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Un film dont les deux premiers tiers sont très réussis malgré un budget manifestement limité, peu d'acteurs et un quasi huis-clos. L'atmosphère sur l'île est étrange, angoissante et captivante. La mise en scène est réussie.
Le dernier tiers est sans intérêt, malgré la présence de plus d'acteurs et un retour à la vie urbaine : on ne comprend pas le sens de la fin du film et où le scénariste a voulu nous emmener.
Au final, cela donne 3 étoiles et des regrets car avec un autre dernier tiers, le résultat final et global aurait été autrement plus réussi.
Le dernier tiers est sans intérêt, malgré la présence de plus d'acteurs et un retour à la vie urbaine : on ne comprend pas le sens de la fin du film et où le scénariste a voulu nous emmener.
Au final, cela donne 3 étoiles et des regrets car avec un autre dernier tiers, le résultat final et global aurait été autrement plus réussi.
La première partie du film est vraiment bien, j'ai vite accroché au rythme lent, à l'histoire, aux paysages. Mais dès la moitié du film ça devient n'importe quoi, je n'ai plus rien compris, où voulait-on en venir ? C'était bien parti au départ puis ça devient un navet indigeste et ça m'a perdue, dommage. Laetitia Casta très crédible et juste dans son rôle cela dit.
traversay1
Le fameux cap du deuxième film. Après Eastern Plays, Kamen Kalev se noie dans The Island, une variation sur le thème du couple qui se termine en ridicule absolu dans une émission de téléréalité bulgare. Auparavant, le film montre ce couple sur une île désolée, aux prises avec ses contradictions, lui piégé par son retour à sa douloureuse enfance sur sa terre natale, elle (Laetitia Casta, pas terrible), avec ses envies de maternité. Kalev se prend pour Antonioni, sans en avoir les moyens, et l'errance de ce duo n'est pas loin de prendre un tour grotesque. Qui est atteint dans sa dernière partie. Il y a, cependant, une espèce de fascination à voir cet objet qui sonne le creux. L'attirance du vide a quelque chose de vertigineux.
Voila un film tres etrange , on s'y perd assez souvent , sauf la fin qui ne manque pas d'originalité.
Cela reste tout de meme tres fade . Laetita , Q'u est tu venir faire la dedans?
Cela reste tout de meme tres fade . Laetita , Q'u est tu venir faire la dedans?
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