique. (...) On aimerait pouvoir saluer la visée exhaustive du traitement des sexualités (...) qui auraient lieu au sein d'une famille, mais cette approche théorique a peut-être fait passer les auteurs à côté de leur sujet.
Paris Match
Réaliser un film sur la sexualité, sans s'embourber dans les clichés ni déraper dans le X, est un tour de force qui n'était visiblement pas à la portée [des réalisateurs].
Télérama
Entre deux péripéties étranges ou banales (...), des comédiens pas très à l'aise se livrent à des ébats sages (...). Ici, en tout cas, la chair est pâlotte et tristouille...