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    Calvary
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    85 critiques spectateurs

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    pfloyd1
    pfloyd1

    129 abonnés 2 109 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    Calvary est une bonne surprise mais j'ai été un peu déçu car ce n'est pas ce que j'imaginais. Le début plante l'intrigue..."mon père je vais vous tuer..." , terminé , rien d'autre. Le film n'est qu'une palette de personnages rencontrées par le prêtre à l'occasion de sa vie quotidienne au village. Charismatique, le personnage principal l'est et séduit le spectateur mais pas franchement l'entourage. La réalisation est bonne, dommage que les rencontres successives ne sont pas toutes intéressantes, du coup quelques longueurs subsistent. La fin est plutôt décevante, je retiendrai la beauté des paysages de l'Irlande et le charisme de ce prêtre attachant.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    58 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    Bon film, sombre. Scénario intéressant mais réalisation un peu lente. Les acteurs sont excellents et les musiques celtiques très sympas !
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    75 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2017
    Bon film britannique, à la fois thriller et enquête sociologique. Un crime va avoir lieu, en attendant, le héros du film rencontre une série de personnages tous plus ou moins sympathiques. C'est bien filmé, les décors extérieurs sont très beaux, les dialogues sont d'une bonne qualité littéraire, ce n'est aucunement ennuyeux. Un film qui pose quand même le problème de la pédophilie dans l'église irlandaise et de ses conséquences à long terme.
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2015
    Un film dramatique typiquement irlandais, dominé par la prestation de Brendan Gleeson, dont on suit l'histoire avec intérêt, le suspens étant bien entretenu avec un compte à rebours jusqu'à la fin.
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    30 abonnés 765 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2022
    Une pincée de mysticisme et une bose dose de psychologie dans ce film au rythme lent, aux discussions lapidaires, et au paysages mornes de l'Irlande. Le film débute par la confession d'un homme qui donne rendez-vous au prêtre quelques jours plus tard sur la plage pour le tuer. On suit ensuite le prêtre jusqu'à cette rencontre funeste, sans savoir si l'homme accomplira vraiment sa sentence. J'ai trouvé le récit ennuyeux, les dialogues sans véritable sens, et les personnages m'ont paru exagérément névrosés. Le prêtre passe le plus clair de son temps à écouter des paroissiens mentalement fragiles voire déséquilibrés. Ça m'a semblé trop exagéré, trop caricatural, et j'ai eu du mal à m'immerger dans cet univers caricatural.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2014
    J’ai adoré ce film fort, prenant, puissant, tourné sur une de ces côtes d’Irlande, qui offre des paysages éblouissants. On connait l’histoire : le père James exerce son ministère dans cette campagne irlandaise, un samedi il reçoit en confession un mystérieux membre de sa paroisse, qui lui annonce crûment qu’il va le tuer le dimanche suivant, il veut tuer un bon prêtre pour se venger des sévices subis dans sa jeunesse d’un autre ecclésiastique. L’homme de Dieu à une semaine, pas un jour de plus pour se préparer…On apprendra qu’avant d’embrasser la prêtrise il a été marié, puis veuf et a de ce mariage une fille, Fiona, jouée par Kelly Reilly. Cette fille vient lui rendre visite, elle a de gros problèmes psychologiques, elle porte sur les poignets les marques d’une tentative de suicide, mais irradie de sa beauté rousse la moindre de ses apparitions…pendant cette semaine, jour après jour, le père Lavelle va continuer d’aider ses paroissiens à résoudre leurs problèmes, il rencontre aussi de drôles de paroissiens, pas très portés sur la religion, très hauts en couleur, les dialogues et les situations avec eux, deviennent ambigus mais non dénués d’humour, mais d’un humour très noir…chacun de ces personnages peut être ce mystérieux paroissien et le suspense s’installe . Mais comme il s’agit d’un prêtre, le film est aussi une réflexion sur la place de l’Eglise, la foi, le pardon, dans un pays traumatisé par la révélation des actes pédophiles qui remontent à quelques dizaines d’années mais que l’on ne peut oublier. John Michael McDonagh réalise un film intense, profondément humain, porté par un Brendan Gleeson, époustouflant dans le rôle du père James.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2015
    Trois ans après son premier long-métrage The Guard, John McDonagh, le frère de Martin, revient avec de nouvel opus qu'est Calvary. Avec entre autre Brendan Gleeson en tête d'affiche, le film laissait augurer de bonnes choses mais le résultat final est décevant. Car ce que le réalisateur et scénariste irlandais nous a offert, c'est avant tout une production lourde et pompeuse faite de longs sermons mystiques à vous donner envie de vous taper la tête contre le mur. Le film a beau soulever des points intéressants comme la place de l'église dans notre société moderne, il se perd totalement dans ce verbiage horripilant et contre-productif, le scénario ne faisant qu'enchainer tirade sur tirade sans vraiment se préoccuper d'une intrigue il faut l'avouer infinitésimale. La réalisation sans grand défaut et le casting solide parviennent tout juste à sauver le film du naufrage complet.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2015
    John Michael McDonagh poursuit son petit bout de chemin aux côtés de son acteur fétiche, l’excellent Brendan Gleeson avec Calvary. Après le remarquable L’Irlandais, comédie policière à tendance dramatique, le cinéaste revient, les deux pieds toujours enracinés dans le terreau irlandais, avec un film un tantinet moins guilleret. Dès les prémices du long-métrage, nous voilà renseigner sur la nature du récit qui nous est proposé. Un prête de l’Eglise catholique irlandaise, toute puissante institution qui collectionne les casseroles, au pays de trèfles et de la Guinness, se voit menacer de mort, au confessionnal, par un mystérieux individu. Ce même prête, respectable avant toute chose, devient, compte-à-rebours de sept jours ouvert, la cible d’un vengeur qui semble en vouloir à la maison du Christ pour des actes de pédophilie passés. Innocent, au même titre que l’est un enfant dans les mains d’un gaillard mal intentionné, notre bon prêtre semble inéluctablement devoir préparer son départ pour l’au-delà.

    Drôle de postulat, donc, qui permet au cinéaste de passer en revue les vices de petit peuple d’Irlande, dans une lente et métaphorique avancée vers la date buttoir. En dépit de ce que l’on pourrait en penser, à priori, Calvary est un film profondément respectueux des valeurs chrétiennes. Bien qu’utilisant comme argument choc la pédophilie, un fait sinistrement avéré, le réalisateur, par l’entremise de son acteur, s’applique à faire de son personnage principal un véritable homme de foi, d’où cette absence de rébellion la sentence imminente décrétée. En effet, par l’entremise d’une vie sociale qui lui permet de dialoguer avec tout un chacun, dans sa communauté, notre bon prêtre, tout en tentant de découvrir, malicieusement, qui est son potentiel futur bourreau, continuera comme si de rien n’étant, de faire passer la bonne parole, redresseur de torts en soutane qu’il est.

    Sur le rythme lancinant d’un drame psychologique, le metteur en scène fait valoir la qualité de sa mise en scène, le cadrage, notamment, est magnifique, son bon goût pour les décors naturels, ici splendides, et finalement son sérieux dans les dialogues, dans les métaphores et autres vérités que son film véhicule. Malgré cette forme d’habilité, cette sérénité artistique, le film manque pourtant de substance, de vie, d’énergie. D’avantage une errance qu’une trépidante aventure psychologique, Calvary s’enlise dans les bonnes intentions tant et si bien qu’à terme, on se moque quelque peu de savoir qui veut la peau du curé. Malgré un final plutôt culotté, John Michael McDonagh ne parvient pas à faire rebondir son intrigue, une intrigue qu’il déroule pépère devant nos yeux dans une démarche artistique et non pas constructive.

    Calvary n’est donc pas le retour gagnant d’un réalisateur ayant pourtant un fort potentiel. Qu’on se le dise, L’Irlandais était singulièrement meilleur, du moins plus attrayant. Sans doute plus personnel, Calvary tente d’imposer une vision qui ne sera sans doute pas celle de la majorité. Pour autant, nous ne pouvons que saluer la prestation de Brendan Gleeson, bluffant en prêtre de campagne, sans compter sur la présence plutôt intrigante, quoique convaincante, de Chris O’Dowd. 09/20
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Réflexion sur le dogme catholique ou réquisitoire sur la pédophilie au sein de l’église, ce film aux paysages sublimes jongle entre drame et thriller pour finalement ne jamais trouver le ton juste.
    Sauf la fin du film, qui bien qu'annoncée au début possède une portée lyrique remarquable.
    Cine vu
    Cine vu

    142 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2015
    Un sacré film… Un film sacré

    J’irai presque prier à la paroisse du Père James, il est vrai, intègre et diablement humain.

    Un film puissant pour sa série de portraits sur nos semblables, tous pêcheurs et tous handicapés de la vie. Le temps s’arrête avant la mise à mort du brave prêtre qui va payer pour tous les curés pédophiles. Une de ses ouailles lui donne une semaine pour se préparer, il aura ensuite rendez-vous sur la plage avec la mort .

    Alors on part à la rencontre de ses paroissiens, c’est l’un d’entre eux forcément, mais lequel ? Car chacun semble porter sa croix et sa souffrance.

    Du bon thriller psychologique qui prend aux tripes avec des dialogues percutants et spirituels. On flirte avec l’absurde et le drolatique. Un bonheur pour les yeux et les oreilles, l’Irlande et ses paysages sauvages, l’Irlande et ses irlandais tourmentés, un voyage culturel bouleversant et qui prête à la réflexion.

    Brendan Gleeson offre sa carcasse et sa soutane au père James, il est étonnant de vraisemblance.

    Sa fille Kelly Reilly est déjà une actrice troublante et précieuse.

    On retrouve la mystérieuse Marie-Josée Croze qui donne toujours un peu plus de lumière au cinéma.

    Un casting irréprochable pour chaque rôle et une BO de qualité qui souligne merveilleusement chaque situation.

    John Michael McDonagh est un réalisateur et scénariste sacrément doué et un pur Irlandais.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Chronique d’Une Mort Annoncée

    Il était une foi…

    Pour les chrétiens, le calvaire est la crucifixion du Christ, la mort de ce Dieu fait homme, et venu nous libérer de nos péchés. Cette notion est essentielle à la compréhension de Calvary, du réalisateur John Michael McDonagh, qui nous raconte les derniers jours d’un prêtre irlandais, menacé de meurtre dans huit jours par un paroissien qu’il a reçu en confession. Le calvaire du Christ devient alors celui d’un de ses représentants sur terre. Film sur la foi, sur l’isolement d’une petite ville irlandaise et avant tout, film sur la solitude des hommes d’églises (très présente dans ces scènes du père Lavelle méditant seul face à l’océan). Des prêtres devenus anachroniques en prônant des valeurs que le monde bafoue un peu plus chaque jour.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 novembre 2014
    C’est un drôle de paroissien que le père James accueille un dimanche à confesse. Violé par un prêtre pédophile à 7 ans, la voix de l’ombre annonce à son confesseur que pour prix de sa vengeance, il le tuera dans sept jours. Pourquoi lui ? « Parce que vous êtes innocent justement. Sinon la vengeance serait évidente !» Sept jours donc, pour que la victime devienne l’assassin. Et pour que le père James débusque son tueur parmi ses ouailles. Une semaine flic et prêtre, entre enquêteur et confesseur.

    Sur ce scénario de polar malin, commence alors le défilé de suspects potentiels. Qui nous fait passer en revue tout ce que ce petit village marin au nord de l’Irlande compte de frustrés, de névrosés et de psychotiques. Ici, l’herbe est verte, mais l’océan est gris. Les témoins appelés « à la barbe » de James ne lui facilitent pas la tâche et le bon père passe par tous les états : « déni, colère, marchandage, dépression, acceptation… » Le calvaire n’en finit pas.

    Grâce à la superbe interprétation de Brendan Gleeson, dont la conviction bourrue est épatante, on peut comprendre son questionnement sur «la faute et le pardon » et surtout partager sa souffrance morale. Malheureusement, on ne voit pas bien de quelle aide peut lui être sa jolie fille… car il a été marié dans le temps ! Au-delà de cette curiosité qui relève surtout du mélo, le film pèche un peu par sa naïveté et celle de personnages secondaires très « archétypés ». Le voir est cependant une douce pénitence.
    Loïck G.
    Loïck G.

    337 abonnés 1 671 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Un film magnifique, qui sous les aspects fugaces d’un thriller révèle toute la complexité des rapports humains, quand un fil vient à lâcher : l’annonce de votre mort prochaine. L’homme concerné n’a rien à se reprocher, mais les faits sont là, il a une semaine pour tout remettre sur le droit chemin. Ce n’est peut-être pas toujours très simple à suivre, mais je vous assure que la manière de filmer l’Irlande de MCDonagh vous donne des envies de vous y rendre, et de suivre l’intrigue au plus près des falaises et du vent. Avec des dialogues affûtés à l'humour noir et un casting irréprochable mené par Brendan Gleeson (« L’Irlandais ») et Kelly Reilly (« True Detective »)
    Pour en savoir plus
    Raphaël O
    Raphaël O

    147 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2015
    Cette comédie dramatique aux accents d'enquête policière repose sur un scénario lent mais original et très bien écrit, une tension montant crescendo, une superbe photographie et est portée par l'excellente performance de Brendan Gleeson.
    Un bon moment de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Film intéressant, quoiqu'un peu surévalué dans les critiques à mon sens. Je n'ai pas bien saisi l'aspect "comédie" du film. Il s'agit plutôt d'un polar sombre, mais là encore, l'aspect "polar" est loin d'être le centre du film. A ne pas regarder si vous cherchez à rire et à passer un moment de détente.
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