Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Sono Sion retrouve la grande dimension formaliste et expérimentale du cinéma japonais des années 60 et 70 : c'est le visible lui-même qui cède et les couleurs qui explosent sur les corps.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Sono Sion s'amuse à brouiller les pistes en même temps que les genres.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Patrick Antona
Sono Sion expose à nouveau sa fascination pour le malsain et le bizarre mais, au lieu d'une oeuvre bassement complaisante, il nous invite à une fable qui tient autant de Lewis Carroll que du Marquis de Sade.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Sono Sion plonge le spectateur dans une spirale de dépravation ponctuée d'à-coups hystériques et de petits moments de grâce. Sanglant, tordu et érotique. Comme ses précédents films, "Suicide Club" (2001) ou "Cold Fish" (2010), "Guilty of romance" est à voir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les qualités du film résident (...) dans une manière de capter la sensualité immanente du monde lorsqu'il choisit la voie du dérèglement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julien Englebert
Le Japonais Sono Sio offre un regard réjouissant sur l'amour et la sexualité : surexcité, séduisant et éloigné de toutes dichotomies.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un reboot érotique et bruyant des romans porno japonais des années 70, éclaboussé par la fureur noire de Sono Sion, dont le cinéma n'avait jamais paru si violemment désespéré, intensément nihiliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vély
[POUR] Au-delà de la provoc' et de son amour pour le cinéma-bis, Sono Sion est la conscience punk du Japon d'aujourd'hui, un réalisateur qui ose filmer l'envers du décor de la société nippone derrière les paravents et les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Souvent drôle, grotesque, le film assume tous les excès, déborde de tripes et de sang. Ponctué d'envolées symphoniques, de références à Kafka ou Visconti, il ne ressemble qu'à du Sono Sion.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
C'est l'un [des films de Sono Sion] les plus maitrisés et les plus séduisants visuellement. (...) La mise en scène colorée et ludique met en valeur un très beau texte qui trahit les penchants littéraires et poétiques du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Arnaud Hée
"Guilty of Romance" s'avère assez frustrant tant l'élan, le trouble et les fulgurances se trouvent trop souvent rompus par (...) un goût de la provocation insistante et dispensable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
Le résultat est fascinant et inquiétant jusqu'à l'hypnose. (...) Forcément, sur plus de 2h30, cette grande tornade réclame beaucoup d'énergie et ce serait épuisant s'il n'y avait pas cette fluidité sans cesse irriguée par une brutalité souple (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Ecran Fantastique
par YannLebecque
Très cultivé, référentiel et cruel, "Guilty of Romance" devrait faire découvrir au plus grand nombre le cinéma de Sono Sion, mais pas sûr que l'accueil en sera largement positif.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
L'Humanité
par Vincent Ostria
D'un côté, on n'est pas déçu puisque, en flirtant avec la pornographie, mêlée à l'influence du giallo italien des années 1970, Sion atteint un niveau de baroque inédit au Japon (et ailleurs sans doute). D'un autre côté, sa folie kitsch – au point qu'un criminel zinzin asperge ses victimes de rose fluo – est sa limite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jérémie Couston
Le film séduit, sous le vernis de l'exercice de style, par sa complexité narrative et ses échos littéraires — nombreuses citations de Kafka. Et par l'ambiguïté du parcours de l'héroïne, entre émancipation et déchéance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
Sous couvert de film malpoli, Sono Sion s'empresse de multiplier les servilités d'auteur qui font vaciller tout son projet : à tant feindre l'innocence du geste, il ne dévoile que sa crispation raffinée et auteurisante. Voilà donc, tout à ses rêves de canaille échevelée, le film le mieux peigné de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Paris Match
par Alain Spira
[CONTRE] Cette variation nippone de "Belle de jour" dérape vite dans une insupportable hystérie surlignée par une musique de chambre versaillaise digne des nanars X des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Pudibonderie moyenâgeuse contre dévergondage en love hôtel technoïde, ping-pong hystérique entre le désir et la mort, ce semi-polar érotique ne lésine pas sur les poncifs. Mais cet abattage souffreteux ne produit pas le moindre trouble, sinon une enfilade de gesticulations franchement pénible.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Sono Sion retrouve la grande dimension formaliste et expérimentale du cinéma japonais des années 60 et 70 : c'est le visible lui-même qui cède et les couleurs qui explosent sur les corps.
CinemaTeaser
Sono Sion s'amuse à brouiller les pistes en même temps que les genres.
Ecran Large
Sono Sion expose à nouveau sa fascination pour le malsain et le bizarre mais, au lieu d'une oeuvre bassement complaisante, il nous invite à une fable qui tient autant de Lewis Carroll que du Marquis de Sade.
L'Express
Sono Sion plonge le spectateur dans une spirale de dépravation ponctuée d'à-coups hystériques et de petits moments de grâce. Sanglant, tordu et érotique. Comme ses précédents films, "Suicide Club" (2001) ou "Cold Fish" (2010), "Guilty of romance" est à voir.
Le Monde
Les qualités du film résident (...) dans une manière de capter la sensualité immanente du monde lorsqu'il choisit la voie du dérèglement.
Les Fiches du Cinéma
Le Japonais Sono Sio offre un regard réjouissant sur l'amour et la sexualité : surexcité, séduisant et éloigné de toutes dichotomies.
Les Inrockuptibles
Un reboot érotique et bruyant des romans porno japonais des années 70, éclaboussé par la fureur noire de Sono Sion, dont le cinéma n'avait jamais paru si violemment désespéré, intensément nihiliste.
Paris Match
[POUR] Au-delà de la provoc' et de son amour pour le cinéma-bis, Sono Sion est la conscience punk du Japon d'aujourd'hui, un réalisateur qui ose filmer l'envers du décor de la société nippone derrière les paravents et les clichés.
Positif
Souvent drôle, grotesque, le film assume tous les excès, déborde de tripes et de sang. Ponctué d'envolées symphoniques, de références à Kafka ou Visconti, il ne ressemble qu'à du Sono Sion.
Première
C'est l'un [des films de Sono Sion] les plus maitrisés et les plus séduisants visuellement. (...) La mise en scène colorée et ludique met en valeur un très beau texte qui trahit les penchants littéraires et poétiques du réalisateur.
Critikat.com
"Guilty of Romance" s'avère assez frustrant tant l'élan, le trouble et les fulgurances se trouvent trop souvent rompus par (...) un goût de la provocation insistante et dispensable.
Excessif
Le résultat est fascinant et inquiétant jusqu'à l'hypnose. (...) Forcément, sur plus de 2h30, cette grande tornade réclame beaucoup d'énergie et ce serait épuisant s'il n'y avait pas cette fluidité sans cesse irriguée par une brutalité souple (...).
L'Ecran Fantastique
Très cultivé, référentiel et cruel, "Guilty of Romance" devrait faire découvrir au plus grand nombre le cinéma de Sono Sion, mais pas sûr que l'accueil en sera largement positif.
L'Humanité
D'un côté, on n'est pas déçu puisque, en flirtant avec la pornographie, mêlée à l'influence du giallo italien des années 1970, Sion atteint un niveau de baroque inédit au Japon (et ailleurs sans doute). D'un autre côté, sa folie kitsch – au point qu'un criminel zinzin asperge ses victimes de rose fluo – est sa limite.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Le film séduit, sous le vernis de l'exercice de style, par sa complexité narrative et ses échos littéraires — nombreuses citations de Kafka. Et par l'ambiguïté du parcours de l'héroïne, entre émancipation et déchéance.
Chronic'art.com
Sous couvert de film malpoli, Sono Sion s'empresse de multiplier les servilités d'auteur qui font vaciller tout son projet : à tant feindre l'innocence du geste, il ne dévoile que sa crispation raffinée et auteurisante. Voilà donc, tout à ses rêves de canaille échevelée, le film le mieux peigné de l'été.
Paris Match
[CONTRE] Cette variation nippone de "Belle de jour" dérape vite dans une insupportable hystérie surlignée par une musique de chambre versaillaise digne des nanars X des années 70.
TéléCinéObs
Pudibonderie moyenâgeuse contre dévergondage en love hôtel technoïde, ping-pong hystérique entre le désir et la mort, ce semi-polar érotique ne lésine pas sur les poncifs. Mais cet abattage souffreteux ne produit pas le moindre trouble, sinon une enfilade de gesticulations franchement pénible.