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    Les Acacias
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    80 critiques spectateurs

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    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 décembre 2012
    Ce premier film de l’argentin Pablo Giorgelli nous était présenté comme une belle histoire d’amitié tournée sous forme de road-movie filmée avec une mise en scène particulièrement minimaliste. Mais trop de minimalisme tue l’intérêt de la narration et même de l’emphase entre les protagonistes! Une suite de 80 minutes de champs-contre champs en huis clos entre les deux sud-américains les moins bavards imaginables ne pouvait être qu’une expérience cinématographique soporifique. Le semblant d’émotions qui se met difficilement en place entre les deux personnages est trop léger pour rendre attendrissant leurs adieux sans surprises.
    Alice S
    Alice S

    8 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2012
    Depuis peu il y a deux écoles des "fans" du septième art que j'ai beaucoup de mal à comprendre... L'une magnifie et font de petites comédies françaises, des films qui resteront dans l'histoire on ne sait pas pourquoi... et la seconde donne un tas d'oscars et de prix à des films où rien ne se parce que " c'est profond et que tout le monde n'a pas le don de percevoir la force et le sens profond de chaque image" ... Alors aujourd'hui le septième art m'agace, parce que je ne comprends plus ce que les gens attendent du cinéma. Tout ça pour dire que je suis sortie 30 minutes après le début du film, je suppose que ce n'est pas un navet, je suis certainement trop limitée pour comprendre la grande finesse de ces personnages et de cette histoire !!!
    cristal
    cristal

    181 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2012
    Caméra d'Or surprise au dernier festival de Cannes, "Les Acacias" met en scène la rencontre entre un chauffeur de camion et une femme et son bébé, de la frontière du Paraguay jusqu'au foyer familial de la mère, en Argentine. Le film se pare d'une discrétion de tous les instants, celle d'un champ-contrechamp quasiment permanent, et trace un chemin de cinéma tout à fait banal, sans effets ni dramaturgie, laissant libre cours à l'improvisation de ses comédiens pour la plupart du temps. Comment naît une relation? D'où vient l'affection? Quels liens infimes se tissent entre deux inconnus? Quel poids a le regard, le geste, la parole? Sans répondre esthétiquement aux faits, Pablo Giorgelli se contente de tenir avec maîtrise la nuance volontairement aplatie du film, reposant essentiellement sur la manière dont les comédiens décident de la durée de leurs silences, la vitesse de leurs mouvements et la direction de leurs regards. La route et les paysages argentins dévoilés durant le film ont un charme dont on sent immédiatement le climat pesant, pour autant le cinéaste n'évite pas l'ineptie ni l'ennui d'une telle carcasse vide. On accordera quelques courts moments d'un délicieux flottement où les personnages se détachent de leur rôle de parleurs et les paysages de celui de témoin du défilement perpétuel, mais cette naissance de l'amitié et de l'amour a des vocations cinématographiques insaisissables à moins, entre deux baillements et quelques contorsions, de se rendre compte de la difficulté de tourner avec précision un si long champ-contrechamp en mouvement, et la difficulté d'y raccorder le paysage qui fuit sous nos yeux. Un bel exercice de festival, en somme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 avril 2012
    Sentiments partagés pour ce "road movie" qui, il faut l'avouer, traine parfois un peu trop en longueurs. Le scénario n'est pas bien original et compliqué à comprendre, ce qui en soit ne constitue pas un problème; sauf que certaines scènes paraissent bien souvent trop stéréotypées. En fait (heureusement?), la fin qui est une évidence depuis le début du film, très bien tournée et interprétée, donne tout son sens au film. A voir tout de même par curiosité.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    46 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2012
    Le cinéma argentin n’en finit pas de nous livrer de petites merveilles qui passent à côté de leur public en raison d’une distribution en salle minimaliste. On pourrait citer une longue liste de réalisateurs de talent, de Pablo Trapero à Rodrigo Moreno en passant par le génial Carlos Sorin. C’est incontestablement à l’univers de ce dernier que se rattache le film de Pablo Giorgelli, avec ce même regard chaleureux et humaniste sur la vie des petites gens et cette manière ineffable de creuser les âmes et les émotions. Son personnage de camionneur, qui convoie une jeune femme et son bébé du Paraguay à Buenos Aires, n’est qu’un homme ordinaire un peu bourru qui va s’attendrir jusqu’au sentiment amoureux au fil du voyage. Histoire toute simple faite de silences et de regards sur un rythme volontairement très lent pour en mieux cerner l’intériorité. De l’anti-spectacle d’une sensibilité infinie.
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2012
    Un road movie sentimental qui réinvente le style en prenant l'exact contre-pied du style occidental, français ou américain. Là où nos comédie sentimentale sont bavardes et souvent mièvres Pablo Giorgelli fait se rencontrer deux personnes d'âges mûrs au passé qu'on devine peu facile. Bien que très scénarisé le style docu donne une force supplémentaire. Pas de dialogues superflus, tout y est dit par des regards et tout y es suggéré pour y éviter les blablas habituels ailleurs. Les deux acteurs ont qu'un seul défaut, celui des larmes ; mais étant donné ce paramètre peut important dans le film on leur pardonne car le reste est terriblement touchant. Certain crieront à l'ennui, c'est qu'ils seront passés à côté de la richesse des sentiments beaux et subtils des personnages. Un road-movie sentimental qui change de 95% des films qui passent sur nos écrans. A conseiller.
    Domnique T
    Domnique T

    68 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 janvier 2012
    Oui, oui ce film intimiste n'est pas démuni d’intérêt. C'est un road movie dont on se fout totalement du départ (Asuncion ... à priori), de l'arrivée (Buenos Aires) et du chemin !! Rien du décor ne nous est montré.
    De façon minimaliste, tout est basé sur l'évolution de la rencontre des 3 protagonistes. Leurs balèvres respectives sont suggérées, évoquées mais jamais expliquées ... C'est peut-être une bonne idée, mais c'est terriblement ennuyeux !!
    Schwann
    Schwann

    10 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2012
    Un film reposant, calme, lent. Pendant 1h20, un homme, une femme et son bébé vont cohabiter dans un camion, du Paraguay jusqu'à Buenos Aires. Rubén et Jacinta sont des inconnus l'un pour l'autre et le film va développer l'apprentissage et la rencontre de leur être respectif. Seulement, cette rencontre ne se fait pas à coups de mots et d'actes : elle passe par les regards, y compris ceux de la petite Anahi, par les hésitations, les non-dits. Pablo Giorgelli représente la réalité, la vie, si bien qu'on éprouve la peur qu'un élément perturbateur apparaisse et casse le rythme apaisant du film. Il n'en est rien.
    manuinho
    manuinho

    5 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2012
    À default de paroles dù aux pensées fermées et timides du camioneur , ce n'est pas évident alors de sortir de l'ennuie du scénario . Et le moins que l'on puisse dire , ç'est qu'il ne se passe pas grand chose à part à part la 1ère scène très réussie techniquement et la dernière ou finalement , le film commence entre les deux personnages principaux , bref , trop tard et une déception .
    Wouppa
    Wouppa

    3 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2012
    ce film est un voyage, un long voyages entre inconnus.
    Il ne se passe rien, juste un bébé et ses mimiques qui fait la liaison entre ces deux êtres,
    étrangement, à la fin du film, on se sent bien...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 janvier 2012
    Un vide cinématographique, un film pédant! Y'a que les grimaces de la petite pour sauver les négatifs! Faire du cinéma ne devrait pas être si simplet et encenser ce genre de film est du foutage de gueule! Nullissime! A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 janvier 2012
    Franchement quand on a vu la bande annonce on a tout vu! Oui l'histoire est simple et poétique mais on s'ennuie c'est long et lent. Je suis donc entièrement d'accord avec tous les films primes a Cannes. En général je les déteste ou je ne les comprends pas! C'est un film gentillet ok mais pas plus et un peu trop long.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    Le Road-Movie est aussi une spécialité argentine. Mais, habituellement, ce sont les paysages à l'infini de la Patagonie qui lui servent de cadre. Avec Les acacias, changement de décor, nous voici embarqués entre le Paraguay et les plaines d'Argentine, sur la route de Buenos Aires. Et ce ne sont pas les paysages qui intéressent Pablo Giorgelli, mais ceux de l'intérieur des voyageurs, pari risqué car il a choisi deux personnages taiseux dont nous ne saurons que peu de choses. Pas de paroles, mais des regards, qui changent et s'adoucissent via un adorable bébé médiateur. Le film est mince par son scénario, c'est un fait, et il a le charme des choses simples et des routes qui déroulent leur bitume dans la cabine d'un camion bercé par les non-dits. La femme est paraguayenne, guarani qui plus est, donc théoriquement méprisée par un macho argentin qui se respecte (aux yeux du grand pays andin, tout ce qui vient du Paraguay ne vaut pas tripette). Le début de la relation entre ces deux personnages, unis par une certaine forme de solitude, est d'autant plus touchant et incongru qu'il dépasse ces clichés géographiques (bien entendu, cet aspect-là risque de passer au-dessus de la tête du spectateur français, mais ce n'est pas bien grave). Un autre rythme, une sobriété totale qui confine au minimalisme, Les acacias demande un abandon d'un certain nombre de ses habitudes cinématographiques. Pas simple, mais on y arrive. A Buenos Aires, une autre histoire commence ...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    bon faut bien que quelqu'un n'ai pas aimé ce film donc bon ...

    Pour George Mselies et autres magiciens de la pellicule, le cinema est un moyen de faire rever les gens, de les emporter loin de leur tracas et de leur oublis. De leur faire visiter des univers incroyables, remplis de monstres, de folie, et meme de couleurs artificiels. Et les gens etaient heureux, et avaient un sourire beat en voyant une fusée crevé l'oeil de la lune. Ils etaient terrifiés de voir un singe géant dominer New York. Ils etaient bouche bée devant la destruction d'Aldeeran par l'étoile noire, ou meme devant la bataille du gouffre de helm ou se battèrent tant de vaillants soldats pour la destruction d'un anneau. Ils se sentaient meme transportés de partir sur une planete bleue pas si pareille que la notre, remplis d'etre etranges appelés les navi's. Mais l'emerveillement pouvait tout autant passer par les histoires boulversantes de moines morts pour des dieux, ou touchantes au possible, comme ce jeune de banlieue redonnant le soleil a ce tetraplegique. La notion de plaisir cinématographique dans le drame et la violence ? Un parrain veillissant, un ancien du vietnam devant son miroir, quatre gamins dansant et chantant en passant devant le pont de manatthan, sans savoir que leur vie sera boulversé quelques instants plus tard. Encore l'année dernière, Scorcese rendait hommage a Melies et rappelait le vrai but du cinéma: créer le rêve. A Cannes, Mallick nous a proposé sa vision lyrique du monde a travers la vie d'une famille américaine des années 50, en y peigant autour la création du monde, dieu, et même une plage pouvant symboliser le bout du monde, ou le centre, voir la fin au choix. Le cinéma a toujours été la machine à rêve comme l'était les contes de fées. Hélas, comme pour les contes de fées, on ne croit plus en ces monstres en carton, ces folies a base de petards et autre artifice, ces couleurs artificiels peintes à la main. La fermeture de la plus célèbre école de magie l'année dernière symbolise tout à fait cela. Les gens préfèrent voir le monde de la façon la plus réaliste possible. Aujourd'hui, vous vous exaltez comme des puces devant un voyage banal, ennuyant, réaliste, soporifique. Mais ça vous aimez etonnement. Vous êtes heureux de vous êtres ennuyés devant des gens qui s'ennuient.

    Traitez moi de populiste, de tout ce que vous voulez. Je n'y répondrais pas car mon temps est précieux et que la mort peut me frapper quand elle veut. De toute façon je m'étais déjà fait fusillé ailleurs quand j'avais dit que j'avais trouvé le film "une séparation" chiant et qu'il fallait lui préferer l'étrangère qui est bien meilleur. Mais je tiens à vous dire une chose, et en même temps à vous servir de miroir. Alors regardez votre reflet: vous payez votre ticket de cinéma pour allez vous ennuyer, et vous aimez ça. Alors je vous le dit, vous êtes bien triste.
    alseberg
    alseberg

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2012
    Et bien c'est un beau film ça ! Il ne se passe rien mais l'émotion est là. Et puis les trajets en voiture, rien de mieux pour admirer le paysage.
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