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    Oslo, 31 août
    Note moyenne
    3,8
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    Votre avis sur Oslo, 31 août ?

    234 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 avril 2012
    Un Toxico qui sort de cure et qui essaie de raccrocher avec sa vie d'avant. C'est très réaliste et très glauque. Pas d'artifice, juste la réalité, des scènes très longues ou on sent bien le malaise, ou on se demande pourquoi on vit...Très tendu tout le film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2012
    On aurait aimé y croire à ce drame social traitant de la réinsertion d’anciens drogués dans la société. Joachim Trier adapte ici le roman "Le Feu Follet", de Pierre Drieu La Rochelle (édité en 1931). Le roman avait déjà connu une précédente adaptation (éponyme) par Louis Malle en 1963. Cette fois-ci, l’intrigue ne se situe plus à Paris mais comme son titre nous l’indique, à Oslo en Norvège.
    Bien qu’il ne dure que 95 minutes, Oslo, 31 août (2011) s’avère être d’une lassitude désarmante. La mise en scène amorphe, ainsi que ses acteurs, finissent par nous achever et ce, malgré l’excellente prestation de l’acteur principal.
    pandani
    pandani

    35 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2012
    C'est très bien filmé, il y a de nombreuses bonnes idées de mise en scène, de bon interprètes et même quelques moments de grâce cinématographique, et pourtant je n'ai pas complètement réussi à rentrer dans le film : des longueurs et des bavardages superflus, et un fond trop faible que la forme seule ne peut compenser.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 novembre 2012
    Une plongée saisissante dans la vie d'un ex toxicomane qui essaye de reprendre goût à la vie. Anders Danielsen Lie est d'une justesse incroyable dans le rôle de ce jeune homme qui semble détaché de tout, de sa vie, de ses amis ect L'esthétique du film est magnifique et la bande son accompagne parfaitement sa journée. Un film émouvant et qui met en lumière un sujet difficile mais important. Le film à voir de ce début d'année 2012 !
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2012
    Film terriblement bavard, avec des dialogues insipides. On s'ennuie rapidement d'autant plus que ces échanges sont filmés en champ-contre champ d'une absolue platitude. Mais la critique est, une fois de plus, emballée ?! Le destin du personnage principal indiffère et tout ce qu'on souhaite c'est que ça finisse, passé la curiosité de voir quelques vues d'Oslo.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 mars 2012
    Excellent film sur un sujet difficile, l'addiction à l'héroïne, très bien interprété, émouvant et profond. Seul petit bémol , l'utilisation d'une faible profondeur de champ un peu abusive, même si très belle, rend l'esthétique du film outrageuse en rapport au sujet, dommage!
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    168 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2012
    Un film qui compte quelques moments de grâce : un début évoquant les souvenirs d'inconnus sur la ville d'Oslo, une scène dans un café baigné des conversations des clients, une déambulation à vélo dans la ville en pleine nuit. Le film doit beaucoup à la Nouvelle vague : il en reprend le thème et certains principes de mise en scène. Le destin du personnage principal est magnifiquement porté par le comédien qui a tout le charme et la mélancolie nécessaires. Et quel plaisir de revenir dans ces pays nordiques, si rares au cinéma ! Un très bon film (sans plus...).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2012
    Une pépite! On pense à peu à ce que fut 'More' de Barbet Schröder il y a 35 ans. Là, ce n'est pas la descente aux enfers progressive dans la drogue, c'est la tentative de sortie après une cure de désintoxication qui est filmée. Tous les parents de jeunes qui se droguent devraient emmener leurs enfants voir ce film, pour leur montrer combien 'l'après' est difficile, et pavé de mauvaises surprises. Le héros, formidablement joué par quelqu'un qui a du vivre ces moments difficiles, ce n'est pas possible de capter un rôle aussi justement, va de désillusion en désillusion: Il n'arrive à revoir que son passé, et il lui est impossible de se projeter dans un avenir serein. la drogue lui a fait perdre sa jeunesse, ses amis, ses rares bonheurs, sa vie peut-être. Bref, foncez voir Oslo, le 31 août!
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    80 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2012
    Quelques jours après "martha, marcy-may etc", encore un film dont on ne sort pas indemne....
    Pourquoi ? Parce qu'on se sent concerné par le "mal-être" de cet homme encore jeune, qui ne trouve pas sa place dans ce monde de "brutes".

    La justesse des dialogues, qui touchent à l'intime, résonnent en nous comme en Anders, qui lorsqu'il est touché, réagit brutalement.
    Malgré ses efforts et parfois aussi, ceux de ses interlocuteurs, il n'est nulle part, à sa place. Il est toujours, "à côté".

    De grands moments: le dialogue avec le mari de sa soeur, l'entretien d'embauche...
    Bien sûr, Anders sort à peine de sa cure de désintoxication mais il pourrait aussi bien, être dépressif.....

    Anders est serré de près par la caméra; on comprend ses tourments, son manque de "goût à la vie, à aimer"; il est nulle part, chez lui !!!

    Sa personnalité, différente de celle de Maurice Ronet, dans le Feu follet, est une sorte de transposition dans nos années 2010...

    Beau et profond= TOUCHÉ !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mars 2012
    La difficulté de s'en sortir, comment faire quand personne ne croit en nous... Film a voir, c'est un joli drame !
    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2012
    Quelle desesperance inutile… le film est plutot bien fait, bien joué, mais pfffff… so what ???
    Thomas P
    Thomas P

    35 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2012
    Difficile de se forger un avis. D’un côté il y a une réalisation de très grande qualité, dans les plans, l’esthétique et surtout dans le jeu des acteurs. Le rythme un peu lent du film s’étalant sur 24h n’est pas dérangeant, au contraire il participe à cette ambiance particulière qu’a voulu installer le réalisateur. Mais d’un autre côté, on reste sur notre faim, le sujet intéressant du film sur la désintoxication nous convainc par sa crédibilité mais au final mon ressenti s’avère fade. Beau, crédible et convainquant mais un peu décevant dans le fond.
    Schwann
    Schwann

    10 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2012
    C'est le temps, plus que la drogue, qui à mon sens est au cœur d'Oslo, 31 août. Déjà dans le titre, puis par les interventions de voix anonymes et par les plans sur et dans la ville. C'est un film teinté de mélancolie plus que de nostalgie, comme l'exprime une des voix. Poétique, pessimiste, parfois drôle, très référencé, Oslo, 31 août nous hypnotise pendant 24 heures de la vie d'Anders - j'aime beaucoup les films qui établissent une narration de ce genre -, mais aussi dans l'universalité de nos vies, ce qui n'est pas toujours facile à accepter. Le film est très juste pour montrer la beauté qui se dégage des imperfections de la vie, des visages, des musiques, de la littérature, des paroles, des mots. Il m'a donné envie de lire Le Feu follet de Pierre Drieu La Rochelle, preuve que l'adaptation de Joachim Trier est réussie. Petit malus, le norvégien n'est définitivement pas une langue musicale ...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2012
    Il faut toujours se méfier des films qui arrivent de Scandinavie. Non pas qu’ils soient dangereux mais bien parce qu’il étonnent. Il y a bien eu, par le passé, des cinéastes respectés qui offrent des métrages défiant les lois du cinéma (Ingmar Bergman pour ne citer que le plus célèbre ou Lars Von Trier depuis une vingtaine d’années). Aujourd’hui, il faut prendre en compte de nouvelles têtes. On connaît Thomas Vinderberg (le choc Festen), Lukas Moodyson (le sublime Fucking Amal) ou Nicolas Winding Refn. Il faudra ajouter Thomas Alfredson (Morse, le meilleur film de vampires depuis longtemps) et Joachim Trier. Oslo 31 août, sa deuxième livraison, se pose comme une claque absolue et se place directement comme un candidat sérieux au titre de film de l’année 2012.

    La suite sur mon blog : http://critiqueconnection.wordpress.com/2012/03/08/oslo-31-aout/

    Bonne découverte.
    Jean-françois Passé
    Jean-françois Passé

    118 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mars 2012
    sorti pour un entretien d'embauche de sa cure de désintoxication , un jeune intellectuel retrouve ses anciens amis , sa ville , et le monde de la nuit jusqu'au matin du 31 août... encore un film qui nous met en présence d'une humanité perdue qui cherche le sens à la vie... c'est dans l'air du temps tous pauvres hères errants ... et ça se laisse voir entre deux anti-dépresseurs
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