Derniers Avis : The Call - Page 2

Ce serait passable si c'était un téléfilm de seconde partie de soirée. Mais c'est un film alors il faut bien avouer que c'est un nanar. C'est pas avec ça que Hale Berry va revenir au top.

Mouais.. Ca manque furieusement de finesse. Le premier quart d'heure est plutôt correct et après on tombe dans un mauvais épisode de série B. C'est du bien lourd! Complètement téléphoné sans mauvais jeu de mots. Rebondissements risibles, dialogues à chier, une fin pathétique. . Un film sans personnalité. A oublier très vite.

De bonnes surprises, mais de grosses incohérences très agaçantes... spoiler: (la même opératrice qui retombe sur une victime du même tueur, l'équipe de l'opératrice et du policier qui se reforme pour cette 2ème affaire, toute une équipe de police qui ne trouve pas les indices (peinture, téléphone) à l'endroit où l'opératrice va les retrouver sans prolème)
Bref, il y avait un bon fond mais après on nous prend pour des imbéciles lobotomisés...

Le scénario pas du tout inattendu ,encore une pompe a fric inutile où bien sur les acteurs sont pas mauvais ,maison s'ennuie tres vite réchauffé sur réchauffé.On aurait pu au moins savoir comment la victime arriverai à faire ses besoins dans ce genre de situation !!!

Halle Berry ne sauve pas le film , on enchaîne les clichés et le tout est bâclé !

spoiler: Des flics incompétents, une seule voiture pour quadriller 100 kilomètres en pleine ville, normal… Un kidnappeur qui ne se pose pas la question de savoir pourquoi les gens le dévisagent sur l’autoroute, non non, cet ahuri ne s’arrête pas et continue sa route… Un peu plus loin, il sort son chloroforme mais oublie de l’utiliser…et j’en passe. Au fur et à mesure, on vient à penser que le souhait du kidnappeur est de se faire chopper finalement… Et enfin pour combler le tout, c’est la standardiste qui trouve le trésor… Ah oui j’oubliais, depuis le temps, on commence à être au courant qu’un simple coup sur la tête ne suffit pas pour achever le méchant, paye ton suspens final…
Un thriller qui nous prend vraiment pour des cons ; extrêmement mal écrit, une relecture s’imposait avant de le sortir. Un film « à suspens » amateur qui aurait pu plaire par son sujet (bien que déjà vu, mais néanmoins toujours entraînant) si la facilité n’avait pas pris la place de la crédibilité.

Un scénario simpliste et prévisible. Des rebondissements éculés. Un sentiment de déjà vu. Cerise sur le gâteau : il faut se coltiner pendant une grosse partie du film les gémissement et les pleurnicheries d'une ado. A la limite du supportable par moments...

Tout simplement mauvais car les effets sont éculés, et les situations trop peu crédibles. Bref, l'ennui.

Un film hyper convenu et previsible et en outre completement surealliste. Ce film est tellement mal fait, il m a semble tres long alors qu il dure 1h30, qu il ne fait pas honneur a nine one one. Passez votre chemin!

Des scenes previsibles, le scenario manque de contenu.
Bon film de TV ;
pas assez de suspens a mon gout

Au départ, une excellente idée : mettre en scène une flic qui travaille au mythique centre de dispacht 911 et répond à un appel qui va changer sa vie. Au final, un film justicier malsain à fuir de toute urgence.

Où que l'on soit aux USA, en cas de détresse on doit appeler le Nine One One. Dans The Call, c'est au centre de Los Angeles que Jordan Turner (Halle Berry, Cloud Atlas) va commettre une erreur qui conduit à l'assassinat d'une jeune fille. A partir de là, le film se découpe en quatre parties inégales. Premier temps, le moment où elle devient formatrice pour les jeunes recrues du centre après avoir renoncé à son job par culpabilité. Brad Anderson traite cette partie de façon très didactique, mais néanmoins intéressante.

Deuxième temps, une chasse poursuite plutôt bien construite lorsqu'une autre adolescente (Abigail Breslin, Bienvenue à Zombieland ) est enlevée et parvient à joindre le 911. Pendant l'enquête pour permettre de retrouver la captive et d'identifier le ravisseur, Jordan tisse un lien personnel avec la jeune fille. Filmée de façon très classique, cette partie, sanglante et (très) vaguement tarantinesque est plutôt maligne et demeure crédible, même si l'on se demande pourquoi à aucun moment des officiers du LAPD ne se mêlent de l'enquête.

Troisième partie : Jordan mène sa propre investigation et réussit là où les autres policiers ont échoué. Après un raccourci très réussi qui montre à l’aide d’un album photo comment un enfant peut devenir un tueur redoutable, inévitablement, elle va devoir affronter le serial killer seule. Et là, le film commence à achopper sur un sérieux écueil. Quand le spectateur pénètre avec elle dans l'antre du bourreau, Brad Anderson leur fait contempler la folie dans toute sa cruauté. C'est très crédible, Mikal Eklund (The Day) joue remarquablement le personnage de Michael Foster, mais une complaisance certaine dans le sordide devient vite pénible.

D'autant qu'après coup, cette scène paraît être là uniquement pour justifier le quatrième temps qui termine le film en trois minutes et certainement pas pour comprendre ce délire ou montrer une détresse au milieu de tant de monstruosité. Les deux femmes décident d'exécuter Michael Foster, sans débat ni discussion. Moralité : si une victime a souffert suffisamment, elle peut légitimement condamner à mort son bourreau et le faire périr dans d'égales souffrances. D'ailleurs, la police approuve : le rôle de mentor de Jordan change de cap ! C'est d'autant plus invraisemblable que le tueur a enlevé nombres d'autres victimes, et que personne ne le saura jamais, en particulier les familles des disparues. Rétrospectivement, le raccourci de l'album photos ne devient qu'une condamnation de l'inceste et Jordan n'est plus qu'une justicière flingueuse.

Brad Anderson déçoit alors qu'il avait jusque-là réalisé le sympathique Empire des Ombres et travaillé sur des séries telles qu'Alcatraz, Fringe, Boardwalk Empire... Seule sa collaboration à la série Person of Interest où un justicier intervient, de son propre fait, juste avant que des crimes ne soient commis, pouvait laisser prévoir qu'il réaliserait un tel film.

Critique publiée sur le blog Lost in Universes, le portail vers d'autres univers

Film qui commençait plutôt pas mal, mais qui après les 30 premières minutes, devient de plus en plus long... Sans parler de la fin qui est vraiment en dessous de tout...

Dommage, le sujet du film aurait pu faire l'objet d'un excellent thriller, or ici que des banalités affligeantes de dialogue, des rebondissements toujours prévisibles avec des reprises de films comme " le silence des agneaux "complètement raté mérite du film s'il en existe un: montrer la difficulté du travail de téléopérateur dans un service d'assistance aux personnes en danger.

Et pourtant tout partait si bien. Une femme employée en tant qu'opératrice du 911 doit guider les personnes appelant les urgences. Elle est alors témoin d'un kidnapping à distance. L'idée paraissait excellente sur le papier mais même si le suspense est présent et que les angles de vue sont bien réalisés, on n'arrive pas à accrocher. Tout d'abord, les personnages. Si on comprend seulement à la fin pourquoi cet homme agit de la sorte, on aurait aimé rentrer un peu plus dans sa vie - avec des flashbacks ou autres -, ceci aurait permis de rajouter une profondeur essentielle à ce genre d'histoire car, oui, on ne peut pas mettre en scène des psychotiques sans évoquer leur passé et leur histoire sinon on n'accroche pas. De plus, et c'est certainement le point essentiel : on peut tout anticiper à la seconde près. Effectivement, il n'y a aucun effet de surprise. Ce film est un simple récital des clichés du genre. Au final, on a l'impression d'être devant un bon téléfilm du dimanche après-midi mais un très mauvais film de cinéma.

Bof bof bof...,ca fini sur un remake de Hannibal.... Dommage cette fin....