Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
C'était à Cannes un moment de jubilation, une comédie sociale pleine de tendresse pour ses personnages de paumés magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier De Bruyn
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Metro
par Rania Hoballah
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, "La Part des anges" est une fable sociale revigorante qui se déguste comme un bon petit malt.
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Ecran Large
par Stéphane Argentin
Les séquences promptes à arracher des larmes le disputent à d'autres à faire pleurer de rire.
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L'Express
par Christophe Carrière
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La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) ce 26e long métrage du réalisateur, prix du jury sur la Croisette, parvient à maintenir l'équilibre entre ressorts drolatiques du divertissement et résonances contemporaines sur une société sans réhabilitation possible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La dream team du cinéma britannique nous surprend une nouvelle fois avec "La Part des anges", son pétulant douzième film, justement récompensé par le prix du jury au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
Un Loach de la plus belle eau, fin, léger, raconté comme un conte.
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Marianne
par Danièle Heymann
Les drames sociaux de Ken Loach imposent admiration et respect. Cette fois, et on devrait l'en remercier au lieu de l'en blâmer, il a choisi, pour dire ses colères, son engagement sans faille du côté des lésés, le registre insolite et bienfaisant de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Toujours aussi percutant à dénoncer le sort infligé à la jeunesse qui ne voit aucune perspective d'avenir devant elle, [Ken Loach] manie le rire mais aussi toutes les autres émotions dans un réquisitoire percutant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
[Ken Loach] nous invite à une aventure en crescendo, qui démarre sur les chapeaux de roue du réalisme le plus saisissant pour finir par un dérapage contrôlé dans le burlesque d'une entourloupe au suspense alcoolisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
"La Part des anges" prend le parti de la comédie comme une résolution éthique : son invraisemblable casse au whisky relève d'une décision souveraine de l'optimisme. C'est une grâce que le film nous accorde, un éclat de rire qu'il nous invite à partager, un très joli mais curieux moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Mi-comédie, mi-tragédie (...), "La Part des Anges" paresse un peu en cours de route. Mais le constat obstiné d'une Grande-Bretagne en déliquescence sociale sous-tend le portrait réjouissant d'une humanité complexe, incarnée par des acteurs aux trognes inénarrables et à la criante justesse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
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Télérama
par Cécile Mury
Ken Loach rêve tout haut, avec un brin de naïveté, d'une revanche des pauvres, mais évite tout sermon assommant. Rien, dans cette équipée de branquignols au fin fond des Highlands, n'est pris trop au sérieux. La verve et le naturel des comédiens, filmés avec une empathie amusée, rappelle l'ambiance et la dérision des grandes comédies italiennes des années 1950.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Pour s'initier au secret de la dive bouteille, Loach a fait appel à un spécialiste, Charles MacLean (...). La présence de ce passionné est l'un des atouts de ce film spirituel sur fond de spiritueux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Si "La part des anges" est réussi, au contraire de "Route Irish", le précédent film de Loach, c'est sans doute pour commencer que la prise de risque est minimale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le talent des acteurs, la qualité des répliques aident par ailleurs à oublier les faiblesses structurelles du film, dont on retient au bout du compte les gags les plus savoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"La Part des anges" n'est pas exempte de scènes cocasses dans un domaine pour le moins inattendu en matière de galéjades. Surtout, il maintient un vrai suspense et s'obstine à distiller de l'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Jean-Pierre Perrin
Ken Loach a choisi pour composer le petit groupe de Glasgow des acteurs non professionnels (...). Ce qui nous vaut des dialogues hauts en couleur, un humour décalé et des réflexions bien grasses, qui enrichissent, même si elle est profondément originale, la trame un peu mince du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Avec malice, Ken Loach (...) met en scène une bande de Pieds Nickelés à la fois drôles et touchants pour nous conter, le sujet n'est pas vraiment neuf, la revanche des petits sur les nantis.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Dès que le récit se débarrasse de ses oripeaux sociaux-larmoyants (trente minutes de sous- "Raining Stones") pour se concentrer sur le seul casse des Pieds Nickelés, il trouve l'alliance parfaite entre tension dramatique, justesse sociale et truculence qui font les meilleures farces.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Quand il n'est pas juste moqueur (envers un personnage d'idiot vraiment navrant), le film est parfois drôle mais la plupart du temps inepte, incapable de dépasser le statut de récréation dans la trajectoire désormais entièrement vouée à l'académisme de Ken Loach.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Pas toujours bien écrit (...), bien dialogué et bien joué, mis en scène platement, obéissant à un programme breveté "public dans la poche" (...), "La Part des anges" n'est ni indispensable ni honteux, resucée tardive des comédies populaires italiennes des années 50.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Vautré dans son fauteuil de conteur pantouflard, façon Père Castor radoteur et au bout du rouleau, Loach a rarement été aussi mauvais dans cet exercice.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Matthieu Bareyre
"La Part des anges" est un film qui, ne parvenant pas à poursuivre la jolie valse tonale qu'inaugure sa première demi-heure, voit son récit se vautrer définitivement dans un flonflon de banlieue à l'optimisme social sirupeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
C'était à Cannes un moment de jubilation, une comédie sociale pleine de tendresse pour ses personnages de paumés magnifiques.
Le Point
Voir le site du Point.
Metro
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, "La Part des anges" est une fable sociale revigorante qui se déguste comme un bon petit malt.
Ecran Large
Les séquences promptes à arracher des larmes le disputent à d'autres à faire pleurer de rire.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
(...) ce 26e long métrage du réalisateur, prix du jury sur la Croisette, parvient à maintenir l'équilibre entre ressorts drolatiques du divertissement et résonances contemporaines sur une société sans réhabilitation possible.
Le Journal du Dimanche
La dream team du cinéma britannique nous surprend une nouvelle fois avec "La Part des anges", son pétulant douzième film, justement récompensé par le prix du jury au dernier Festival de Cannes.
Les Fiches du Cinéma
Un Loach de la plus belle eau, fin, léger, raconté comme un conte.
Marianne
Les drames sociaux de Ken Loach imposent admiration et respect. Cette fois, et on devrait l'en remercier au lieu de l'en blâmer, il a choisi, pour dire ses colères, son engagement sans faille du côté des lésés, le registre insolite et bienfaisant de la comédie.
Ouest France
Toujours aussi percutant à dénoncer le sort infligé à la jeunesse qui ne voit aucune perspective d'avenir devant elle, [Ken Loach] manie le rire mais aussi toutes les autres émotions dans un réquisitoire percutant.
Paris Match
[Ken Loach] nous invite à une aventure en crescendo, qui démarre sur les chapeaux de roue du réalisme le plus saisissant pour finir par un dérapage contrôlé dans le burlesque d'une entourloupe au suspense alcoolisé.
Positif
"La Part des anges" prend le parti de la comédie comme une résolution éthique : son invraisemblable casse au whisky relève d'une décision souveraine de l'optimisme. C'est une grâce que le film nous accorde, un éclat de rire qu'il nous invite à partager, un très joli mais curieux moment de cinéma.
Première
Mi-comédie, mi-tragédie (...), "La Part des Anges" paresse un peu en cours de route. Mais le constat obstiné d'une Grande-Bretagne en déliquescence sociale sous-tend le portrait réjouissant d'une humanité complexe, incarnée par des acteurs aux trognes inénarrables et à la criante justesse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Ken Loach rêve tout haut, avec un brin de naïveté, d'une revanche des pauvres, mais évite tout sermon assommant. Rien, dans cette équipée de branquignols au fin fond des Highlands, n'est pris trop au sérieux. La verve et le naturel des comédiens, filmés avec une empathie amusée, rappelle l'ambiance et la dérision des grandes comédies italiennes des années 1950.
20 Minutes
Pour s'initier au secret de la dive bouteille, Loach a fait appel à un spécialiste, Charles MacLean (...). La présence de ce passionné est l'un des atouts de ce film spirituel sur fond de spiritueux.
L'Obs
Si "La part des anges" est réussi, au contraire de "Route Irish", le précédent film de Loach, c'est sans doute pour commencer que la prise de risque est minimale.
Le Monde
Le talent des acteurs, la qualité des répliques aident par ailleurs à oublier les faiblesses structurelles du film, dont on retient au bout du compte les gags les plus savoureux.
Le Parisien
"La Part des anges" n'est pas exempte de scènes cocasses dans un domaine pour le moins inattendu en matière de galéjades. Surtout, il maintient un vrai suspense et s'obstine à distiller de l'espoir.
Libération
Ken Loach a choisi pour composer le petit groupe de Glasgow des acteurs non professionnels (...). Ce qui nous vaut des dialogues hauts en couleur, un humour décalé et des réflexions bien grasses, qui enrichissent, même si elle est profondément originale, la trame un peu mince du film.
Télé 7 Jours
Avec malice, Ken Loach (...) met en scène une bande de Pieds Nickelés à la fois drôles et touchants pour nous conter, le sujet n'est pas vraiment neuf, la revanche des petits sur les nantis.
TéléCinéObs
Dès que le récit se débarrasse de ses oripeaux sociaux-larmoyants (trente minutes de sous- "Raining Stones") pour se concentrer sur le seul casse des Pieds Nickelés, il trouve l'alliance parfaite entre tension dramatique, justesse sociale et truculence qui font les meilleures farces.
Cahiers du Cinéma
Quand il n'est pas juste moqueur (envers un personnage d'idiot vraiment navrant), le film est parfois drôle mais la plupart du temps inepte, incapable de dépasser le statut de récréation dans la trajectoire désormais entièrement vouée à l'académisme de Ken Loach.
Les Inrockuptibles
Pas toujours bien écrit (...), bien dialogué et bien joué, mis en scène platement, obéissant à un programme breveté "public dans la poche" (...), "La Part des anges" n'est ni indispensable ni honteux, resucée tardive des comédies populaires italiennes des années 50.
Chronic'art.com
Vautré dans son fauteuil de conteur pantouflard, façon Père Castor radoteur et au bout du rouleau, Loach a rarement été aussi mauvais dans cet exercice.
Critikat.com
"La Part des anges" est un film qui, ne parvenant pas à poursuivre la jolie valse tonale qu'inaugure sa première demi-heure, voit son récit se vautrer définitivement dans un flonflon de banlieue à l'optimisme social sirupeux.