Derniers Avis : Devil Inside - Page 4

Sans doute l'un des films d'horreur les plus mauvais que j'ai pu voir. A fuir d'urgence ; pas d'intrigue, pas de frayeur et sans intérêt.

On se retrouve devant un film qui part vraiment sur de très bonnes idées sur le papier mais encore une fois ce Devil Inside manque cruellement de personnalité car il ne fait qu'élargir les films horrifiques portants sur les exorcismes. L'idée est toujours la même puisqu'elle se généralise depuis quelques années : un film prenant comme sujet un documentaire portant sur la véracité ou non des exorcismes pratiqués par le Vatican mais malgré un bon fond le film ne se démarque en rien de ses ainés si nombreux et même si parfois les petits budgets rimes avec grands films, Devil Inside rime avec banal. Les acteurs ne sont nu bons ni mauvais, les scénario est presque inintéressant, c'est filmé caméra a l'épaule (ce qui n'est vraiment pas mal). Devil Inside peut séduire par ses quelques scènes choquantes, des montées de sons inattendues mais malheureusement il n'arrive pas a rivaliser avec d'autres films beaucoup plus aboutis tant par le scénario que par la mise en scène et les acteurs. On pourra aussi regretter que le film soit assez court puisqu'il ne dépasse pas les 1h25.
En bref Devil Inside reste en dessous des films que l'on peut trouver dans cette catégorie malgré de bonnes voire très bonnes idées puisqu'il reprends les principes de base du genre mais sans grande originalité et peine largement à se démarquer avec des acteurs parfois fades et une histoire pas vraiment passionnante.
A voir si vous aimez les films qui peuvent vous faire frissonner (mais pas trop)

Il existe des films qui ne méritent pas de sortir en salles tandis que d'autres le méritent mais attendront la vulgaire case DVD. C'est comme ça, on prend ce qui fait vendre. C'est du business. Ainsi, un film aussi pourri que Devil Inside, qui surfe lamentablement sur la mode de l'exorcisme filmé façon found footage, possède une accroche bien plus vendeuse qu'un simple "tiré d'une histoire vraie". Oui, chez Devil Inside, c'est plutôt "Ce que le Vatican veut pas que vous voyez". Dès lors considéré comme le nouveau Da Vinci Code du film de genre, le long-métrage de William Brent Bell (le nanar horrifique Stay Alive) va avoir les honneurs de sortir en salles histoire que les spectateurs les plus aguerris en prennent plein la gueule... Plus proche que jamais du Projet Blair Witch (histoire vraie, caméra DV de basse qualité, etc...), le film part d'un postulat intéressant : une jeune femme se rend à Rome pour tenter de comprendre pourquoi sa mère a assassiné trois personnes lors d'un exorcisme vingt ans auparavant. Accompagnée d'un caméraman et de deux apprentis-prêtres aux méthodes divergentes, notre héroïne va vite découvrir que l’Église cache certains secrets et que sa mère pourrait être le réceptacle d'un vieux démon. Du déjà-vu en somme. Mais avec un peu d'idées neuves et une certaine maîtrise, le tout aurait pu être plutôt bien ficelé. Hélas, comme tous les produits du genre sortant à la queue leu-leu, Devil Inside s'avère creux, sans rien derrière le postulat de départ. Empruntant à tous les précédentes œuvres du genre comme Blair Witch, L'Exorciste ou encore [●REC], le film enchaîne les longueurs inutiles, les fausses-pistes hasardeuses, les pseudo-scènes choc d'une prévisibilité consternante et nous amène au final à un néant très agaçant. À croire que ne jamais finir un film appartient aussi à la mode. Aucun frisson, aucune tension, aucune crédibilité, le long-métrage avance les yeux fermés, alternant entre dénonciation des moeurs secrets de l'Église, film de possession et produit horrifique façon found footage mal interprété et sans panache, devenant ainsi une œuvre inintéressante et très peu maîtrisée. À éviter.

Film d’horreur qui n’apporte strictement rien au genre, "Devil Inside" se distingue par le fait qu’il n’a que bien peu de séquences terrifiantes – celle concernant la jeune possédée contorsionniste est la seule qui marque vraiment les esprits. La mise en scène est donc dans l’ensemble bien banale (on a connu en tous les cas d’autres «Found Footage» bien mieux réalisés) et le déroulement de l’histoire ne propose que peu de surprises. Je noterai tout de même la relative bonne performance du casting, mais il est clair que dans son ensemble cette série B est vraiment d’une grande médiocrité et qu’il aura bien du mal à donner du frisson et à satisfaire ceux qui sont en quête de sensations fortes.

Super, j'ai bien flippé du début à la fin, pour les amateurs du genre çà doit plaire, comme d'hab dans le genre, pour la fin, on ne s'y attend pas(ou presque! )

Un filme qui promet, mais qui finit par décevoir, tellement l’idée de présenter l’histoire comme un documentaire filmé en temps réel, rabaisse sa qualité. Il faudrait que les réalisateurs amateurs de found footage comprennent que cette méthode de raconter une histoire au cinéma, bien qu’elle soit en générale très économique, résulte toujours en une énorme perte de qualité. À force de vouloir apporter du réalisme à une histoire, on finit ainsi par la rendre ridicule. Les cadrages sont souvent mauvais et pour ce qui est d’introduire des détails qui donnent à un filme surnaturel une dimension plus réelle, ça rate complétement l’objectif. Une bonne histoire surnaturelle demande un maximum de petits détails qui rendent l’inexplicable plausible. Ors avec la technique found footage, toute la mise en scène devient pauvre et limitée. Ce filme a pourtant un très bon argument : la possession ou multiple possession d’une mère par des entités très puissantes et meurtrières. L’histoire s’appuie sur le recours à des prêtres catholiques, sans oublier l’accompagnement de médecins qui tentent toujours de trouver des explications rationnelles. Le mélange n’est certes pas innovateur, mais les acteurs ont du potentiel. Dommage que la mise en scène se soit trop concentré sur l’idée d’un documentaire réel, au lieu de mieux développer l’histoire en essayant d’introduire des détails qui donneraient d’autres dimensions à ce genre de filme. Tout filme mérite toujours d’être enrichi au point d’atteindre plusieurs dimensions : histoire d’amour, histoire criminelle, suspens, action, drame et même une touche d’humour. Les meilleurs filmes du cinéma, quelque fusse leur genre, ont réussi à atteindre cet objectif. Pas celui-ci, ni tous les autres qui se basent sur du found footage. Dommage !

Je vous propose la critique de Devil Inside. Allez étudions le film points par points (on vas se marrer)
Les bons points: Ça fait marrer de voir des jeunes filles balancer des insultes ultra grossières, et saignée par tous les orifices corporels ^^
Les mauvais côtés : Commençons déjà par dire, que ce film fait partie des rares films, que j'ai coupé au milieu. Que dire à part que tout est mauvais. La réalisation est absolument navrante, le film prend le parti d'en faire un documentaire et possède des gros défauts sachant que, notamment dans une pièce, l'héroïne est avec le caméraman ils ne sont que deux dans l'équipe, ils filment quelqu'un et quand on envoie la caméra de surveillance il n'y à plus que la fille sur l'image... Que dire à part que c'est de la merde et que c'est une des plus grosse erreur que j'ai jamais vu dans un film qui est tourné caméra la main. Continuons les défauts, Prenant le parti d'en faire quelque chose de réaliste ,lucide, le film rate même ça, par le fait que les événements soient totalement débiles, que ce soit tournée n'importe comment, qu'on ne croit pas une seule seconde au dialogue qui sont absolument navrant, et que l'impact disparaît totalement. J'ai déjà parlé des acteurs qui joue extrêmement mal, des dialogues qui sont navrants,de l'histoire débile, de l'exorcisme au quel on ne crois pas une seconde, bref ce film est juste une merdes en fait,il se donne un côté réaliste mais il rate tous ce qu'il entreprend ce qui fait donc de lui une grosse bouse.

J'ai cru pendant les cinq premières minutes que j'allais avoir une bonne surprise et un bon petit film d'horreur. Las j'ai eu le droit à un mélange de film d'exorcisme à la mode (et on est loin si loins de Friedkin que l'on s'acharne à vouloir pomper), le tout à la sauce Blair Witch et Paranormal Activity, c'est moche à regarder et on ne croit pas une seconde au côté faux documentaire. Seul l'actrice qui joue le rôle de la mère tire son épingle du jeu.

Et un de plus , quand est-ce que cela va s’arrêter ? quelle est cette mode qui consiste à nous refourguer 2 fois par an un "film" sur un exorcisme ? C'est pitoyable .

On nous annonçait la plus grosse frayeur de l'année, un Paranormal Activity puissance mille, un film terrorisant les foules de spectateurs dans les salles obscures. Bref, on nous annonçait Devil Inside, un énième found footage surfant à son tour sur la vague du film de possession tellement à la mode ces dernières années. Rarement la démonologie n'aura autant passionné les cinéastes, et même si les véritables réussites se comptent sur les doigts de la main, tout bon amateur du genre ne peut se refuser une petite escapade au royaume de ce fascinant Satan et de ses chers fidèles. C'est donc sans d'extraordinaires attentes que l'on tentait l'expérience Devil Inside, avides des quelques frissons que laissait présager la première bande-annonce plutôt efficace dans son genre. Premier constat : il est de plus en plus difficile de parler d'originalité concernant la mise en forme dont le film bénéficie : la caméra subjective, le faux-documentaire, et la désormais traditionnelle bouffée de réalisme qui en ressort, une recette que l'on commence à connaître sur le bout des doigts. Si cette technique mettait brillamment en valeur des oeuvres comme Le Projet Blair Witch, [•REC], ou plus récemment Le Dernier Exorcisme, elle ne sert cette fois que de simple argument de vente. Si quelques scènes parviennent parfois à faire leur petit effet, la majorité des séquences ont un arrière-goût de réchauffé, le long-métrage reprenant un par un les stéréotypes du genre sans jamais nous surprendre, sombrant au fil des minutes dans la pure banalité. Si le pitch de départ aurait pu emmener le film vers de nouveaux horizons, grâce à son contexte particulièrement intéressant : Rome, son milieu ecclésiastique et son école d'exorcisme, le cinéaste semble ne pas vouloir perdre de temps avec le fond et ne prends pas la peine de développer les seuls aspects inédits qui auraient pu faire la différence. La seule parvenant à tirer son épingle du jeu restera la démoniaque Maria Rossi, qui endosse avec brio la parfaite tête de l'emploi et dont la folie arrive à nous faire tressaillir dans notre fauteuil à plusieurs reprises. Une performance assez bluffante pour un film malheureusement loin d'être à la hauteur. Les quelques montés d'adrénaline pourtant assez réussies - On frissonnera par exemple lors d'une impressionnante scène d'exorcisme et ses quelques démembrements qui font grincer des dents, ou encore le pétage de plomb d'un prêtre pendant le baptême d'un nourrisson - ne suffiront pas à nous convaincre, et encore moins à faire du métrage une oeuvre aboutie. Le syndrome Paranormal Activity a une nouvelle fois frappé. Devil Inside restera toutefois le créateur d'un concept somme toute assez révolutionnaire : celui du démon sauteur. Semblable à de vilaines puces circulant et s'insinuant sournoisement d'âmes en âmes, il n'est visiblement pas très recommandé de se trouver dans le périmètre de l'une de ses victimes, la possession devenant une véritable maladie contagieuse dont même la foi la plus absolue ne vous sauvera peut-être pas. La petite réinvention du mythe peut prêter à sourire sur le papier, certains pouvant se le permettre - [•REC] quand tu nous tiens - mais d'autres pas ; et aurait presque tendance à nous tirer quelques larmes de profonde désolation lors de dernière scène du film, un final absolument atterrant d'idiotie et d'incohérence. Outre cette absurdité finale qui nous laisse quelque peu frustrés et dépités, on ne retiendra finalement pas grand chose de Devil Inside, hormis une affiche splendide et quelques scènes qui parviennent sans mal à nous rendre très mal à l'aise. Malheureusement, le fond n'était pas au rendez-vous et même la forme pourtant pas si mauvaise en soit ne suffit pas à rattraper le tout. Try again.

la ficelle commence à être un peu grosse: film soit disant reportage tourné caméra au poing: bref , on a vu blair witch qui a beneficié de l'effet de surprise, mais là....franchement.
Le seul but de ce genre de film est de faire un max de blé avec le minimum de moyens.
Le résultat est une pale inspiration de l'exorciste, et la fin est pitoyable

les scènes sont courues d'avance, c'est un mélange de paranormal activity, l'exorciste, et rec, mais sans surprises.

Ce film est tout bonnement parfait ! Une merveille dans le genre. Certes, il est privilégié le côté réaliste plutôt que le côté fantastique de l'exorcisme, ce qui est vraiment bien et même enrichissant...

Depuis le « Projet Blair Witch », « REC », la réalisation à la caméra subjective me bassine hautement ! Elle montre ses limites en terme de réalisation et surtout dénuée d’imagination. Le duo fille/reporter - caméraman/woman se répète comme un mauvais refrain. La fille/reporter finit dans la plupart des cas mal, comme le cameraman/woman. La caméra est souvent abandonnée, l’image se parasite et basta, le film avec. Evidemment, pour voir la gueule de celui ou celle qui filme, soit les potes, la ou le reporter prend la caméra, histoire de toucher un peu à la « technique » (!) , parfois, une ou plusieurs caméras dites « objectives » remplacent tout ce petit monde, histoire de se donner du répit. Bref, ce mode de réalisation a ses limites et surtout c’est fatiguant, répétitif, téléphoné, cousu de fil blanc... comme la fin de ce Devil Insipide ! Le faux-vrai-faux documentaire est un genre qui selon moi, ne supporte pas la durée moyenne d’un long métrage d’une heure trente. « The Troll Hunter » avait un sujet original mais trop long ; « Phénomènes paranormaux » est un mix plus intelligent de caméra subjective /objective ; ainsi, c’est moins lassant et peut s’inscrire dans un long métrage. « Le dernier exorcisme » relançait « la franchise » exorciste mais trop redondant. Ici, en effet, on peut saluer la présence de démons multiples mais c’est devenu un sujet vite avorté. J’ai l’impression d’un film bâclé, qui n’a pas su tenir son cap de départ. Je pensais (à tort, c'est bien fait pour moi) que le sujet s'attarderait sur la mère ; au lieu de ça, il n'en fut rien et pourtant ce transfert du démon d'un personnage à l'autre comme une contagion diabolique aurait pu être captivant et ainsi me faire oublier la réalisation. Ben non ! Au moment où cela aurait pu être intéressant, le film part sur un autre chemin. Ce film n'est rien d'autre qu'une suite de frustrations... Enfin, un film interdit au moins de 12 ans n’a rien d’effrayant. J’en ai assez qu’on nous prenne pour des imbéciles. Quant à la version originale, elle me fait rire, des américains partout, pas un italien ne parle sa langue, il la baragouine au début pour nous rappeler qu'on est bien en Italie, des fois qu’on aurait oublié. Rien à reprocher aux jeu des acteurs. Bilan : inintéressant au possible !... Une demi-étoile supplémentaire : il est relativement court.

film qui n'est pas jugé à sa juste valeur pour moi, très critiqué alors qu'il est loin d'être un navet, il y a en effet bien pire ! un bon film d'exorcisme même si en effet ce n'est pas un chef-d'oeuvre, et l'actrice qu'on voit sur l'affiche m'aura fait bien flippé grâce à son jeu d'actrice super, même si je dois avouer que les autres acteurs sont un peu moins remarquable .. un bon film malgré tout, plus à voir qu'à ne pas voir !