Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Il y a une grande douceur dans la manière dont le cinéaste accompagne ses deux personnages avec une apparente froideur, qui, peu à peu, se fait complice de cette fuite lente et désagrégée par une espèce de mélancolie qui ne dit pas son nom.
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Critikat.com
par Benoît Smith
Le film propose, habilement, de brouiller la démarcation et de questionner le rapport entre vérité et mensonge, dans le cadre d'un road-movie où pour une fois, la liberté s'affiche moins qu'elle ne se constitue en arrière-plan, par un implicite relâchement de règles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un road movie bulgare extrêmement plaisant, qui a les qualités de sa modestie de moyens.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Konstantin Bojanov signe un très beau film, fragile et délicat, où les êtres se révèlent de très jolie manière.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
(...) ce road-movie pour un anti-couple a le piquant et le fondant d'une châtaigne, bogue ingrate et fruit tendre, mais sans mollesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) le film de Konstantin Bojanov distille une magie délicate qui ne fera pas regretter au spectateur d'avoir pris la route avec lui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
C'est encore un récit d'initiation, mais la leçon s'avère séduisante (...). "Avé" louvoie avec plaisir et limpidité. Sans afféteries, le film favorise longs plans et clair-obscur. Il se détache vite de la toile misérabiliste sur la Bulgarie post-communiste. Bojanov préfère rêver d'années 70, de vagabondage mélancolique à l'américaine. (...) [Le film] nous voue à l'amour de se raconter des histoires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
(...) un premier film très adroit au tempérament vagabond, peinture douce-amère en bleu-gris-rouge, qui nous fait traverser le pays en auto-stop et, par deux fois, dans le sillage d'une brève rencontre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec une économie de plans, Bojanov embarque ses comédiens dans un road-movie sensible où s'entremêlent mélancolie et fureur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le Bulgare Konstantin Bojanov, grand admirateur de "l'Epouvantail" de Jerry Schatzberg, déglace à l'humour la mélancolie qui sourd de son premier film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par La rédaction
Un joli film, un peu attendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Fiches du Cinéma
par Camille Lebert Loiret
Le premier film de fiction du plasticien Konstantin Bojanov a le charme de sa fragilité, mais reste trop inabouti pour marquer durablement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
(...) le scénariste-réalisateur a tiré son sujet d'une expérience personnelle, c'est un vagabondage très attendu, dans les pas d'un couple d'adolescents attachants. (...) Entre poésie et mélancolie, la chronique d'une perte de l'innocence pour s'engager d'un pas plus ferme et assuré à la rencontre des impératifs du monde adulte.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Sans grande originalité, ce film tient par la personnalité des deux acteurs qui emplissent les vides d'un scénario linéaire ponctué de rencontres et de bobards.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
La caméra bouge peu, et ici on a parfois l'impression d'un récit écrit. Mais, bien que modeste, "Avé" est un road-movie attachant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Toujours à bonne distance de ses personnages, ce road-movie encourt cependant le risque du vagabondage, de la répétitivité et d'une issue que l'on croit deviner à quelques kilomètres. (...) Ce qui s'impose à l'arrivée [est] une adorable parabole sur (...) le mensonge.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
Associer charme et émotion, c'est le moteur de ce road-movie initiatique qui traverse toute la Bulgarie jusqu'au bord de la mer Noire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré son idée de départ singulière, l'intérêt se dilue au gré des rencontres que font ces écorchés vifs pourtant attachants.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Il y a une grande douceur dans la manière dont le cinéaste accompagne ses deux personnages avec une apparente froideur, qui, peu à peu, se fait complice de cette fuite lente et désagrégée par une espèce de mélancolie qui ne dit pas son nom.
Le Point
Voir le site du Point.
Critikat.com
Le film propose, habilement, de brouiller la démarcation et de questionner le rapport entre vérité et mensonge, dans le cadre d'un road-movie où pour une fois, la liberté s'affiche moins qu'elle ne se constitue en arrière-plan, par un implicite relâchement de règles.
L'Humanité
Un road movie bulgare extrêmement plaisant, qui a les qualités de sa modestie de moyens.
La Croix
Konstantin Bojanov signe un très beau film, fragile et délicat, où les êtres se révèlent de très jolie manière.
Le Figaroscope
(...) ce road-movie pour un anti-couple a le piquant et le fondant d'une châtaigne, bogue ingrate et fruit tendre, mais sans mollesse.
Le Monde
(...) le film de Konstantin Bojanov distille une magie délicate qui ne fera pas regretter au spectateur d'avoir pris la route avec lui.
Les Inrockuptibles
C'est encore un récit d'initiation, mais la leçon s'avère séduisante (...). "Avé" louvoie avec plaisir et limpidité. Sans afféteries, le film favorise longs plans et clair-obscur. Il se détache vite de la toile misérabiliste sur la Bulgarie post-communiste. Bojanov préfère rêver d'années 70, de vagabondage mélancolique à l'américaine. (...) [Le film] nous voue à l'amour de se raconter des histoires.
Libération
(...) un premier film très adroit au tempérament vagabond, peinture douce-amère en bleu-gris-rouge, qui nous fait traverser le pays en auto-stop et, par deux fois, dans le sillage d'une brève rencontre.
Metro
Avec une économie de plans, Bojanov embarque ses comédiens dans un road-movie sensible où s'entremêlent mélancolie et fureur de vivre.
TéléCinéObs
Le Bulgare Konstantin Bojanov, grand admirateur de "l'Epouvantail" de Jerry Schatzberg, déglace à l'humour la mélancolie qui sourd de son premier film.
L'Express
Un joli film, un peu attendu.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de fiction du plasticien Konstantin Bojanov a le charme de sa fragilité, mais reste trop inabouti pour marquer durablement.
Ouest France
(...) le scénariste-réalisateur a tiré son sujet d'une expérience personnelle, c'est un vagabondage très attendu, dans les pas d'un couple d'adolescents attachants. (...) Entre poésie et mélancolie, la chronique d'une perte de l'innocence pour s'engager d'un pas plus ferme et assuré à la rencontre des impératifs du monde adulte.
Paris Match
Sans grande originalité, ce film tient par la personnalité des deux acteurs qui emplissent les vides d'un scénario linéaire ponctué de rencontres et de bobards.
Positif
La caméra bouge peu, et ici on a parfois l'impression d'un récit écrit. Mais, bien que modeste, "Avé" est un road-movie attachant.
Première
Toujours à bonne distance de ses personnages, ce road-movie encourt cependant le risque du vagabondage, de la répétitivité et d'une issue que l'on croit deviner à quelques kilomètres. (...) Ce qui s'impose à l'arrivée [est] une adorable parabole sur (...) le mensonge.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télérama
Associer charme et émotion, c'est le moteur de ce road-movie initiatique qui traverse toute la Bulgarie jusqu'au bord de la mer Noire.
Le Journal du Dimanche
Malgré son idée de départ singulière, l'intérêt se dilue au gré des rencontres que font ces écorchés vifs pourtant attachants.