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    Violette
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    3,2
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    110 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 février 2014
    film pas facile par ailleurs, mais Provost fera sa
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2014
    Joli film, assez perturbant pour ma part, les actrices jouent magnifiquement bien, avec beaucoup de grâce. Le coté culturel sur la vie de Violette et de Simone de Beauvoir est très intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 janvier 2014
    "Violette" est un beau film sur la vie (triste) de Violette LeDuc. Emmanuelle Devos et Sandrine Kiberlain sont extraordinaires mais le film est un peu trop long, la lumière un peu trop glauque dans toutes les scènes (mais donne en même temps un côté très réaliste) et la prise de son est assez mauvaise cadres sont, quant à eux, très beaux dans certaines scènes. Heureusement, la performance des deux actrices et du reste du casting ainsi que l'histoire assez intéressante nous fait oublier la technique un peu moyenne.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 décembre 2013
    Une actrice quand même plus proche de Marilyn Monroe avec un faux nez que de Violette Leduc… Quant à SDB, celle-ci a avalé un manche à balais. Et il n'y a pas de vision chez le réalisateur, qui s'égare dans une reconstitution besogneuse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 décembre 2013
    Un long métrage lent (dans le style provost) et avec un scénario qui donne l'impression d'être improvisé (idem), ce Violette est porté par une Emmanuelle Devos inégale et une Sandrine Kiberlain qui n'arrive pas à aligner deux répliques sans qu'on ait la désagréable impression qu'elles lisent un texte. C'est dire le niveau de l'interprétation.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2013
    Vu ce film en présence d'Emmanuelle Devos et Martin Provost dans le cadre du Festival Cinémania de Montréal, et donc eu le plaisir d'échanger quelques propos avec eux deux....
    Ce film s'apparente à un biopic, même s'il ne s'intéresse qu'à une partie de la vie de l'écrivaine: les années difficiles jusqu'à la reconnaissance tardive.
    Si j'ai noté quelques longueurs, j'ai aussi remarqué la vision trop angélique par le réalisateur de l'homosexualité tant masculine que féminine...Mais après tout le regard sur l'homosexualité n'était pas le propos, ainsi que Martin Provost me l'a confirmé.. Reste un film intense porté d'excellents comédiens(Emmanuelle Devos, Sandrine Kiberlain , et n'oublions ni Catherine Hiégel ni Olivier Py
    Violette Leduc est et restera un grand auteur hélas déjà oublié que Martin Provost a eu la bonne idée de remettre dans la lumière.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Le temps est une notion aussi étrange que relative. Selon la version officielle d’Allociné, La Vie d’Adèle durerait 2 heures et 59 minutes tandis que Violette ne durait que 2 heures et 19 minutes. Vous qui cherchez obstinément le secret de l’immortalité, je vous le livre donc : armez-vous d’un bon coussin et de quelques provisions et courrez visionner Violette en boucle dans le cinéma le plus proche, il est alors probable que le temps finisse par arrêter de s’écouler, lui-même terrassé par l’ennui. Je vais maintenant faire plus court, en ayant déjà perdu une somme considérable ce soir*, de temps.

    Martin Provost a apparemment voulu faire un film sérieux. Un film profond. Un film douloureux. Un film qui sache subtilement évoquer la petite musique d’une époque. Un film où les répliques et les mots interrogent implacablement et longuement des spectateurs bouleversés par le niveau d’intensité dramatique proposé à l’écran. Un film avec des vraies performances d’acteurs, pénétrant totalement toute la vérité de leurs personnages. Un film avec assez d’audace narrative pour vibrer comme si l’on tournait les pages d’un roman. Un film d’où l’on sortirait finalement en se regardant et en esquissant un sourire, sans trop savoir comment exprimer toute la beauté de cette expérience dans toute sa complexité.

    Tout cela, il l’a peut-être réussi, ou peut-être pas. Une chose est certaine en revanche : il a fait un film long, très long.

    On voit finalement trop de films en pensant que le rythme le plus élémentaire servant à les animer est un minimum syndical. Manquant cruellement de cet ingrédient dès le début, Violette a tout de même au moins un mérite, celui d’être constant. Froid et ennuyant au début, au milieu puis à la fin, le film se rattrape par son principe de continuité, souligné par un étrange séquençage en chapitres, qui n’apporte à peu près rien. D’un semblant de souffle de vie, il est par contre entièrement dénué.

    Témoin du pénible fantasme d’une après-guerre tellement idéologisée et intellectualisée dans ses moindres refonds que tous les personnages s’expriment comme s’ils étaient les personnages d’une (mauvaise) pièce de Sarte ou Genet, Violette agite des pantins, marionnettes et objets inanimés pendant de longues et pompeuses séquences dont il ne ressort généralement pas grand-chose, alors que la quête de l’émotion primitive semble pourtant être toute l’ambition du film.

    Ne valant finalement, faute de tout parti-pris clair, que par la redécouverte d’une œuvre littéraire aujourd’hui largement oubliée, celui-ci semble même incapable d’en tirer profit, malgré un cadre historique et littéraire qui aurait pourtant pu se révéler propice à un vrai et intéressant tableau d’époque. Plombé par ailleurs par une bande-son aussi macabre que soporifique, Violette ressemble au final à un mauvais tableau impressionniste où un peintre aurait surexposé les couleurs et les teintes jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une vague impression de gâchis.

    Aussi désespérément nombriliste et répétitif que son héroïne, il finit d’ailleurs par se rendre lui-même aussi antipathique que celle-ci, ce qui n’est pas rien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 décembre 2013
    Film tout en nuance et jeux sobre et de qualité des deux actrices.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Il y avait longtemps que je n'avais vu un film aussi puissant. L'étonnante interprétation de Sandrine Kiberlain et l'intensité d'Emannuelle Devos vous font passer avec bonheur les plus de deux heures de ce film. La musique prenante y contribue. Allez y vous ne le regretterez jamais
    frdouchain
    frdouchain

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2013
    Trés beau film. Une interprétation époustouflante d'E Devos dans le rôle de Violette. A en faire presque palir S Kinberlain, pourtant trés bonne aussi dans celui de Simone de Beauvoir.
    En plus de la découverte d'une auteure oubliée, belles qualités de la photographie.
    nicperpignan
    nicperpignan

    40 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 novembre 2013
    une nullité de plus dans le cinéma français ! film ridicule, plat, ennuyeux et mou ! à fuir c'est une daube !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 novembre 2013
    excellente performance d'avoir fait revivre et aimer un personnage aussi complexe et toute une époque. Malgré certaines longueurs on en ressort imprégné et ému.
    Thierry-Gautier
    Thierry-Gautier

    38 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2013
    J'avais peur de m'ennuyer comme dans Séraphine. Mais je n'ai pas vu le temps passé et je me suis attaché à ce personnage plein de force si bien servi par le film et son actrice.
    lancelo25
    lancelo25

    31 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Je pensais aller voir un gentil petit film, un énième « biopic » sur une artiste mais c’est un film intense et universel que j’ai pris comme un train en marche et qui m’a emmené dans les méandres de l’âme humaine et de sa douleur de vivre, de la nécessité de la création comme exutoire, de la quête d’amour de ceux qui ne l’ont jamais connu, de l’amour de l’autre et du désir qu’il engendre, de la frustration de vouloir vivre mais sans savoir comment, de l’intégration dans un monde normé d’âmes hors normes, de la sublimation de la souffrance dans la création, de la question des sexes quand on est en mal d’amour, d’un monde où les femmes et les homosexuels devaient être soumis ou cachés.
    Emmanuelle Devos méritera son César, Sandrine Kiberlain est dans la justesse parfaite d’une Simone de Beauvoir que l’on imagine ainsi, pleine de compassion retenue et Olivier Gourmet est à couper le souffle en homme bon, empathique, sensible et respectueux.
    C’est un film humain et universel sur la construction de soi avec des acteurs qui se dépassent…
    al111
    al111

    22 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2013
    Un peu trop long, un peu trop classique dans sa narration, dans la façon de présenter les différents personnages, parfois anecdotique (aïe l'imitation de Jouvet, à la limite du ridicule), le film n'évite pas tous les pièges de la reconstitution historique bien sage autour d'un personnage ayant existé et ayant côtoyé d'autres figures connues (ouf, on a quand même évité Sartre).
    Mais Violette Leduc elle-même est formidablement intéressante. De par son évolution, sa révolte, ses indignations, ses réactions exaspérantes, son attitude qui à force d'égocentrisme finit par être émouvante, et pour tout ce que lui apporte l'écriture. Elle n'est pas une énième écrivaine torturée par la panne d'inspiration, ses livres lui font office de psychothérapie et la sérénité qu'elle conquiert n'est pas due à l'âge ou à une aisance financière mais bien aux mots qu'elle offre au public, alors qu'elle ne sait pas que c'est à elle qu'ils font le plus de bien.
    Emmanuelle Devos est bien évidemment parfaite, faisant croire à la jeune femme en colère, puis à l'écrivaine apaisée. En face d'elle, dans un rôle de guide à distance, moins exposée, observatrice, indépendante, froide mais finalement n'abandonnant jamais sa protégée, Sandrine Kiberlain en Simone de Beauvoir est plus étonnante. Débarrassée de sa fantaisie dont usent beaucoup les réalisateurs, elle compose quelque chose d'inédit pour elle.
    Martin Provost avec cette Violette et après Séraphine, continue à découvrir et à faire découvrir des personnages féminins en lisière de l'exclusion sociale, pourvus d'une étincelle créatrice hors norme.
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