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jeje 5
3 critiques
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2,5
Publiée le 2 juin 2014
je sais pas ce qu'ils ont avec la fin des films en ce moment putain y a toujours tout le monde qui crève à chaque fois ca doit être la mode. film très très bien mais fin voila quoi!!!
Concept vu et revu : un homme libre devient esclave, est vendu comme gladiateur et doit gagner sa liberté au combat. La plupart des scènes d'arène sont pompées sur "Gladiator" spoiler: recomposition d'une bataille, combat final contre un champion de Rome, mort par le propre couteau d'un gladiateur,... , avec une romance ressemblant fortement à celle de "Titanic" et un Milo dont l'enfance rappelle celle de Conan. Bref, rien d'innovant pour le scénario d'autant qu'on en connait la fin. Par contre, les acteurs sont crédibles pour leur rôle, l'ambiance Rome antique est bien représentée par la ville de Pompéi spoiler: arrivée de Cassia, intrigue politique, mariage d'intérêt,... , les scènes de combats sont bien chorégraphiées et les effets visuels spoiler: (notamment l'explosion du Vésuve et les autres catastrophes naturelles qu'il engendre) sont impressionnants. En bref, n'attendez pas de ce film du suspense ou des nouveautés pour le genre Peplum, mais si vous voulez un film à grand spectacle avec un Kit Harington au top physiquement, ce film se laissera agréablement regarder.
Une histoire d'amour sur fond de vésuve avant l'éruption. Une histoire sans intérêt avec des scènes style "Gladiator". C'est bien filmé, les effets spéciaux sont réussis, mais cela ne suffit pas. Un produit efficace pour un film pop-corn.
Trés moyen,c'est long avec une romance peu accrocheuse et des effets speciaux parfois hasardeux,des second roles ne servant à rien. l'acteur principal est toujours aussi inexpressif dans tout ses roles un film catastrophe à zapper.
Bilan pas très positif concernant l’adaptation cinématographique d’une des plus grandes catastrophes historiques. J’ai vu le synopsis avant d’écrire ma critique mais après avoir visionné le film et je dois dire que ce n’est pas ça du tout, rien à voir, vous vous en rendrez compte vous même. A vrai dire le scénario n’est pas vraiment un scénario, plus un patchwork d'histoires. Un film sur la fin de Pompéi, la tâche s’annonçait difficile, à moins de faire un documentaire. Du coup le réalisateur a essayé de faire un avant Pompéi pour justifier la chute finale de la ville et le réveil du volcan. Nous avons donc droit à une pseudo histoire de vengeance (un enfant voit ses parents se faire massacrer et va tout faire pour les venger), une histoire d’amour (le garçon croise le regard d’une fille est c’est le coup de foudre, ils doivent mourir ensemble), puis l’histoire de 2 esclaves (d’abord ennemis puis frères) et enfin la scène finale. Mais voilà c’est très mal orchestré avec un faux rythme et des acteurs pas crédibles (peut être mal dirigés)… du coup on se perd et on n’arrive pas à entrer dans l’histoire. Le seul point positif serait les décors, mais ça s’arrête la.
Pourquoi il faut le voir : - pour le croire. - parce que c'est un très grand film comique. - pour pouvoir répéter à chaque apparition à l'écran de Kit Harington "Jon Snow, tu n'es qu'un bâtard" (ou "tu ne sais rien Jon Snow", au choix). - pour les combats de gladiateurs improbables (je veux bien qu'ils soient ultra musclés mais on est à la limite du Hulk là), n'est pas Ridley Scott qui veut. - pour éclater de rire devant l'indigence des dialogues (la palme revenant à ceux entre Atticus, l'esclave black, et Milo-Jon dans leur cellule à base de "c'est toi qui vas mourir demain / non c'est toi / non c'est moi qui vais te tuer / non c'est moi..."). - pour les effets (...) La suite ici :
Sincèrement je ne comprends pas. Et au risque d'en surprendre plus d'un. Pompei est un BON film. Voir un excellent divertissement. Donc jusque-là vous aller me dire qu'il n'y a rien détonant. Car après tout, il en faut pour tous les gouts. Sauf que là c'est Paul W.S. Anderson qui l'a réalisé... Vous savez le réalisateur des Resident Evil ou Alien vs Predator... Donc au vu de sa filmographie on pouvait s'attendre à un bon gros Nanar. Et pourtant Pompéi est impressionnant visuellement et la narration se souffre d'aucun manque de rtyme. Certes ce n'est pas parfait. Il y a quelques effets un peu ratés (comme la course de chars à la fin). Des raccords un peu trop violant qui choque. Ou le faite que l'on vois venir la fin des les première minutes Mais dans l'ensemble on passe 1h45 de pur plaisir on en prend pleins les yeux. On sent que Paul W.S. Anderson a pris du plaisir a faire ce film et qu'il sait investi à fond. Aussi bien dans la réalisation que dans le montage, les choix musicaux (et qui sont terribles) sur les acteurs etc. Alors POURQUOI dans ce film on a droit à des plans d'une rare beauté, des moments épiques ou scène de destruction à la fois spectaculaire et impressionnant visuellement que ce soit dans leur mise en scène ou les plans choisis. Et que dans ses autres productions (comme RE) on a une réalisation aseptisée à l'extrême et d'une laideur (comme pour les ralentir) sans nom. À croire que pour faire Pompéi il était content de travailler et qu'il pouvait laisser libre cours à ses choix et sa manière de filmé. Et dans les RE on lui fout un flingue sur la tempe et qu'il se dépêche de vite finir son film histoire de toucher sont chèque. Sauf que pour le coup il se dit un vrai "fan" du jeu. Alors POURQUOI ne pas produire le même résultat dans tous ses films? Franchement, tous les réalisateurs ont une façon à eux de filmé, et au fil du temps on finit au premier coup d'oeil par reconnaitre son réalisateur. Mais là, si je savais pas que c'était Paul W.S. Anderson qui l'avait réalisé et que l'ont m'avais posé la question a la fin de la projection sur "qui" la fait. Jamais je n'aurais trouvé... En conclusion Pompéi est une "grosse" surprise qui mérite d’être vu pour bien des points. Mais qui énerve aussi car ont ce dit que sont réalisateur à du potentiel mais qui prend pas le temps de choisir ses films ou du moins de prendre du temps pour les faire...
Attendre plus d'une heure pour que ça pète, se coltiner une histoire d'amour qui sonne faux sous des scènes héroïques clichées et ridicules, connaître le moindre évènement à l'avance, assister à des bastons débiles et en aucun cas crédibles, suivre des acteurs plats auxquels on ne ressent pas la moindre empathie, bref vous l'aurez compris, "Pompéi" reste dans la parfaite lignée des précédents travaux d'Anderson. Le poil soyeux peut-être, mais loin d'avoir l’œil vif, ce réalisateur est tout de même hallucinant pour proposer et laisser passer des scènes aussi aberrantes... Dans ses mises en scène, rien ne passionne et plus rien n'étonne. Tout sonne faux pour en faire un véritable "Gladiator" du pauvre emballé de niaiserie sous un ruban de médiocrité cinématographique. Une étoile pour les effets spéciaux.
Un gentil très gentil et juste fait face à des méchants très méchants et injustes. Heureusement -mais sans surprise- le volcan est là pour mettre fin à ces naiseries hollywoodiennes difficilement plus prévisibles. Les paysages et effets spéciaux sauvent la mise. Mais de justesse. La fin est affligeante.
- Ou "et si on faisait un mashup de 2012 et Gladiator?" Le genre du Péplum semble revenir timidement dans les salles obscures, timidement car on ne peut évidemment plus sortir les mêmes qu'il y a 40 ans, rentabilité commerciale oblige. Il faut trouver un moyen de renouer avec le genre tout en diminuant l'épaisseur des dialogues et des personnages et en augmentant la cadence d'effets spéciaux. Le scénariste se souvient alors de Pompéi, cette ville (et les autres aussi qui l'entourait) qui tombèrent sous le joug des flammes tumultueuses du Vésuve en l'an 79, évènement contemporain à l'avènement de Titus. En consultant les archives sur les fouilles archéologiques du site, notre scénariste trouve l'existence de (çà alors): un amphithéâtre ! L'occasion est trop belle pour réunir deux genres qu'on penserait jamais voir ensemble : le Péplum catastrophe. Pourquoi pas, après tout. On prend un acteur qui marche, notre Jon Snow national (qui espérons ne reste pas cantonné à ce rôle de guerrier au grand cœur) et on le transforme en une sorte de Maximus vengeur 2.0, même procédé pour Jack Bauer alias Commode new gen. Mélangez le tout vous obtenez Pompéi, pas désagréable en soi mais qui manque sacrément d'une dimension épique. Pline l'Ancien passe sous la trappe (après tout qu'est ce qu'on peut bien foutre d'un homme de lettres dans ce genre de films?), remplacé par quelques citations tirées au sort de Pline le Jeune. Le film échoue là où Titanic avait réussi : réussir à mélanger une catastrophe historique avec des fouilles archéologiques actuelles (seules quelques statues de magma pour la plupart inventées sont visibles). Le film paraît très court et ne tourne au final qu'autour d'une romance conte de fée entre un esclave et une noble, les effets spéciaux sont évidemment réussis (encore heureux), mais tout l'aspect politique est passé au second plan... Pompéi est une œuvre illustrant malgré elle une réalité actuelle bien triste: la suprématie du Pathos sur le Logos, ou quand émouvoir devient une raison.
On sent de réels progrès de la part de Paul W. Anderson, il y met du sien ca c'est certain (quand on connait d'en peu plus près sa filmographie ...). Mais des nombreux defaults subsistent encore chez ce dernier faisant de Pompéi, un spectacle assurément bon mais sans véritable profondeur ! Ici ce n'est pas du nanar mais juste un film aux nombreuses paresses accidentelles !