Derniers Avis : Zero Dark Thirty - Page 19

Très bon film. Une traque est un univers impitoyable, le doute subsiste quand a l'identité de Ben Laden c'est donc très bien réalisé et merveilleusement bien filmé !

Zero Dark Thirthy retrasse la traque d'Oussama Ben Laden le leader d'Al-Quaida par un groupe de soldats de l'armée Américaine, durant tout le long du film nous verons comment l'armée Américaine torture des terroristes pour leurs soutirés des informations sur le lieu où se trouve Ben Laden, malgré les 2H29 du film on ne sent pas le temps passé, excellent Thriller qui vous fera revivre les 30 dernières minutes les plus sombres de la traque du chef du groupe terroristes.

Bigelow arrive à l’épure du film d’action idéologique. C’est formellement aussi froid et terrifiant qu’un film d’horreur. Rien ne nous est épargné, surtout pas les séances de torture, (malgré les protestations de la CIA). A la question : Peut-on montrer la torture ? Je réponds : comme ça, oui ! Structuré comme un bunker d’une solidité à faire pâlir d’envie n’importe quel mâle chevronné qui s’attaquerait un drame politique de grande envergure, car c’est aussi, d’une certaine façon, un drame politique. Sont posées les questions de la torture, du statut et de l’utilisation de l’image…Une maturité dans le dans l’action virile, capable d’envoyer à la retraite beaucoup d’autres mâles chevronnés qui sont dans le même créneau. Mise à distance, tension, reconstitution d’un réalisme qui a la dureté et la précision du diamant. « Objectivité » à toute épreuve, car on n’arrive pas à distinguer le vrai du faux. C’est aussi le portrait d’une femme complexe : Bon petit soldat qui n’hésite pas à se salir les mains, sans laisser une tâche sur son tailleur BCBG, bureaucrate teigneuse, franc-tireur, un peu psychorigide, fragile aussi, manipulatrice…complexe. Sa traque finit par devenir une obsession clinique et une vengeance personnelle. Cela devient une lutte à mort entre elle et un fantôme, (tout le monde pensait Ben Laden mort à l’époque, sauf elle). La dernière partie, celle de l’assaut, c’est comme si on y était. La partie d’avant, celle de l’attente, c’est la meilleure, (choix personnel). Décomplexé, intelligent, et chef-d’œuvre d’actualité, ce qui est rare, on en reparlera…Bravo !
De loin son meilleur film, à Katryn. Allez un petit SPOILER, ça fait longtemps que je voulais en faire un ! Ben Laden meurt à la fin.

Un bon film de propagande comme ces vieux westerns ou l'on pouvait casser du peau rouge tranquillou.

Kathryn Bigelow tient décidément la forme de sa vie : elle le prouve une fois encore avec « Zero Dark Thirty », à la fois très proche et très éloigné de son précédent « Démineurs ». D'un côté nous sommes toujours dans le registre film de guerre, réaliste, parfois violent, implacablement tendu et auquel on croit de bout en bout. De l'autre, le contexte est différent, l'approche moins frontale, tandis que l'héroïne (subtilement jouée par la merveilleuse Jessica Chastain) s'avère bien différente du personnage interprété par Jeremy Renner. Pas de doute en revanche concernant l'aspect technique : c'est impressionnant de maîtrise, d'intelligence, sans parler d'un travail sur le son absolument dantesque. L'assaut final vient d'ailleurs boucler cette brillante impression de la meilleure façon possible, enfonçant définitivement le clou quant à l'incompréhensible mépris dont on fait preuve les Oscars à l'égard du film. Car nommer Michael Haneke et David O. Russell et oublier la belle Kathryn, fallait quand même le faire... D'ores et déjà l'un des grands films de 2013.

la scène de capture de ben Laden est admirablement bien mis en scène. Le reste n'apporte rien de neuf dans le monde de l'espionnage au cinema. Je ne comprend pas tout le tapage médiatique (oscar, golden globes etc...) autour de ce film. Il n' y a rien de transcendant...

Long, Zero Dark Thirty l'est sans doute un peu trop. Si je veux bien le lui pardonner, c'est surtout à cause de son aspect documentaire et donc de la quantité de détails qu'amoncelle Bigelow, pour au final un film fleuve habilement construit. Un peu aussi à cause de la réussite du pari Jessica Chastain (auquel je ne croyais pas vraiment), qui par un jeu convaincant, amène des enjeux autres que politico-militaires, à savoir personnels, et que pour mettre en images le travail de toute une vie, il fallait sans doute bien 2 heures 30. Malgré tout, le film est par moment trop austère, mis à part le raid des SEAL, qui témoigne d'une maîtrise que Bigelow avait déjà mise à l'épreuve dans Démineurs. Sinon, même si l'Histoire des américains raconté par des américains pour des américains peut sans doute refroidir d'une point de vue crédibilité, Bigelow donne l'impression de rester dans la plus parfaite droiture historique, et je n'en connais de toute façon pas assez sur les faits pour juger. Me référant donc au seul intérêt dramatique et au travail visuel de la réalisatrice pour juger de son produit, je conclurais donc par un avis tout aussi sobre que ce sur lequel je l'exprime : Zero Dark Thirty est un film appréciable. 3.5/5.

Ma saouler ce Zero Dark Thirty faut s'accrocher pour suivre tout les Noms des Protagonistes
Faite un qui es ?? sa ira plus vite,beaucoup trop long que du blablablaaa
De plus ces Americains se prennent pour les Sheriff du Monde mais quand tu regarde le film dont la facon a comment ils traite les gens,les interroge,les exécute tu te dit : est que ces Americains valent mieux que leurs pseudos Terroristes qu'il pourchasse ??? (pas si sure)
Seul Credit que j'peux donner a Kathryn Bigelow c'est la seule femme réalisatrice qui fait des films de bonhomme sinon ce Zero Dark Thirty pue la Propagande a gerber (Americains Gentils,Arabes Mechants)

Après nous avoir fait revivre à sa façon bien à elle les événements du 11 septembre 2001, Kathryn Bigelow nous entraîne dans les bas-fonds des salles de torture américaines et dans le sillage de Maya, une jeune femme de la CIA (Jessica Chastain, Mama), lancée dans la traque d'Oussama ben Laden.

Au fil des interrogatoires par les Américains et des attentats par les Islamistes, on perd le sens du bien et du mal. On ne supporte plus ce que les uns et les autres font, on ne tolère plus ce que les uns font aux autres. Ou l’on s’engourdit, et l’on s’habitue. Et l’on veut juste que le prisonnier avoue enfin. Et lorsque Amnar parle, c’est lavé, devant un repas oriental, lors d’une conversation normale. (A noter qu’Ammar est formidablement interprété par le Français Reda Kateb.). L’extrême simplicité de ce repas, en contraste avec les scènes de tortures la précédant, est terrible.

Après ces aveux, l’enquête foisonnante s’enclenche, parfois difficile à comprendre dans tous ses détails mais que l’on suit tout de même comme un thriller. Maya s’obstine dans sa quête, et c’est le portrait de cette obsession de femme dans un monde d’hommes que Kathryn Bigelow montre avant tout. Tenant tête à tous, suivant des pistes tenues, se battant pour trouver des crédits pour le matériel et les filatures, elle ne renoncera jamais à traquer son ennemi. Et finalement le débusque.

La longue scène d’attaque de la maison/forteresse pakistanaise où Ben Laden, entouré par sa famille, continuait à diriger Ai-Quaïda, est filmée de main de maître par Kathryn Bigelow. Elle avait déjà traité les conflits moyen-orientaux dans Démineurs, ces soldats shootés à l’adrénaline, et sait conduire le spectateur jusqu’au bord de la catastrophe. C’est une scène de nuit : les Américains attaquent avec des appareils de vision nocturne et ressemblent plus à des extra-terrestres qu’à des humains. Le choc entre ces deux adversaires, entre ces deux civilisations est comme le fracas de deux mondes éloignés par des années-lumière qui s’affrontent. Et qui d’un coup se rapprochent lorsque que l’un des soldats tend un tube phosphorescent en signe d’apaisement à une des enfants.

Du côté de la réalisation, Kathryn Bigelow prend le contre-pied de ce qu’elle proposait dans Démineurs. Ici le sensationnalisme est mis de côté. Pas de surenchère. Juste des scènes qui s’enchaînent de manière précise, presque mécanique, dans l’ordre chronologique. Une précision qui ne nous empêche pas, par moments, d’être perdu dans le temps et l’espace. Mais ne vous y trompez pas, derrière cette fonctionnalité apparente de la mise en scène, l’œil incisif de la cinéaste est toujours présent. Des plans anodins en apparence cachent en réalité des indices précieux sur la suite des évènements. Et lors de la scène du raid, Bigelow reprend pleinement les rênes alternant caméra aérienne et huis clos oppressant.

Maya pleure à la fin, seule dans un immense avion, auquel elle ne sait indiquer une direction, son ennemi abattu, son objectif atteint, sa vie privée de sens. Comme un symbole de l’Amérique post 2 mai 2011 ?

Bon..Alors...Le film retrace la traque de Ben Laden de 2001 à sa mort par les services secrets américains.
Le film est classé dans les "thrillers" mais n'en est pas un, (tu parles d'un suspense ;) ). Mais n'est ce n'est pas le cas de tous les films retraçant un fait historique ? Pas forcément. Dans le genre thriller, "Argo" avait su me maintenir en haleine (réa par Ben Affleck - 2012, retraçant la prise d'otage de l'ambassade US à Téhéran en 79).

Ici, on est même pas dans le film-documentaire car on peine à croire que les services secrets US aient travaillé tout seuls pendant 10 piges. Film polico-historique ? Admettons...Pendant plus d'une heure on assiste aux tortures en tout genre pour faire cracher des noms avec lesquels le spectateur s'embrouille. C'est long. Le seul intérêt (pour peu qu'on s'y intéresse) c'est le final, les 30-40 dernières minutes où on assiste à l'assaut dans la maison (bien reconstitué...enfin...selon les versions officielles US) où l'on retient son souffle malgré une fin connue de tous. Il montre aussi sans vergogne que le but principal n'était pas de le capturer et de le présenter à la justice, mais bien de le faire disparaître.
Le film, salué de toutes parts, porte sur la détermination. Détermination d'un agent qui ira jusqu'au bout de ses intuitions, contre sa hiérarchie. Mais au final, c'est bien la détermination d'une nation toute entière qui apparaît, comme si les attentats n'avaient frappé que les USA et que ces derniers en avaient fait une affaire personnelle sans l'avis du reste du monde. ça, en revanche, c'est parfaitement décrit ...film sans grand intérêt donc, très long (2H30), qui malgré une réalisation très efficace dans les scènes d'action, ne parvient pas à nous maintenir dans l'ambiance d'un vrai thriller....ou alors je suis passée complètement à côté ...;)

Réalisatrice de merdes habituée à faire des merdes avec du p-cul comme scénario et en manque d'inspiration comme toujours, Bidgelow fait un docu-fiction qui se base sur des dires et non des faits Difficile d'adhérer à cette foutaise qui ne prend pas en compte tous les enjeux qui gravitent autour de cette pseudo-chasse à l'homme (financiers, stratégiques, politiques,policiers, militaires,...) aussi bien au plan local qu’international. Tous les spécialistes s'accordent pour dire que tout les agents des services secrets savaient depuis 2001 où était l'homme le plus médiatisé et le plus recherché de la planète.
Bidgelow et ses scénaristes ont-ils ouvert un journal depuis 2001 ou ont-ils tous appris à la TV.
Quand des incultes comme Bidgelow font de l'histoire, ça donne 0 dark de merde,une merde.

Une interprétation magistrale (notamment Jessica Chastain qui signe là une composition parfaite) au profit d'un film intelligent, qui ne sombre jamais dans la propagande. Les scènes d'explosion et "d'interrogatoire" sont toujours aussi éprouvantes. Quelques longueurs cependant.

Film très documenté, « zero dark thirty » relate de façon magistrale la traque de Ben Laden par les services secrets américains. La réalisation de Kathryn Bigelow est juste géniale, d'une précision chirurgicale et d'une totale maîtrise ; J'ignore si le scénario colle avec la réalité ou pas mais l'histoire est très convaincante et on y croit sans problème ; Le réalisme est poussé jusqu'à son paroxysme, notamment avec des scènes de torture assez insoutenables. Les acteurs, tous très bons, se sentent visiblement concernés par l'aventure et ça paye à l'écran ; Mention spéciale à Jessica Chastain, époustouflante dans le rôle d'une jeune agent de la CIA obnubilée par sa proie. La prise de la forteresse par les forces spéciales à la fin du film est un pur moment d'action qui termine avec brio cet excellent long métrage. J'adore !

Un excellent film, des acteurs attachants. Certes, romancé, mais la subtilité du scénario m'a plu. On s'attend comme toujours à un block buster américain, sans histoire, 53 explosions et un Jean Claude Van Damne très cliché. J'ai été agréablement surprise. A voir sans hésitation

Toute personne ayant donner a ce film une note supérieure à 0.5 doit être, au moins, considérer comme ignorante.. Vous disposez d'internet, faites vos petites recherches, faites appel à vos méninges. Dire que cette propagande est un film bien documenté reviendrais a dire que vous êtes con.