Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
Glaçant !
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
La performance de Michael Fuith est effrayante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ecran Large
par Sandy Gillet
Fascinant et déstabilisant. Par le fils spirituel de Michael Haneke.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Sophie Walon
"Michael" est tout en sobriété autrichienne : minimaliste, froid, à la fois impeccable et implacable dans sa mise en scène des turpitudes humaines.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site lepoint.fr.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le film a l'intelligence suprême de ne pas énoncer de jugement moral à la place du spectateur, (...) menant à bien son projet casse-gueule sans jamais se casser la gueule.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
(...) Il n'y a rien de plus invisible que l'horreur ordinaire. C'est elle qui sourd, pourtant, de chaque plan de ce film étonnant. (...) Pas de jugement. Rien que le sentiment, suscité par la mise en scène, d'un danger permanent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique glaçante dérange profondément.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le réalisateur ne montre pas l'horreur mais privilégie la suggestion hors cadre, grâce à un sens de la mise en scène admirable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Première
par Thomas Agnelli
Derrière le disciple [de Haneke], se cache un cinéaste encore concerné par le souci de "bien faire mal".
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Décor désincarné, violence feutrée, fatalisme de l'aliénation : ce constat de la banalité du mal dénonce un mécanisme de l'aveuglement contemporain et renvoie au passé concentrationnaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
À ne pas oser adopter le point de vue de l'un ou l'autre des membres du binôme pour rester dans une tonalité prétendument factuelle, Markus Schleinzer produit donc un objet problématique à différents égards.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Alain Grasset
L'absence de dramaturgie et la multiplication des plans fixes provoquent un certain ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Alain Spira
Le réalisateur nous livre, avec beaucoup moins de puissance que son maître autrichien - Michael Haneke - une vision quasi désincarnée du lien malsain qui unit le psychopathe et son jeune captif.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Markus Schleinzer fait le malin en réalisant (...) un épisode de " vis ma vie de pédophile ". "Michael" est donc un vrai film de feignant en plus d'être une escroquerie intellectuelle et une caricature comique de cinéma autrichien.
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Un film inutile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Un quotidien sans aspérité. (...) Le résultat ressemble au personnage qu'il décrit, d'une tragique banalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Adrien Gombeaud
"Michael" n'est qu'une énième variation sur la banalité du mal. Au bout de quinze minutes, Schleinzer a épuisé son propos, or il reste encore plus d'une heure de film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Libération
Glaçant !
Metro
La performance de Michael Fuith est effrayante.
Ecran Large
Fascinant et déstabilisant. Par le fils spirituel de Michael Haneke.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
Le Monde
"Michael" est tout en sobriété autrichienne : minimaliste, froid, à la fois impeccable et implacable dans sa mise en scène des turpitudes humaines.
Le Point
Voir le site lepoint.fr.
Les Inrockuptibles
Le film a l'intelligence suprême de ne pas énoncer de jugement moral à la place du spectateur, (...) menant à bien son projet casse-gueule sans jamais se casser la gueule.
Télérama
(...) Il n'y a rien de plus invisible que l'horreur ordinaire. C'est elle qui sourd, pourtant, de chaque plan de ce film étonnant. (...) Pas de jugement. Rien que le sentiment, suscité par la mise en scène, d'un danger permanent.
20 Minutes
Cette chronique glaçante dérange profondément.
CinemaTeaser
Le réalisateur ne montre pas l'horreur mais privilégie la suggestion hors cadre, grâce à un sens de la mise en scène admirable.
Première
Derrière le disciple [de Haneke], se cache un cinéaste encore concerné par le souci de "bien faire mal".
TéléCinéObs
Décor désincarné, violence feutrée, fatalisme de l'aliénation : ce constat de la banalité du mal dénonce un mécanisme de l'aveuglement contemporain et renvoie au passé concentrationnaire.
Critikat.com
À ne pas oser adopter le point de vue de l'un ou l'autre des membres du binôme pour rester dans une tonalité prétendument factuelle, Markus Schleinzer produit donc un objet problématique à différents égards.
Le Parisien
L'absence de dramaturgie et la multiplication des plans fixes provoquent un certain ennui.
Paris Match
Le réalisateur nous livre, avec beaucoup moins de puissance que son maître autrichien - Michael Haneke - une vision quasi désincarnée du lien malsain qui unit le psychopathe et son jeune captif.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Markus Schleinzer fait le malin en réalisant (...) un épisode de " vis ma vie de pédophile ". "Michael" est donc un vrai film de feignant en plus d'être une escroquerie intellectuelle et une caricature comique de cinéma autrichien.
Le Figaroscope
Un film inutile.
Le Journal du Dimanche
Un quotidien sans aspérité. (...) Le résultat ressemble au personnage qu'il décrit, d'une tragique banalité.
Positif
"Michael" n'est qu'une énième variation sur la banalité du mal. Au bout de quinze minutes, Schleinzer a épuisé son propos, or il reste encore plus d'une heure de film.