Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
(...) dans l'exercice de ce machisme extrême et décomplexé, Gerardo Naranjo n'hésite pas à mettre sur un pied d'égalité barons de la drogue, police, officiels du gouvernement, mais encore ces miroirs aux alouettes que sont les concours de Miss (dénonçant au passage la gangrène de la corruption).
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20 Minutes
par Caroline Vié
Stefanie Sigman, Cendrillon au prince pas vraiment charmant, éclaire ce drame sombre d'une beauté qui causera la perte de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Avec "Miss Bala", Gerardo Narango (...) vise une voie médiane, entre la chronique sociale centrée (trop ?) sur une jeune actrice formidable, Stephanie Sigman, et le description d'un pays ravagé par la violence et la corruption.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un summum du thriller anxiogène, à la grande dimension humaine.
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Excessif
par Romain Le Vern
L'intérêt du film réside dans sa mise en scène hallucinante, à la fois instinctive, mentale et hyper travaillée, privilégiant les plans-séquences pour inscrire l'action dans la durée.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Julien Welter
Si la mécanique narrative plombe un peu le récit, le réalisateur signe le formidable portrait d'un pays soumis au bon vouloir des barons de la poudre.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
A travers son nouveau long métrage, "Miss Bala", le réalisateur mexicain enquête avec une précision documentaire sur la corruption et la violence quotidienne qui gangrènent le pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Miss Bala", formidable fiction qui raconte le conflit entre les narcos et ce qui tient lieu d'appareil d'État au Mexique, réussit à déjouer [la] surenchère spectaculaire pour revenir au coeur de la tragédie, à la vie des survivants, à la mort des victimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
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Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un film d'action efficace, doublé d'un constat glaçant sur la corruption des autorités. Impressionnantes scènes de guerre (de la drogue) au Mexique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
Un drame saisissant d'où émerge une actrice à suivre : Stephanie Sigman.
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Ouest France
par La rédaction
(...) un thriller implacable. [Le] récit est porté par la composition haletante de la superbe Stéphanie Sigman. Volontaire, courageuse, endurante. (...) Mais ses émois ne suffisent pas toujours à transporter une mise en scène distanciée, qui ne trouve pas toujours sa voie entre la fiction et le documentaire, justement.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Thomas Agnelli
Le sujet, déjà puissant (...) est développé comme une parabole dostoïevskienne sur la corruption d'une âme innocente par la société. Gerardo Naranjo ose une mise-en-scène aérienne, presque douce, pour traiter d'un sujet dur, enchaînant les plans-séquences comme son compatriote Alfonso Cuaron dans "Les Fils de l'Homme".
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
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TéléCinéObs
par Florence Raillard
"Miss Bala" reste un polar très efficace, qui siffle comme une balle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Cette frénésie paraît légèrement artificielle, au début, puis plus du tout. Gerardo Naranjo signe une mise en scène presque fluide malgré les retournements de situation : la fuite en avant vire au tourbillon, à la ronde vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Charlotte Servel / Benoit Smith
Beauté publicitaire et brutalité du réel : deux facteurs a priori paradoxaux, mais aux retentissements médiatiques comparables, dualité seyant bien à une double peinture saisissante, mais non sans ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Le réalisateur se regarde bien trop filmer pour nous laisser une chance d'accrocher aux personnages de ce film formellement abouti, mais émotionnellement anémique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Plutôt que de réaliser un film sur le trafic de drogue, producteur et réalisateur ont voulu raconter l'histoire terrible d'une femme honnête plongée dans la criminalité. (...) La mise en scène épouse son regard, place le spectateur dans sa position.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Tragédie implacable, "Miss Bala" de Gerardo Naranjo passe du film social et intimiste au pur film d'action, en laissant toujours place au suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Paris Match
par Alain Spira
La force [du film] (...) tient à sa mise en scène aussi redoutable qu'une mitraillette Uzi dans les pognes d'un homme de main.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il peut bien arriver [aux personnages] ce qui plaira au scénariste (s'il y en a un, ce n'est pas certain), de toute façon ce sera fort bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Bruno Icher
A force de ne rien vouloir épargner à son héroïne (et du même coup au public), le film finit par anesthésier toute capacité d'indignation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
(...) couleur café (us et abus de filtres ocres et jaunâtres), montage gringo, méchants cruels et en sueur, violence explosive. (...…) un film qui n'a guère plus d'ambition que de rivaliser avec n'importe quelle série B cool et musclée venue de l'autre côté de la frontière.
Positif
(...) dans l'exercice de ce machisme extrême et décomplexé, Gerardo Naranjo n'hésite pas à mettre sur un pied d'égalité barons de la drogue, police, officiels du gouvernement, mais encore ces miroirs aux alouettes que sont les concours de Miss (dénonçant au passage la gangrène de la corruption).
20 Minutes
Stefanie Sigman, Cendrillon au prince pas vraiment charmant, éclaire ce drame sombre d'une beauté qui causera la perte de son personnage.
Charlie Hebdo
Avec "Miss Bala", Gerardo Narango (...) vise une voie médiane, entre la chronique sociale centrée (trop ?) sur une jeune actrice formidable, Stephanie Sigman, et le description d'un pays ravagé par la violence et la corruption.
CinemaTeaser
Un summum du thriller anxiogène, à la grande dimension humaine.
Excessif
L'intérêt du film réside dans sa mise en scène hallucinante, à la fois instinctive, mentale et hyper travaillée, privilégiant les plans-séquences pour inscrire l'action dans la durée.
L'Express
Si la mécanique narrative plombe un peu le récit, le réalisateur signe le formidable portrait d'un pays soumis au bon vouloir des barons de la poudre.
Le Journal du Dimanche
A travers son nouveau long métrage, "Miss Bala", le réalisateur mexicain enquête avec une précision documentaire sur la corruption et la violence quotidienne qui gangrènent le pays.
Le Monde
"Miss Bala", formidable fiction qui raconte le conflit entre les narcos et ce qui tient lieu d'appareil d'État au Mexique, réussit à déjouer [la] surenchère spectaculaire pour revenir au coeur de la tragédie, à la vie des survivants, à la mort des victimes.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Un film d'action efficace, doublé d'un constat glaçant sur la corruption des autorités. Impressionnantes scènes de guerre (de la drogue) au Mexique.
Metro
Un drame saisissant d'où émerge une actrice à suivre : Stephanie Sigman.
Ouest France
(...) un thriller implacable. [Le] récit est porté par la composition haletante de la superbe Stéphanie Sigman. Volontaire, courageuse, endurante. (...) Mais ses émois ne suffisent pas toujours à transporter une mise en scène distanciée, qui ne trouve pas toujours sa voie entre la fiction et le documentaire, justement.
Première
Le sujet, déjà puissant (...) est développé comme une parabole dostoïevskienne sur la corruption d'une âme innocente par la société. Gerardo Naranjo ose une mise-en-scène aérienne, presque douce, pour traiter d'un sujet dur, enchaînant les plans-séquences comme son compatriote Alfonso Cuaron dans "Les Fils de l'Homme".
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
"Miss Bala" reste un polar très efficace, qui siffle comme une balle.
Télérama
Cette frénésie paraît légèrement artificielle, au début, puis plus du tout. Gerardo Naranjo signe une mise en scène presque fluide malgré les retournements de situation : la fuite en avant vire au tourbillon, à la ronde vertigineuse.
Critikat.com
Beauté publicitaire et brutalité du réel : deux facteurs a priori paradoxaux, mais aux retentissements médiatiques comparables, dualité seyant bien à une double peinture saisissante, mais non sans ambiguïtés.
Ecran Large
Le réalisateur se regarde bien trop filmer pour nous laisser une chance d'accrocher aux personnages de ce film formellement abouti, mais émotionnellement anémique.
La Croix
Plutôt que de réaliser un film sur le trafic de drogue, producteur et réalisateur ont voulu raconter l'histoire terrible d'une femme honnête plongée dans la criminalité. (...) La mise en scène épouse son regard, place le spectateur dans sa position.
Le Figaroscope
Tragédie implacable, "Miss Bala" de Gerardo Naranjo passe du film social et intimiste au pur film d'action, en laissant toujours place au suspense.
Paris Match
La force [du film] (...) tient à sa mise en scène aussi redoutable qu'une mitraillette Uzi dans les pognes d'un homme de main.
L'Obs
Il peut bien arriver [aux personnages] ce qui plaira au scénariste (s'il y en a un, ce n'est pas certain), de toute façon ce sera fort bien.
Libération
A force de ne rien vouloir épargner à son héroïne (et du même coup au public), le film finit par anesthésier toute capacité d'indignation.
Cahiers du Cinéma
(...) couleur café (us et abus de filtres ocres et jaunâtres), montage gringo, méchants cruels et en sueur, violence explosive. (...…) un film qui n'a guère plus d'ambition que de rivaliser avec n'importe quelle série B cool et musclée venue de l'autre côté de la frontière.