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Jamais là où on l'attend, Miike met la violence en veilleuse et se concentre, avec une sensibilité inattendue, sur les aspects intimes d'un drame qui prend une dimension familiale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Très fidèle à l'original, "Hara-Kiri" n'est affaire que de confrontation de regards, de figement des actions, d'attente, d'écoute, loin de l'hystérie parfois délirante du cinéma de Miike.
Maniant scènes d'action et tension psychologique avec maestria, Miike fait très bien ressortir les dilemmes cornéliens de l'oeuvre. Concentré et haletant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les films de samouraïs ne sont pas obligatoirement des numéros de voltige sabre au clair. (...) Imagine-t-on un western où John Wayne se prendrait pour Bartabas?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Revisitant le classique de Masaki Kobayashi, Takashi Miike mêle Ozu, Mizoguchi et le chanbara. Son cinéma s'assagit et en ressort à la fois plus poétique et plus ambigu.
(...) On découvre (...) un Miike délicat, pas forcément plus doué – la plupart de ses films, même les plus brouillons, comportent des scènes géniales – mais capable d'émouvoir à un degré insoupçonné.
"Hara-Kiri" est passé de 3D à 2D sans qu'on puisse dénicher une explication raisonnable à cette décision [...] heureusement le film résiste à cette perte et son récit, lui, ne perd pas de relief.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le réalisateur, fidèle à lui-même, filme la violence plus directement que Kobayashi. Si certaines séquences, très perverses, virent parfois au grotesque, elles soulignent avec force les humiliations que peuvent subir les classes les plus faibles dans un système asservissant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On devine derrière tout ça un désir de dépouillement un peu effronté, comme si Miike, cinéaste de l'outrance, était condamné à forcer le trait dans un sens (la débauche malade d'effets, de mouvements) ou dans l'autre (l'épure stylistique).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
Jamais là où on l'attend, Miike met la violence en veilleuse et se concentre, avec une sensibilité inattendue, sur les aspects intimes d'un drame qui prend une dimension familiale.
Cahiers du Cinéma
Très fidèle à l'original, "Hara-Kiri" n'est affaire que de confrontation de regards, de figement des actions, d'attente, d'écoute, loin de l'hystérie parfois délirante du cinéma de Miike.
Ecran Large
Après "13 assassins", le film de samouraï va décidément bien à Miike. Classe et émouvant malgré une 3D anecdotique !
L'Humanité
Maniant scènes d'action et tension psychologique avec maestria, Miike fait très bien ressortir les dilemmes cornéliens de l'oeuvre. Concentré et haletant.
Le Journal du Dimanche
Un mélodrame flamboyant, servi par des costumes et des décors somptueux, qui brasse des thèmes comme le code d'honneur et le sens du sacrifice.
Le Monde
Hara-kiri ne ressemble en rien à la caricature que l'on a pu faire des oeuvres de ce cinéaste japonais prolifique (...).
Le Parisien
Les films de samouraïs ne sont pas obligatoirement des numéros de voltige sabre au clair. (...) Imagine-t-on un western où John Wayne se prendrait pour Bartabas?
Les Fiches du Cinéma
Revisitant le classique de Masaki Kobayashi, Takashi Miike mêle Ozu, Mizoguchi et le chanbara. Son cinéma s'assagit et en ressort à la fois plus poétique et plus ambigu.
Les Inrockuptibles
(...) On découvre (...) un Miike délicat, pas forcément plus doué – la plupart de ses films, même les plus brouillons, comportent des scènes géniales – mais capable d'émouvoir à un degré insoupçonné.
Libération
"Hara-Kiri" est passé de 3D à 2D sans qu'on puisse dénicher une explication raisonnable à cette décision [...] heureusement le film résiste à cette perte et son récit, lui, ne perd pas de relief.
Positif
"Hara-Kiri" aborde le genre du film de sabre sans aucune distance ni cynisme.
Critikat.com
Le réalisateur, fidèle à lui-même, filme la violence plus directement que Kobayashi. Si certaines séquences, très perverses, virent parfois au grotesque, elles soulignent avec force les humiliations que peuvent subir les classes les plus faibles dans un système asservissant.
Excessif
C'est peut-être grâce à cette sobriété de surface qu'il (Takashi Miike) va séduire un nouveau public.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
TéléCinéObs
L'intrigue a beau se montrer cruelle, la mise en scène se love dans un classicisme sage et moelleux.
Chronic'art.com
On devine derrière tout ça un désir de dépouillement un peu effronté, comme si Miike, cinéaste de l'outrance, était condamné à forcer le trait dans un sens (la débauche malade d'effets, de mouvements) ou dans l'autre (l'épure stylistique).
CinemaTeaser
Le réalisateur si inventif d'ordinaire fait plutôt dans le somnolent.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Miike tient sans doute à saluer quelques maîtres. Mais son hommage est bien trop momifié pour ne pas être mortellement ennuyeux.
Le Figaroscope
Une histoire de samouraï d'un ennui mortel.