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    Oslo, 31 août
    Note moyenne
    3,8
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    234 critiques spectateurs

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    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 novembre 2012
    Mis à part quelques jolies scènes, c'est un film qui pâtit de son côté somnolent, avec un acteur dont on attends toujours une réaction.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    Librement adapté du Feu follet de Drieu La Rochelle, un drame intime désenchanté et mélancolique, servi par la mise en scène stylée de Joachim Trier, et la prestation émouvante d’Anders Dianelsen.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 mai 2012
    Puissant film dramatique, bien aidé par une interprétation sans faille de l'acteur principal.
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2013
    Amorphe et apathique à l'image de son personnage principal,"Oslo,31 août",ne mérite pas forcément tous les éloges qui lui ont été attribués,mais il permet de découvrir le cinéma norvégien actuel,ce qui n'est déjà pas si mal.C'est l'histoire basique d'un ex-junkie qui essaie de se réinsérer dans une société qui ne veut pas de lui.Anders Danielsen Lie donne de la sobriété et de l'intériorité à son jeu,qui manque tout de même de force.Le réalisateur Joachim Trier semble s'être inspiré du cinéma européen des années 60,pour une mise en scène naturaliste,qui questionne les conditions de l'existence humaine.Le tout donne un drame assez froid,opaque mais en même temps lisible dans ses intentions jusqu'à un final trop démonstratif.C'est une ballade mortuaire dans le Oslo quasi automnal en compagnie d'un être au sort déjà scellé.Paradoxalement,les autres personnes qu'il croisent paraissent solaires,bien vivantes.Un film étrange,qui m'a échappé.
    cinéman
    cinéman

    42 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 juillet 2024
    31 août ou fin de l'été... Malgré un personnage principal intéressant, on assiste à ses pérégrinations dans Oslo sans buts, sans fondements, et à un certain renoncement à tout. Ainsi on obtient un film du même gabarit : sans intrigue, sans véritable trame narrative, dépressogène, où seul un enjeu parait d'envergure : va t-il ou non retomber dans la spirale de la drogue ? Les bons acteurs et les dialogues assez bien ficelés ne relèvent pas le niveau d'un film assez plat dont le côté pseudo intellectuel confine à la prétention.
    ER  9395
    ER 9395

    86 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2013
    Le parcours de cet homme qui sort de desintox est bouleversant par ses difficultés mais à du mal à nous toucher du fait de l'inégalité du récit .
    selenie
    selenie

    6 256 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 décembre 2012
    Seconde adaptation (après celle éponyme de Louis Malle en 1963) du roman "Le feu follet" de Durieu La Rochelle (collabo 39-45 soit dit en passant), Joacim Trier (rien à voir avec Lars Von Tier) déplace l'action chez lui à Oslo pour un film somnolant (d'un côté comme de l'autre). Le début est une suite d'archives inintéressantes avant de comprendre bien vite que le 31 aout estr une date, quoi qu'il arrive, fatidique dont qui retire un temps soit peu l'espoir d'une rédemption. On suit un toxico en fin de traitement qui revoit ses plus ou moins proches et qui, au fond, lui renvoie à la face son passé difficile (mais choisit comme il l'avoue lui-même) et comprend au fur et à mesure (au fond il se complait là-dedans) il se dit qu'il n'a plus rien à voir avec ce monde-ci. Bref il ne se passe pas grand chose mais le pire c'est qu'il y a un manque d'émotion terrible ; le personnage principal avoue d'ailleurs plusieurs fois ne plus rien ressentir, à force nous non plus ! La réflexion et le fond de l'histoire sont franchement intéressante mais ça reste trop monocorde et il n'y a pas de but réel dans ce road-movie solo-urbain. Certaines scènes sont tellement fades et faciles (il pique du pognon et on s'attend à ce que quelqu'un arrive...) que même les "rebondissements" (appelons ça comme ça) ne font pas l'effet escomptés. Une histoire riche et profonde mais un film sans consistance.
    Thierry M
    Thierry M

    161 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 mars 2012
    Ennuit mortel , quelques passage qui nous font esperer , mais on retombe vite dans l'ennuit.
    ayssar
    ayssar

    33 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 avril 2012
    Comment on ose faire un tel film ?!
    Le film n'est pas un roman… Il y a le théâtre si on veut passer tout le temps à parler…
    Plume231
    Plume231

    3 893 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Je pense qu'on a beaucoup plus affaire à une autre adaptation du roman "Le Feu Follet" de Drieu la Rochelle qu'à un remake de l'excellent film de Louis Malle, les différences étant assez significatives (l'alcoolisme remplacé par la toxicomanie, les années 60 par les années 2010, Paris par Oslo,...!!!) mais on ne peut pas s'empêcher de comparer. Même si le Louis Malle est plus marquant et émouvant, le jeu de Maurice Ronet plus puissant (d'ailleurs le souvenir de ce film est tellement fort que la musique d'Erik Satie utilisée dans sa BO m'est revenue sans cesse en tête pendant la vision d'"Oslo, 31 août" !!!), cette oeuvre venue du pays d'Ibsen est loin d'être déshonorante.
    Qu'on soit dans les années 60 ou dans les années 2010, à Paris ou à Oslo, la vision de l'extrême vacuité de l'existence est la même et présentée aussi subtilement et sobrement. En fait, le message d'ensemble est que l'intérêt de la vie réside dans quelques parcelles de bonheur très vite estompées... Et donc reste à savoir si on peut s'en contenter ou pas, ou si on se laisse submerger par le désespoir et être vraiment au bout du rouleau pour ne pas plonger dans la piscine (ceux qui auront vu le film comprendront !!!) et se contenter de regarder comme si on était déjà ailleurs...
    Une oeuvre qui n'atteint pas le rang de son illustre aîné mais qui est loin de laisser indifférent malgré tout...
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    754 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mars 2013
    Grosse déception concernant ce film norvégien ! La mise en scène manque cruellement d’émotion, mais le pire finalement dans ce film de Joachim Trier c’est qu’il ne s’y passe pas grand-chose au niveau de son histoire que j’ai trouvé particulièrement basique. L’interprétation d’Anders Danielsen Lie n’a, en plus, rien de formidable, en tous les cas je n’ai jamais réussi à me sentir proche de son personnage de toxicomane. Bref, j’ai été en présence d’une œuvre vraiment très frustrante et extrêmement ennuyeuse.
    Christoblog
    Christoblog

    828 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2012
    Cette année, il semble que le centre de gravité de la cinéphilie pourrait bien se déplacer vers le nord, avec Oslo, 31 août , le très beau film russe Portrait au crépuscule et l'adaptation de Millenium en Suède. Sans compter les très bonnes séries TV danoises (Borgen, The killing).



    Le deuxième film du norvégien Joachim Trier (le premier, Nouvelle donne, est passé relativement inaperçu en 2008) est en effet un choc esthétique de première ampleur.



    On ne peut qu'être admiratif devant l'élégance extrême de la caméra, très fluide, sensuelle, toujours en mouvement, qui suit pendant 24 heures environ l'errance dans Oslo d'un jeune junkie sortant d'une longue cure de désintoxication.



    Le scénario est une sorte de road movie cantonné à la capitale norvégienne : multiplication de rencontres éphémères avec de vieilles connaissances (amis, famille, dealer) ou avec des inconnus (une rayonnante jeune fille, un partenaire de rave, un recruteur).



    Si l'intrigue est minimaliste, le film parvient à installer une tension qui va croissant, par le biais d'une question lancinante : Anders replongera-t-il ? Il parvient à dépasser la contingence de sa trame narrative pour se muer en une sorte de biographie rêveuse (des images de films super 8, des photos de famille, par moment une loghorée de souvenirs en voix off) et même en une réflexion globale sur la condition humaine (la confession de l'ami d'enfance). Cet aspect presque Malickien du film culmine dans une scène exceptionnelle qui donne à Anders, attablé dans un café, une sorte de capacité d'extra-lucidité, qui lui permet d'entendre toutes les conversations l'environnant, et même de suivre par la pensée des inconnus jusque dans leur vie quotidienne.



    Le film approche la perfection visuelle dans de nombreuses scènes (les vélos dans la rue, les images stroboscopiques de la rave, les derniers plans) et est porté par un acteur, Anders Danielsen Lie, charismatique.



    Un film noir, superbe, qu'il faut absolument voir. D'autres critiques sur Christoblog : http://www.christoblog.net/
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Du cinéma d'une grande justesse, libre d'interprétation pour le spectateur avec un excellent comédien faisant face aux affres de la vie. Film épuré avec de belles images et une très bonne bande son.
    xando
    xando

    17 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 février 2012
    Oslo, 31 août est un pur bijou. Un film qui vous prend aux tripes. On sort de la salle bouleversé, saisi par la beauté de ce que l'on vient de voir. Un vrai hymne à la vie, lumineux et aérien. L'acteur principal y est tout simplement magnifique. A ne rater sous aucun prétexte.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juillet 2012
    Le propos n'a d'égal que la faiblesse d'une mise en scène poussive et molle.
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