Note moyenne
3,2
24 titres de presse
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Positif
(...) c'est avec une grande satisfaction qu'on découvre "Flight", oeuvre qui emprunte les genres du film catastrophe et de procès pour mieux les emmener vers un rapport intime et ludique avec la mort.
Première
Avec "Flight" (...) le réalisateur de "Seul au monde" revient jouer dans la cour des grands.
Télé 7 Jours
[Robert Zemeckis] signe ici un thriller psychologique de haut vol sur la rédemption, porté par une brillante réflexion sur la culpabilité. (...) A contre-emploi, Denzel Washington livre une prestation majeure.
CinemaTeaser
Piloté par un conteur d'exception et un casting irréprochable jusque dans ses plus petits seconds rôles.
Le Monde
Robert Zemeckis (...), qui signe ici son meilleur film depuis "Seul au monde" (...), a brisé l'un des tabous les plus solides de notre âge.
Le Parisien
Après une scène d'ouverture combinant nudité frontale et rails de cocaïne, puis le crash de l'avion, très réaliste, cet ovni dans la production actuelle des studios hollywoodiens se révèle ambitieux, intimiste, complexe et dérangeant. Embarquement immédiat pour un film de haut vol.
Les Fiches du Cinéma
Robert Zemeckis fait son grand retour au cinéma "traditionnel" : aussi inégal que fascinant, "Flight" est gâché par une fin lourdement moralisatrice.
Metro
Robert Zemeckis tire un suspense psychologique qui repose entièrement sur le combat intérieur de (...) Denzel Washington qui surprend encore, (...) juste humain. Et donc très beau.
TF1 News
Zemeckis (...) donne aux acteurs la possibilité d'incarner au sens propre des personnages désaxés (...), et dépeint une Amérique en panne de rêves, où les héros n'existent plus. Jouant l'autodestruction, l'orgueil, la haine comme pas grand-monde à Hollywood, Denzel Washington trouve un rôle à sa (dé)mesure.
Charlie Hebdo
(...) "Flight" tangue, hésite, passe par des trous d'air (de scénario), affronte des turbulences morales énormes, mais, en dépit d'une fin bigote (...), arrive au bout du tarmac (...).
Critikat.com
Eu égard à la charge du scénario, l'ambiguïté cultivée par le sens du spectacle s'avère une bouée de sauvetage, à défaut de rendre le film plus qu'estimable.
Ecran Large
Terriblement imparfait mais culotté et bien plus ambitieux qu'en apparence. Un film de Zemeckis quoi !
Le Figaroscope
Denzel Washington assure sa nomination aux oscars, mais le film s'enlise vite dans le conformisme.
Le Journal du Dimanche
Robert Zemeckis (...), cinéaste efficace, réussit sa spectaculaire scène de crash. Mais la seconde partie du film, plus centrée sur la personnalité du héros, hésite entre pathos et bons sentiments. Denzel Washington n'en reste pas moins convaincant.
Libération
"Flight" séduit (...) par la vigueur d'un classique à l'inspiration retrouvée. On peut regretter cependant que la tension du film finisse par s'émousser, et (...) l'oblige à concilier la contrainte du happy end avec le commandement de se révéler édifiant.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Du film catastrophe, on passe à l'étude psychologique, (...) qui fait de "Flight" une production hollywoodienne originale, avec un Denzel Washington impressionnant. (...) La condamnation de l'alcoolisme tombe comme un vieux couperet et déclenche un sermon moralisateur (...). Un regrettable détournement.
20 Minutes
Robert Zemeckis sait torcher une scène d'action de façon magistrale. La conclusion moraliste de ce film (...) arrive comme un Airbus 380 dans le potage. [Une] fin ridicule aux bons sentiments outrés. Intense perplexité.
Cahiers du Cinéma
On ne sait trop ce qui, du côté réac (la fin hallucinante de contrition puritaine) ou des aspects assez grossiers de la mise en scène déçoit le plus ici. À l'exception de quelques belles scènes , le récit est terriblement poussif et démonstratif, à l'image du montage parallèle entre la junkie et le pilote beurré. (...) Le plus mauvais film de son auteur.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Les Inrockuptibles
L'échec de "Flight" est déjà tout entier contenu dans sa première scène. (...) Il y avait là un grand film à réaliser sur l'héroïsme défaillant. Malheureusement "Flight" se transforme, pendant les deux heures suivantes (...), en pensum moralisateur sur l'alcoolisme et la rédemption .
Ouest France
Sollicitant le renfort spectaculaire des images de synthèse, [Zemeckis] raconte un vol de toutes les audaces (...). Mais la suite vole bien bas, quand la deuxième partie du récit vire au film de procès. (...) On navigue alors en plein mélo hollywoodien (...).
Transfuge
Denzel Washington (...) sauve le film. Grâce à lui, "Flight" décolle d'un plancher des vaches qu'il ne semblait pas devoir quitter.
aVoir-aLire.com
Zemeckis retombe dans ses travers soporifiques avec un discours lourd de didactisme qui trouvera peu de résonance auprès du public hexagonal que l'on sait peu enclin à savourer ce type d'emphase morale.