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Sergio-Leone
182 abonnés
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0,5
Publiée le 16 avril 2012
Bonne grosse daube de qui? Mais oui, c'est bien sûr mes amis d'Europa Corp qui semblent recruter des collégiens de 6eme à l'écriture du scénario... Jamais un studio n'avait à ce point collectionné les navets, les clichés grotesques et les errances scénaristiques. Gamblin et L.Wilson font tâche dans cette production digne d'un spectacle de fin d'école.
prenez toutes les plus grosses ficelles du genre, rajoutez un chien et un aveugle et vous obtenez ce film! Rien ne tient debout, c'est incroyable de produire ce genre de navet! Gamblin ou la caricature du flic désagréable au lourd passé à fond dans le boulot qui devine tout on ne sait comment, Lambert Wilson n'est pas mieux dans son rôle mis à part le fait d'être aveugle et un dénouement qui se devine en moins de dix minutes.... Tout ça fait beaucoup de défaut pour un seul film, félicitations pour cette performance! Pas la peine d'en dire plus, mettez vous les dix premières minutes et vous aurez compris!
J'ai vu un film... qui est porté par 2 des plus grands comédiens du cinéma français, à savoir J. Gamblin qu'on retrouve dans un contre-rôle vraiment intéressant par rapport à son registre habituel et par Lambert Wilson qui ne ne me déçoit jamais... Alors, certes, il y a dans ce thriller de très grosses ficelles, avec qq incohérences scénaristiques mais ce duel psychologique tient ses promesses. Les motivations auraient gagnées à être approfondies, notamment celle de L. Wilson. Et même si les certitudes du commissaire sont tirées par les cheveux, et ses intuitions presque de la magie, on est tout de même pris par le film.
Tous les clichés et stéréotypes du genre ne nous sont épargnés, les dialogues sonnent faux, les personnages n'ont aucune crédibilités et bizarrement les acteurs ne semblent pas à l'aise dans leurs rôles. De la série B sans intérêt et pourtant l'ennui n'est pas au rendez-vous!
Un thriller français produit par Luc Besson... C'est une critique en soi non? Bref, celui ci, n'échappe pas à la règle... Le scénario est mal écrit et les dialogues cyniques paraissent plus adapté à une parodie de thriller qu'a un vrai duel entre flic et truand. Si on considère un temps soit peu que l'idée est originale (et c'est surement beaucoup dire) c'est tout ce qu'il y a d'original dans ce film plein de clichés. Entre la pimbeche amoureuse du héros et le héros détruit par la mort de sa femme. Ou le méchant manipulé et pas vraiment si méchant que ça! ENfin bref pas grand chose à sauver dans ce film si ce n'est qu'on rigole bien au fond mais si ce n'est pas vraiment le but de l'oeuvre!
Jacques Gamblin et Lambert Wilson se donnent brillamment la réplique dans ce polar sur fond de machination et de secret défense. Une histoire somme toute assez simple de tueur en série qui a la particularité d'être aveugle. Narvik est un ancien commando parachutiste qui a perdu la vue en Afghanistan, mais qui a gardé tous ses réflexes professionnels. De fait, il est manipulé par son ancienne hiérarchie qui l'utilise pour "nettoyer" les témoins d'une vente illégale d'armes en lui faisant croire que ce sont des terroristes... Le Commandant Lassalle, veuf inconsolable, le démasquera et le mettra hors d'état de nuire après avoir rencontré bien des difficultés avec sa hiérarchie qui a reçu des instructions "d'en haut" pour étouffer l'affaire. Son adjointe Héloïse (l'adorable Raphaëlle Agogué) l'y aidera astucieusement et on devine même qu'elle deviendra pour lui plus qu'une collègue de travail. Un bon moment de cinéma, même s'il est un peu simpliste par moments. Jacques Gamblin se confirme comme un acteur capable de jouer dans tous les registres.
Même si on ne croit pas un seul instant à cette histoire abracadabrantesque, ce petit polar est bien servi par de bons acteurs et notamment Gamblin et L.Wilson. On ne s'ennuie pas au cours de cette course poursuite, la réalisation est maitrisée tout comme le scénario, aussi peu crédible soit-il. Quelques pêchés dans le jeu des acteurs mais le tout se laisse suivre agréablement. Distrayant mais sans plus...
Réalisateur de talent ("Cash", "600 kilos d'or pur"), Eric Besnard (rien à voir avec le journaliste sportif) écrit parfois pour les autres. On se souvient par exemple de "Le nouveau protocole", thriller sombre sur un sujet original. Ici, c'est au service de l'équipe Besson qu'il met son imagination pour nous livrer la trame d'un polar musclé. Pour une fois, pas de Clovis Cornillac devant la caméra, mais un affrontement Jacques Gamblin/Lambert Wilson qui est l'atout principal de cette traque sans merci. Gamblin surtout est formidable dans le rôle de ce flic désabusé et cassant. Mystérieux, nerveux, originalement distribué : "A l'aveugle" est donc un film à voir.
Une excellente surprise... deux acteurs talentueux, un scénario qui tient la route... deux hommes que tout sépare mais que tout rassemble: l'un a perdu la vue, l'autre sa femme... Culpabilité et retour à la vie sont les deux thèmes majeurs de ce thriller très réussi...
Un bon petit thriller qui se laisse bien regardé, porté par un très bon duo d'acteurs, en particulier Jacques Gamblin qui porte vraiment ce film. Il y a aussi une belle photographie ainsi qu'une ambiance assez sombre plutôt réussie. Concernant, le scénario je l'ai trouvé très bon jusqu'au dernier quart d'heure. Pour ce dernier quart d'heure, je l'ai trouvé assez tiré par les cheveux, voire même peu crédible (spoiler: complot de l'armée, le flic qui s'évade et qui va conclure SON enquête, la confrontation finale... ), et pour moi il vient gâcher ce qui aurait pu être un excellent polar. Dommage.
Un scénario d'école pour un duo d'acteurs sûrs : Gamblin et Wilson. Finalement , aucun des acteurs ne sort l'épingle du jeu ; Wilson est plutôt passif dans ce second rôle , Gamblin est beaucoup plus en retrait. Le film prend au jeu , au départ , avec une enquête vraiment prenante , puis après , c'est plus brouillon. On entre dans des détails plus politiques et peut-être trop complexe pour un policier. Finalement , le film s'avère être un film sans grand relief avec une mise en scène sombre réussie. Mais voilà , c'est un film qui m'a séduit que pendant 20 minutes
"A l'aveugle" faisait vraiment envie. Et dès le début, dès les premiers plans, dès les premières notes de musique, j'ai compris que "A l'aveugle" serait moyen, voire médiocre. J'espérais profondément me tromper, mais la suite du film m'a donné raison. Xavier Palud réalise mollement une intrigue qui tourne vite au vinaigre, avec une musique de téléfilm du jeudi soir de TF1 qui n'arrange rien. Heureusement il y a le duo Jacques Gamblin/Lambert Wilson pour relever le niveau. Tout juste potable, "A l'aveugle" est une belle déception.
bravo pour un scénario bien ficelé. du début à la fin du film on est captivé par le couple GAMBLIN/WILSON. la classe dans leur interprétation respective. même après le générique on a du mal à quitter son siège. on en veut encore.
Force est de constater que peu nombreux sont les bons polards français au 21ème siècle. Vous pouvez vous amuser à les compter et à en débattre, mais il ne doit pas y en avoir plus que d'étudiants en arts du spectacle qui trouvent un emploi. A l'aveugle faisait de l’œil avec son casting qui pouvait laisser espérer de bonnes choses. On imaginait bien Gamblin en inspecteur de police désinvolte et râleur. La première mauvaise surprise survient avant même le début du film ; pendant les pubs. Où l'on s'aperçoit que le film a été financé en bonne partie par Ford, qui place ses produits allègrement, tant et si bien que la pub que vous voyez avant le film n'est composée que d'images qui en sont directement tirées. Curieux procédé, comme si on disait explicitement "ce que vous allez voir n'est pas du cinéma mais un large clip publicitaire pour les nouvelles Ford Focus". Bon, soyons de bons moutons et avalons cette pilule. La seconde déconvenue est l'apparition à l'écran de l'animation Europa Corp, fournisseur officiel de gros navets. Mais, on est en droit d'espérer une exception, après tout. Et bien, dix minutes de films vous aurons fait perdre tout espoir. La première scène de crime d'un polar est censée vous mettre dans l'ambiance pour le reste du film, vous accrocher. Il n'en est rien ici. Un meurtre froid, très mal mis en scène (de manière générale la mise en scène est aux abois, et d'une lourdeur sans nom, appuyée par une musique qui ridiculise davantage l'ensemble) et très rapidement effectué. Puis, un second meurtre, sans aucun rapport apparent avec le premier. Et à partir de ça, on voudrait nous faire gober que Gamblin sent dès le début que l'auteur est la seule et même personne, et qu'il sait qui plus est qui c'est dès la première fois qu'il le voit. Là, n se fout carrément de notre gueule, tant la scénario n'a aucune cohérence ni crédibilité. Les dialogues, eux aussi, sont navrants, à l'image du tristement mythique "on cherche, parce qu'on est là pour chercher" de l'inspecteur. Et comme il restait de la place sur la tartine, on termine l'intrigue par une théorie du complot minable et qui ne tient pas debout. Un téléfilm largement évitable.