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Ykarpathakis157
4 693 abonnés
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1,0
Publiée le 29 novembre 2020
L'époque où Hollywood pouvait produire un bon film et ne pas le remplir d'un tas de clichés et de ridicules est-il révolue ?. Une jeune fille appelle le 911 parce que quelqu'un est entré par effraction dans sa résidence. Un agent est immédiatement dépêché sur place et dans une grande agglomération il lui faut 8 à 10 minutes pour s'y rendre ?. La maison de la jeune fille est plutôt grande et sombre mais bien sûr le suspect se rend directement dans la chambre où elle se cache puis lorsqu'il entend le téléphone d'en bas il le pointe son revolver vers cette chambre et sous le lit ?. Vous avez également un important service de police avec un grand centre de communication. Vous avez des personnes distinctes qui prennent les appels au 911 et tapent les informations qui sont ensuite transmises à des répartiteurs distincts et réels mais ici nous avons eu Halle Berry qui faisait les deux. Et est ce qu'il fait nuit instantanément en Californie à un certain moment ?. Les agents se rendent à la résidence du suspect et déterminent qu'il a une cabane dans les bois. Il fait encore jour mais quand ils font une descente dans la cabane il fait complètement noir. Se sont ils arrêtés pour dîner d'abord ont-ils été pris dans le trafic de l'heure de pointe l'hélicoptère et son système d'imagerie thermique était-il au garage ?. Ensuite le plus ridicule a été que Berry qui se montre et vérifie la cabine puis lorsqu'elle réalise que c'est de là qu'il appelle, appelle-t-elle le 911 ou son petit ami ?. Non elle doit enquêter davantage et bien sûr elle doit laisser tomber son téléphone mais plutôt que de monter dans sa voiture et de conduire jusqu'au point de contrôle le plus proche elle doit être le héros puis le justicier. Mon Dieu les films de ma génération me manquent...
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1,0
Publiée le 9 septembre 2019
Rien d'original sous les sunlights d'Hollywood avec des effets èculès à la pelle! Halle Berry (actrice au jeu toujours aussi moyen) incarne ici une femme opèratrice dans un centre d'appel d'urgence du 911 et la jeune Abigail Breslin passe une longue partie du film dans un coffre de voiture! Entre les deux, un tueur en sèrie assoiffè de crimes en sèrie...et un tèlèphone mobile! Tels sont les ingrèdients de "The Call", un souci de rèalisme dans la première partie où les èvènements se succèdent sans rèpit...mais qui nous vaut quelques scènes dignes du grand-guignol dans la seconde! Là, on devine tout de suite que le tueur en question a un grain dans la caboche et la sophistication de la mise en scène ne sauve pas grand chose! Qui plus est, le final, nausèabond et en dessous de tout dans la trappe, part vite en cacahuète! Certes, c'est très efficace (toute la partie dans le coffre de la voiture) mais ça s'arrête là! Les ricains sont quand même très fort quand il s'agit de transformer une simple opèratrice en enquêtrice de la police digne de Clarice Starling...
Deux étoiles hyper-indulgentes uniquement pour la sublime Halle Berry, qui plus est très convaincante en opératrice d'un centre d'appel d'urgences. Car pour le reste, on est quand même limite. Après une introduction plutôt efficace et maligne, nous tombons très rapidement dans une grande banalité, qui a quand même ses bons moments (toute la partie « routière » est plaisante), mais souffrant surtout de lourdeurs et de faiblesses narratives criantes. On a beau ne pas (trop) s'ennuyer, on a l'impression d'avoir vu cela des centaines de fois, mais en plus subtil et nettement plus inventif. Cela dit, on aurait quand même été plus indulgent s'il n'y avait pas ce final ultra-réac, laissant sur une très mauvaise impression un spectacle jusque-là vaguement regardable. Pour les inconditionnels d'Halle donc, et uniquement pour eux...
The call est un thriller super efficace avec une histoire qui n'est pas spécialement original hormis le fait de voir l'envers du décors du 911 ce qui est assez rare et on se rend bien compte combien ce métier est difficile et tout le sang froid dont doit faire preuve les opérateurs. On suit donc Halle Berry qui joue une opératrice et qui va tout faire pour aider une jeune fille qui vient d'être enlevée, ce film nous tient en haleine pendant 1h30 la tension est vraiment excellente, l'intensité ne baisse jamais et il n'y aucun temps mort. Le déroulement est pas mal puisque il y a quelques rebondissements et un final qui n'a pas fait l'unanimité mais qui moi m'a convaincu.
Si durant sa 1ère moitié The Call fait illusion et parvient à nous maintenir en haleine force est de constater que Brad Anderson déçoit dans ce thriller cousu de fils blancs. Quand on a vu un certain nombre de films basés sur le même schéma le suspense de The Call surprend rarement malgré ses multiples rebondissements, la partie sur l'autoroute est la meilleure mais le clou final est franchement raté. Niveau interprétation ça tient la route même si la coupe caniche de Halle Berry surprend un peu sinon un truc peu crédible spoiler: c'est vraiment étrange que le ravisseur ne pense pas à vérifier que la fille ait un portable de nos jours les seuls ados qui n'en possèdent pas sont ceux de Corée du Nord.
Un thriller de base, archi classique mais au final diablement efficace. Réalisé par un réalisateur capable du meilleur ("The Machinist" en 2004) comme du moins bon ("L'empire des ombres" en 2010) avec une star en perte de vitesse (Halle Berry) et une jeune enfant vedette (Abigail Brieslin 3/4 la moitié du temps en sous-tif et on se demande pourquoi ?!) remarquée dans "Little Miss Sunshine" (2006) et dans "Bienvenue à Zombieland" (2010)... On est pas dans l'assurances tous risques mais avec un peu d'espoir cette équipe n'est pas dénuée de talent. Tout repose évidemment sur le 911 (17 en France) et les appels d'urgence, le téléphone étant alors primordial. Avec une jeune fille dans un coffre et le téléphone le mixte "Buried" + "Cellular" nous vient évidemment à l'esprit. Mais malgré tout le réalisateur arrive à instaurer une belle tension dès le début du film avec un prologue qui fait son petit effet ; atténué par un jeu de Halle Berry qui manque un peu de nuance. Ensuite les rebondissements, bien que non surprenants finalement, prennent toutefois l'ampleur nécessaire par un temps réel bien mené. Le bon point aussi pour pour le psychopathe particulièrement cinglé, mixte entre Buffalo Bill du "Silence des Agneaux" et Norman Bates de "Psychose". La fin peut surprendre (en bien ou en mal ça dépendra de chacun), il est malheureux qu'il soit si vite expédié. Un petit thriller maitrisé à défaut d'être génial, le kidnappeur étant un gros bonus et une trame ancré dans une réalité qui reste angoissante.
Difficile d'innover dans le domaine du thriller avec serial-killer inclu. Pour tenter de contourner les poncifs,le film de Brad Anderson intègre le milieu des centres d'appels téléphoniques dédiés aux urgences. Bureaux en open-space composés de 4 écrans,oreillette indispensable et tonalité de voix maîtrisée pour une Halle Berry qui distille efficacement son angoisse et son empathie. Une jeune fille est enlevée(Abigail Breslin qui a bien grandie),baladée de coffre en coffre à travers la ville par un psychopathe particulièrement abject. Les secours se rapprochent. Vont-ils arriver à temps? Toute la seconde partie tourne autour d'une apologie désuète de l'auto-défense. On ne peut dire non plus qu'imiter les claustrophobiques "Cellular" et "Buried" soit probant. Au final,un produit très bas de gamme,et du front.
Pendant une heure j ai trouvé l idée du film assez originale à savoir une opératrice du 911 de Los Angeles en ligne avec la victime d un enlèvement et qui va tenter à la fois de la rassurer et de tout faire pour que la police la retrouve. Le suspens est plutôt bien dosé et le film est vraiment prenant pendant toute cette partie. Malheureusement le film est complètement gâché par une fin pseudo silence des agneaux assez ridicule, ou comment on peut gâcher un bon thriller en voulant péter plus haut que son cul.
"The call" est un thriller à suspense très calibré qui épouse la recette de "Phone Game" (Joel Schumacher, 1992) plusieurs fois déclinée par la suite ("Cellular", David R. Ellis, 2005) où le spectateur vit en temps réel un évènement paroxystique pouvant à tout moment déclencher une catastrophe dont les effets nous ont été dramatiquement présentés en préambule. De ce point de vue le film remplit parfaitement sa fonction, hormis les quelques invraisemblances qu'il faut bien accepter si l'on veut que la mécanique émotionnelle fonctionne. En sus, le réalisateur Brad Anderson au ton généralement plus original, nous offre une heure trente en présence de la ravissante Halle Berry. On ne peut donc pas se plaindre du côté de la gent masculine, même si l'on peut déplorer que le genre même du film ne se prête pas à une fouille très approfondie de la psychologie des personnages.
Très belle surprise, pas de temps mort, une histoire plutôt classique mais le méchant est vraiment barré et fait flipper. La fait d'évoluer et d'avancer avec le standard du 911 est bien fait. Bref, la tension est là, le suspense aussi. Pas un très grand film mais qui n'en reste pas moins très bien fait et divertissant.
(...) Que faudra-t-il retenir de The Call au final ? Hypnotique dans sa première partie, le film bascule subitement dans le grand n’importe quoi en bout de course. Le contraire aurait été préférable. Là, on reste sur notre faim avec la désagréable impression d’avoir trouvé une grenouille morte au fond de notre plat en sauce.
Un film à suspens mais pas un thriller ! De très bonnes idées mais mal ficelées, pas assez intenses. Un rythme assez nonchalant pour ce type de film qui vire plus au drame qu'autre chose. La fin (la scène de trop !) anéantie totalement l'intérêt à la limite du grotesque. Beaucoup de maladresse surtout avec une Halle Berry qui ne fait pas passer l'émotion, se force, surjoue et çà ne le fait pas ! Seul notre méchant jour convenablement même s'il se freine. Un bon moment s'en plus. Ne restera pas dans les mémoires ! 3/5 !!!
Un thriller mené tambour battant et très réussi dans la première heure et quart, jusqu'à ce que l'intrigue ne tienne plus uniquement au coup de fil. Bien rythmé et bien interprété, le film est malheureusement un peu gâché par un dernier quart d'heure spoiler: un peu trop "justicier solitaire". Dommage, on se prenait bien au jeu jusque là, l'intrigue avançant petit à petit sans baisser de régime.
C'est parfois étrange comment on accroche ou pas à un film. Je m'attends souvent à aimer des films et cela ne vient pas. Je m'attends souvent à un navet (et ils viennent très souvent !) et parfois on a une bonne surprise. Comme pour The Call. Contre toute attente, j'ai été pris d'entrée et j'ai marché à fond. Pourtant tous les clichés du genre sont là...
Grâce au charisme et au jeu de Halle Berry, The Call est un long-métrage sans prétention mais plutôt réussi. C’est le genre de film dont on connait d’avance la fin mais qui fait du bien à voir. Un scénario et un rythme qui tient la route et des acteurs convaincants. The Call, ne marquera pas les esprit mais est efficace. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44