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Votre avis sur Welcome to the Punch ?
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J'ai vu ce film il y a 2 jours et j'ai déjà du mal à m'en souvenir, c'est dire s'il va marquer le cinéma ;-) Non, sérieusement, c'est un bon film d'action sans plus, un scénario peu original et pas de grandes mises en scènes. D'un point de vue perso, Mark Strong est toujours aussi bon dans ces rôles de méchant grâce à son charisme et son regard noir, je ne m'en lasse pas.
Sans révolutionner le polar british, Eran Creevy fait de "Welcome to the Punch" un boulot plutôt efficace, avec un film plutôt bien mené, qui ne manque pas de classe grâce à McAvoy et Strong, ainsi qu'une bande originale entraînante Une agréable surprise...
Julien D
De britannique, Welcome to the punch n’en a que la production et le contexte car Eran Creevy a réalisé son second film avec une mise en scène purement hollywoodienne avec, entre autres, sa photographie urbaine nocturne inspirée de Michael Mann et ses travellings aériens mais aussi la rythmique et la violence des gunfights que le cinéma américain a lui-même empreinté aux réalisations asiatiques. Ce polar n’en reste pas moins un film réussi grâce à son intrigue assez tendue mettant dos-à-dos deux personnages très fort face à un complot assez retors pour rendre prenant les quelques rebondissements pourtant globalement assez prévisibles. Mais plus que cette mise en scène américanisée pleine d’adrénaline et ce scénario malgré tout efficace, le vrai atout est le duo d’acteurs formé par James McAvoy et Mark Strong qui trouvent là deux rôles à la mesure de leur talent trop souvent sous-exploité.
Un film pour un jour de pluie ou vous n'avez rien d'autre à faire. Pas de scénario, ni même d'action, et les acteurs font le strict minimum. L'ennui prend le pas sur l'excitation du début. Vous oublierez ce film dès le générique de fin. Passez votre chemin.
FaRem
Un film assez sympa mais qui aurait pu être un épisode d'une série policière car ça reste très classique même si c'est divertissant et bien rythmé. L'histoire est bien ficelée avec une mise en place efficace. Les acteurs sont convaincants surtout Mark Strong que j'ai trouvé très bon.
Dik ap Prale
Eran Creevy donne à son thriller des allures de film hongkongais. La structure du scénario, ainsi que l'inscription des personnages dans une dualité affective, entre bon et vilain, complémentaire et indissociable, tout nous ramène aux films HK. Sans dégager les références qui ont puent aider à la calibration de ce petit film sympathique, les auteurs tels que Dante Lam, Johnnie To, Benny Chan en passant bien évidemment par John Woo - pour la relation des deux personnages; Tous semblent avoir suffisamment insufflé et témoigné d'idées pour permettre à Welcome to the Punch de voir le jour. Ne détaillons rien et revenons sur la trame, c'est à dire l'affrontement puis une collaboration nécessaire entre flic et truand, dans des scènes d'action au mieux calibrées et des plus insolites. Nous nous retrouvons dans le bleuté de la nuit. Un flic obstiné - James McAvoy - jeune mais déjà très expérimenté (chose pas rédhibitoire à Hongkong) prend à contre-pied les ordres reçus pour arrêter définitivement mais sans arme, par un affrontement qu'il veut d'égal à égal, son pire ennemi. L'action, pour peu qu'il y en ait, se veut des plus insolite. Notre flic, aussi consciencieux qu'il est hargneux, mènera l'action vers certains zèle de mise en scène mais inscrit définitivement cette production dans un style asiatique réapproprié, et ce malgré l'estampillage Ridley Scott qu'on ne manquera pas de voir. On appréciera les efforts pour mettre en place des séquences telles que celle d'ouverture qui rend hommage à Johnnie To, mais rend la tâche épineuse car n'est pas Johnnie To qui veut. La volonté est grande toutefois la disconvenance de certaines scènes avec la réalité rend l'ensemble assez saugrenu au risque de rebuter certains aficionados de film d'action qui voudraient que Eran Creevy face du Michael Mann. Mais là n'est pas l'intention, alors merci quand même pour ce petit film des plus sympathiques.
Une production Ridley Scott ne peut pas être complètement mauvaise, même si ce film reste assez moyen dans son ensemble. A regarder un soir d'ennui...
Le casting prévoyez pourtant un bon film, bien la preuve qu'un bon casting ne fait pas nécessairement un bon film. Welcome to the Punch se vautre complètement en voulant trop jouer sur le style "clip" esthétisé , avec un filtre bleue à vomir et des scènes d'action raté, l'ensemble n'est pas crédible une seul seconde. J'adore Mark Strong il à beaucoup de charisme, James McAvoy n'est pas si mauvais d'habitude mais sur ce film le duo ne marche pas du tout, tout est superficiel et on fini par s'ennuie sérieusement. Je les vu dans une version française insupportable ce qui ma surement encore plus déplus. Un film sans intérêt.
Je l'ai regardé un soir parce qu'il n'y avait pas grand chose à la télé et que les affiches avaient été placardé dans le métro parisien. Une affiche avec James McAvoy et Mark Strong : je regarde et j'ai adoré ce film ! A voir en VO absolument (surtout pour les voix de James et Mark).
Je trouve que le réalisateur possède un véritable point de vue, les décors et la lumière sont magnifiques. Le scénario est riche même si parfois il semble convenu, on se demande s'il ne veut pas nous emmener sur de fausses pistes. Un excellent second rôle pour Andrea Riseborough (vue dans Oblivion) qui nous évite la potiche habituelle spoiler: (même si on se doute dès le début de ce qui va arriver à son personnage)
.
Le tout sur un fond sociétaire que j'ai trouvé très intéressant et intriguant. J'espère qu'ils feront une suite car il y a pas mal à développer tant sur le lien entre les personnages que le contexte.
Je trouve que le réalisateur possède un véritable point de vue, les décors et la lumière sont magnifiques. Le scénario est riche même si parfois il semble convenu, on se demande s'il ne veut pas nous emmener sur de fausses pistes. Un excellent second rôle pour Andrea Riseborough (vue dans Oblivion) qui nous évite la potiche habituelle spoiler: (même si on se doute dès le début de ce qui va arriver à son personnage)
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Le tout sur un fond sociétaire que j'ai trouvé très intéressant et intriguant. J'espère qu'ils feront une suite car il y a pas mal à développer tant sur le lien entre les personnages que le contexte.
Un petit polar sans prétention...au format téléfilm. Distribution des rôles bien équilibrée..le scénario reste dans la moyenne...si il n' y a rien à regarder..alors ce petit film peut combler 1h30mn de son temps...sans regret..ni enthousiasme non plus.
Un polar britannique nerveux et moderne, porté par un très bon James McAvoy et porté par une mise en scène sombre et perfectionniste. Violent et radical, le scénario raconte le retour du plus dangereux criminel d'Angleterre qui vient venger son fils poignardé dans un aéroport, et qui va devoir s'allier au flic qui l'a traquer par le passé, une intrigue simple et qui se transforme en vigilante contre une conspiration, mais qui se révèle pas assez exploité au final. Déjà brillant dans "Trance", James McAvoy propose une performance énervé et intense, un rôle classique mais brillamment interprété alors que Mark Strong se révèle assez transparent, et les nombreux seconds rôles sont tous dans le registre qui leur est demandé. Pour son premier film, Eran Creevy rentre dans le clan de ces cinéastes perfectionniste et symbolique, assez proche de Nicolas Winding Refn mais sans le côté poétique poussé a l'extrême, avec une mise en scène radical et brut, mais cet radicalité enlève toute humanité aux personnages et a leur sort.
Un polar efficace et brutal, porté par l'excellent James McAvoy et par un style moderne et brut.
Un polar efficace et brutal, porté par l'excellent James McAvoy et par un style moderne et brut.
darkvash
Pas de grosses surprises dans ce film, le casting est bon mais l'histoire peine à décoller et à nous captiver. Un polar moyen somme toute qui se laisse regarder.
Redzing
Un flic acharné traque un criminel professionnel, jusqu'à ce que les deux hommes fassent équipent pour remonter à une conspiration plus importante. Film indépendant sorti discrètement en DTV dans nos contrées, "Welcome to the Punch" n'innove pas vraiment. Les deux personnages principaux font bien entendu penser aux deux protagonistes de "Heat", tandis que toute l'intrigue dévoilant la machination est prévisible. Par ailleurs, on notera que malgré une production, des acteurs, et des décors british, le film cherche à s'américaniser en permanence (pas d'argot londonien ou de dialogues typiques, mise en scène conventionnelle, Londres filmée comme une ville US, etc.). Néanmoins, "Welcome to the Punch" parvient à conserver une identité propre, avec son style acier bleuté et nocturne ou matinal. Les quelques fusillades sont également efficace (dommage que le réalisateur n'ait pas plus insisté dessus). Enfin, le tandem James McAvoy / Mark Strong fonctionne bien. Divertissant.
Inégal, quelque peu brouillon et téléphoné, mais aussi très accessible, distrayant et esthétiquement satisfaisant, le deuxième film du jeune Eran Creevy, non distribué en France, est ce que l’on pourrait appeler un film d’action tout à fais franc du collier. Par manque de moyens, sans doute aussi du fait d’une certaine naïveté, le jeune cinéaste n’aura su donner un réel sens à son histoire policière pour le moins vicieuse qui renvoie le public vers une sorte de relecture du tandem impossible. L’on sent aussi, à n’en pas douter, chez Creevy, bien qu’il s’agisse d’un dauphin du producteur réalisateur Ridley Scott, de nombreuses influences visuelles et techniques de Michael Mann ou encore Christopher Nolan.
En effet, le cinéaste semble puiser dans la filmographie des deux grands réalisateurs un ensemble de manières de faire, de filmer. Il démontre notamment un réel intérêt quant à la véracité des fusillades ainsi qu’une très belle perspective de l’urbanisation intensivement métallique et esthétiquement très occidentale de l’homme moderne, d’où la référence à Mann et Nolan. Malgré les bonnes idées, le jeune Creevy ne s’appelle ni comme l’un ni comme l’autre, d’où un sentiment de bonnes intentions masquées par un certain amateurisme pouvant être rageant, d’autant plus marqué d’un point de vue narratif. Par ailleurs, ses scènes d’action, correctes, n’ont qu’un tonus tout à fait relatif qui n’éblouit ni n’émerveille un public qui en voit des tonnes tous les ans.
L’une des forces, qui peut être à la fois l’une des faiblesses de Welcome to the Punch, est la disparité crasse entre un casting rompu et des seconds rôles quasiment amorphe. Si James McAvoy et Mark Strong sont dans la mesure du possible plutôt bons, accompagné d’une Andrea Riseborough culottée, l’ensemble des personnages gravitant autour d’eux sont presque tous avares en qualités d’interprétation. L’on note par ailleurs que le réalisateur s’essaie à maintes reprises à vouloir innover, par des ralentis, des plans originaux et d’autres effets de manche qui font de son film non plus un film moyen comme tant d’autres mais un film moyen presque innovant.
Au dire d’une certaine fausse publicité, l’on devait s’attendre à une bombe de film d’action. Autant dire que la bombe aura sauté dans l’eau, même si le rythme est soutenu et que le tandem d’acteurs principaux font leurs possibles pour donner du charisme à leurs personnages. Que le film n’ait pas été distribué en France n’est donc pas foncièrement grave, l’on n’aura sincèrement vu mieux. Toutefois, ne distribuant pas celui-ci, d’autres films bien moins bons ou du même acabit sortie régulièrement dans les salles obscures. Il faut dès lors prendre note que le mauvais cinéma américain possède un poids bien plus lourd en France que le cinéma moyen européen. 07/20
En effet, le cinéaste semble puiser dans la filmographie des deux grands réalisateurs un ensemble de manières de faire, de filmer. Il démontre notamment un réel intérêt quant à la véracité des fusillades ainsi qu’une très belle perspective de l’urbanisation intensivement métallique et esthétiquement très occidentale de l’homme moderne, d’où la référence à Mann et Nolan. Malgré les bonnes idées, le jeune Creevy ne s’appelle ni comme l’un ni comme l’autre, d’où un sentiment de bonnes intentions masquées par un certain amateurisme pouvant être rageant, d’autant plus marqué d’un point de vue narratif. Par ailleurs, ses scènes d’action, correctes, n’ont qu’un tonus tout à fait relatif qui n’éblouit ni n’émerveille un public qui en voit des tonnes tous les ans.
L’une des forces, qui peut être à la fois l’une des faiblesses de Welcome to the Punch, est la disparité crasse entre un casting rompu et des seconds rôles quasiment amorphe. Si James McAvoy et Mark Strong sont dans la mesure du possible plutôt bons, accompagné d’une Andrea Riseborough culottée, l’ensemble des personnages gravitant autour d’eux sont presque tous avares en qualités d’interprétation. L’on note par ailleurs que le réalisateur s’essaie à maintes reprises à vouloir innover, par des ralentis, des plans originaux et d’autres effets de manche qui font de son film non plus un film moyen comme tant d’autres mais un film moyen presque innovant.
Au dire d’une certaine fausse publicité, l’on devait s’attendre à une bombe de film d’action. Autant dire que la bombe aura sauté dans l’eau, même si le rythme est soutenu et que le tandem d’acteurs principaux font leurs possibles pour donner du charisme à leurs personnages. Que le film n’ait pas été distribué en France n’est donc pas foncièrement grave, l’on n’aura sincèrement vu mieux. Toutefois, ne distribuant pas celui-ci, d’autres films bien moins bons ou du même acabit sortie régulièrement dans les salles obscures. Il faut dès lors prendre note que le mauvais cinéma américain possède un poids bien plus lourd en France que le cinéma moyen européen. 07/20
Beaucoup de longueur. Histoire confuse, mal raconté.
Peu d'action. Bref, rien d'intéressant et du déjà vu.
Peu d'action. Bref, rien d'intéressant et du déjà vu.
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