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13ordusenegal
3 abonnés
243 critiques
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5,0
Publiée le 25 février 2012
et dire que je comptez pas vraiment le voir,j'allais loupé l'un des meilleur film de cette année,adrien brody retrouve son meilleur role depuis le pianiste et livre une préstation digne de ce nom,les autres acteur sont criant de vérité(mentiont spéciale a éricka),un film a voir !
Cliché, ennuyeux, y a rien. un mélange d entre les murs, le cercle des poètes disparus, vol au dessus d'un nid de coucou, pretty woman: on mélange tout ça et on obtient un boubiboulga. 0,5/20 ( mettre 0 y parait qu'il faut faire un rapport spécial au bac )
Un film dérangé mais remarquablement bien tourné. L'acteur a fait un tres beau travail et bien sûr son meilleur role depuis " the Pianist". Un "4 étoiles" est de loin bien mérité!
Le sujet reste classique (un prof qui aimerait améliorer la vie d’au moins un de ses élèves) mais il s’éloigne des clichés car finalement, il échoue pour la simple et bonne raison qu’il est humain. Lui aussi a ses problèmes extérieurs qu’il ramène malgré lui à l’école.
Moins classique : la réalisation. Tourné comme un documentaire, le film s’ouvre sur des interviews d’enseignants. Dynamique, le film est ponctué de dessins du réalisateur et d’ « interviewes » de Henry Barthes. Tony Kaye prend clairement le parti de responsabiliser les parents des divers enfants à problèmes.
Enfin, la prestation d’Adrien Brody est très convaincante. Comme le fait remarquer le personnage de Meredith (interprété par la fille de Kaye) on y lit tout le poids du monde qu’il prétend ne pas porter. Même Lucy Liu (habituée à des rôles souvent glamour) exsude le désespoir.
merci d'avoir traité un sujet aussi complexe que l'enseignement!!! un regard étonnant et perturbant sur l'éducation aux USA. à quand un film sur les conditions des profs en France. Un Adrien Brody magnifique, qui nous montre une palette de comédien angoissante et attachante. à voir!!!
En y repensant je n'arrive pas trop a savoir quoi en penser. Pendant le film le spectateur est bouleversé et pris dans l'histoire mais au final on n'arrive pas trop à comprendre de quoi veut parler Tony Kaye : est ce qu'il souhaite réellement dépeindre toute la misère du monde ? Résultat il s'emmêle un peu les pinceaux et mise presque tout sur ses images (très belles mais un peu "vides" du coup). Et puis j'ai trouvé les flashback de trop, voire un peu chiants, comme souvent. Les acteurs sont cependant excellents.
Excellent!! Les acteurs font du bon boulot, on est tout de suite pris par l'intensité dramatique du film. On a à la fois une image de l'école aux Etats Unis et l'histoire du héros, qui sont tous les deux très interessants. Je ne regrette pas une seconde d'être allée voir ce film et je vous le conseille fortement
Sensibilité et humanisme à travers beaucoup de situations, parfois trop clichés il est vrai, mais qui permet de se questionner sur notre société et certaines des relations humaines d'aujourd'hui
En version française ce film doit être insupportable tant déjà en version originale les sous titres sont grossiers, mais s’il n’y avait que cela. D’abord le metteur en scène qui, en choisissant de poser sa caméra n’importe où et en y rajoutant des effets accélérés à fait le choix de la laideur. Ensuite l’esprit, en permanence tourné vers le pire, c’est à dire la volonté d’enfoncer en peu plus l’être humain plutôt que l’aider à s’en sortir. Comment peut-on vraiment imaginer que cela soit à ce point en Amérique dans un école payante non obligatoire ? Les parents ne sont pas tous comme ces monstres cent pour cent absents et qui pour cause, ne nous seront presque jamais montrés. C’est un vrai catalogue de malheurs inventés jusqu’à l’horreur finale, mise en valeur comme une pièce de théâtre. Je me demande hors la pédophilie, ce qu’on pouvait faire de pire dans un établissement d’enseignement. Ce film est totalement inutile, il n’explique rien, manipule les spectateurs naïfs et surtout il débouche sur un vide qu’il créait lui-même. Plus malhonnête, cela me parait difficile : vive les pires films de fictions ! j'irais même jusq'à dire vive le porno muet! Le personnage principal est abject, totalement tourné sur lui même, il donne des espoirs à tous ceux qui l’approchent pour les abandonner sous le prétexte qu’il n’est pas responsable de son statut. La façon dont il traite la pauvre fille perdue ne peut que la mener plus bas encore que lorsqu’il l’a rencontrée. Que reste-t-il alors en dehors des acteurs ? Absolument rien puisque les quelques moments d’émotion procèdent du raisonnement du fou qui est heureux lorsqu’il arrête de se taper dessus. Certes les acteurs font tout ce qu’ils peuvent, rien ne peut leur être reproché et en particulier à Samy Gaêle dant le rôle d’Erica. Elle, je la reverrai avec plaisir. Où est donc allé se perdre notre merveilleux ''pianiste'' ?
Poétique et bouleversant. Si je pensais voir un énième film sur les relations profs / élèves, je me suis bien trompée. Celui-ci est profondément beau, servi par un Adrian Brody plus vrai que jamais. Ses mots vous écorchent et vous renvoie au malaise qui nous habite tous.
Captivant d'un bout à l'autre : le rythme est lent mais pas soporifique car l'histoire progresse et les situations sont bien écrites; une base intéressante pour une brochette d'acteurs de très haut niveau, Adrian Brody en tête qui pourrait réciter le bottin sans perdre de sa superbe (et James Caan dans un (trop) petit rôle) --> mais la partie technique est une HORREUR : mise au point aléatoire, zoom grossiers, image granuleuse... je sais pas si c'est "artistique" mais ça m'exaspère : parmi les milliers de films que j'ai vu, c'est le second de mémoire dont la partie technique saccage le reste du travail (dans une moindre mesure que l'image brûlée de Buffalo'66 malgré tout).
Film insupportable, lamentable, mal torché formellement avec ses animations sur un tableau noir et ses gros plans tellement gros que l'on voit les crottes de nez des acteurs, dans lequel un bobo qui feuillète des livres nous assène, lui et ses collègues, tout un florilège de vérités-super-trop-profondes sur la vie et de jugements insultants sur les jeunes d'aujourd'hui (il les insulte tout simplement parce que ces jeunes ne lui ressemblent pas, à lui le bobo qui parcourt des livres ; on sent le règlement de comptes de prof qui a été humilié plein de fois durant sa carrière ; ah ben tiens, le scénariste de la chose était enseignant) ; film qui, en plus, délivre sur la femme un message qui m'a tout l'air pestilentiel (ainsi, le prof bobo recueille chez lui une gamine qui tapine et la sauve de sa misère sociale en lui interdisant le sexe et en la transformant en ménagère dont la vie consiste à attendre que l'homme revienne du travaill pour lui faire à manger... lamentable, je vous disais...).