Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
Lola Créton ("Un amour de jeunesse") émeut par sa force secrète, tandis que Stanislas Merhar réveille le souvenir du Dutronc de "Sauve qui peut (la vie)", de Godard. Tous deux sont beaux à voir, dans leur manière d'affronter la fatigue de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Lola Créton est toujours aussi convaincante, elle fait preuve d'une espèce d'autorité rentrée qui n'est peut-être qu'une illusion, mais on a ici l'impression que l'actrice fait affleurer les paroxysmes les plus intenses sans même commencer à les exprimer. Le film l'est moins, convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un film bancal mais attachant, où s'enchaînent des scènes inégales : convenues et pénibles quand il s'agit de peindre l'ennui bourgeois qui gagne le couple du photographe, hilarantes quand l'inattendu (un poisson saugrenu par exemple) s'invite à table et parfaitement désarmantes lors des échanges platoniques entre l'artiste et sa jeune muse éphèmère.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Les deux jeunes cinéastes [font preuve d']une application un peu scolaire, voire un fond de préciosité qui dessèche le film en son sein. Mais l'essentiel est préservé par l'évidence du binôme d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Mathieu Macheret
"En ville" ne résiste pas à son dispositif plastique, lesté de tout réel, et qui fige bien souvent la superbe des postures dans le gel de la pose.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Clément Ghys
[De Rohmer], Mréjen et Schefer ont voulu conserver la force des échanges et tombent malheureusement dans une certaine caricature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
"En ville" frise tellement la caricature du film d'auteur qu'il finit par marquer contre son camp. (...) Heureusement, "En ville" est sauvé du désastre par Lola Créton.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Un peu d'errance et quelques discussions sur draps blancs plus tard, on a déjà fait le tour de ce gros court métrage qui n'a rien à dire et qui ne sait pas comment le raconter.
Positif
par Vincent Thabourey
Cette quête d'idéal, engoncée dans un esthétisme de bon aloi, pèche ainsi par sa distanciation exacerbée, sa surcharge de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
Lola Créton ("Un amour de jeunesse") émeut par sa force secrète, tandis que Stanislas Merhar réveille le souvenir du Dutronc de "Sauve qui peut (la vie)", de Godard. Tous deux sont beaux à voir, dans leur manière d'affronter la fatigue de vivre.
Le Monde
Lola Créton est toujours aussi convaincante, elle fait preuve d'une espèce d'autorité rentrée qui n'est peut-être qu'une illusion, mais on a ici l'impression que l'actrice fait affleurer les paroxysmes les plus intenses sans même commencer à les exprimer. Le film l'est moins, convaincant.
Les Inrockuptibles
Un film bancal mais attachant, où s'enchaînent des scènes inégales : convenues et pénibles quand il s'agit de peindre l'ennui bourgeois qui gagne le couple du photographe, hilarantes quand l'inattendu (un poisson saugrenu par exemple) s'invite à table et parfaitement désarmantes lors des échanges platoniques entre l'artiste et sa jeune muse éphèmère.
TéléCinéObs
Les deux jeunes cinéastes [font preuve d']une application un peu scolaire, voire un fond de préciosité qui dessèche le film en son sein. Mais l'essentiel est préservé par l'évidence du binôme d'acteurs.
Critikat.com
"En ville" ne résiste pas à son dispositif plastique, lesté de tout réel, et qui fige bien souvent la superbe des postures dans le gel de la pose.
Libération
[De Rohmer], Mréjen et Schefer ont voulu conserver la force des échanges et tombent malheureusement dans une certaine caricature.
Première
"En ville" frise tellement la caricature du film d'auteur qu'il finit par marquer contre son camp. (...) Heureusement, "En ville" est sauvé du désastre par Lola Créton.
Cahiers du Cinéma
Un peu d'errance et quelques discussions sur draps blancs plus tard, on a déjà fait le tour de ce gros court métrage qui n'a rien à dire et qui ne sait pas comment le raconter.
Positif
Cette quête d'idéal, engoncée dans un esthétisme de bon aloi, pèche ainsi par sa distanciation exacerbée, sa surcharge de finesse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live