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    Sleeping Beauty
    Note moyenne
    2,0
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    189 critiques spectateurs

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    missizz31
    missizz31

    30 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2012
    Bon en toute honneté ... j'ai pas bien compris le film, son interet et certains personnages ( BirdyMan c'était qui ? Son role ? ...Expliquez moi ! )
    Bof Bof quoi ! La fin : pas compris non plus !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 novembre 2011
    Que se passe-t-il lorsque tu t’endors belle Lucy ? Que te font-ils ces hommes séniles et impuissants qui de ton sommeil abusent ? Et dieu sait qu’ils en abusent !
    Comme beaucoup le savent, Sleeping Beauty est un long-métrage réalisé par la romancière australienne Julia Leight (Le Chasseur en 1999 et Ailleurs en 2008), qui signe ici son premier film. Un film inspiré d’un style qu’elle a déjà développé avec ses deux romans, un style sombre, tranchant qui évoque quelquefois dans ce film l’un des films ayant fait le plus polémique dans le monde du cinéma « Salo ou les 120 jours de Sodome » de Pasolini.
    L’histoire est, avec le titre un sombre détournement du classique Walt Disney du même nom original « La Belle au bois dormant ». Ici, Lucy, jeune étudiante multiplie les petits boulots afin d’essayer de s’en sortir. Suite à une annonce, elle va vite intégrer un étrange réseau de « beautés endormies ». Le boulot est simple. Elle s’endort. Elle se réveille et c’est tout. Sauf qu’elle ne sait pas ce qui se trame dans son dos (Non mais sérieusement sinon ça serait le boulot idéal, être payer 250 dollars de l’heure pour seulement dormir, faut chercher !). Ainsi, elle ne sait pas ce que les hommes font à « leur cliente » le soir. Tout d’abord, nous le savons tous, encore une fois, on gronde, on crie au scandale et on censure le film pour esthétisme morbide dit-on, ou plutôt incitation à la prostitution (non mais vraiment) était lâché il y’a quelques temps par la commission de classification des films, choqué devant les images et la grande explicité du film. Sauf que ce film, n’est pas un conte, on le sait, et on n’espère en aura cas qu’il le soit. Alors oui, ce film est la réalité d’une vie cruelle à travers ce personnages superbement interprété par Emily Browning (Sucker Punch, Les Intrus…), mais voilà quelques images vous feront réfléchir à deux fois concernant le fait de votre vue. Ais-je bien vu ? Les images se montrent parfois en crescendo visuel au niveau de l’explicité, et des scènes de nues, assez bien travaillés se dit-il. Quand aux décors ils sont vraiment soigné sous un petit univers un peu BCBG, avec des costumes, coiffures étudiées, on le ressent. La photographie n’est pas mauvaise du tout, et à vrai dire la mise en scène est assez bonne. Seul problème. On a vraiment l’impression d’être complètement perdu durant tout ce film, plus le film passe, et plus on se demande si cette Lucy tourne vraiment rond ? Si c’est nous qui ne tourne pas en rond devant ce film après tout ? Si on a bien entendu ce qu’elle à dit et osez dire ? Un certain culot de Julia Leight, mais il fallait oser, il en faut des films ici, non pas pour les pervers contrairement à ce que certains pourront dire et ceux qui auront aimer, car le film traite d’u sujet oui, mais risque à très grande reprises d’y perdre le spectateur, manque de rythme évident pour certains spectateurs qui trouveront le début long, le milieu long, et à vrai dire… la fin long ! La bande sonore est quasiment inexistante pour y ajoutez une petite touche froide et glauque à cet étrange Sleeping Beauty qui m’a tellement déçu… après quatre longs mois d’attentes en vain. Après ce film, vous vous poserez tellement de questions qui ne trouveront jamais de réponses pour deux raisons. La première, aucune indication, aucune explications dans ce film privilégiant inutilement le complet suggestif et les nombreux non-dits (pour ne jamais les dire…) et deuxièmement car aucunes explications n’est sur internet…
    Julia Leight s’essaie malheureusement à trop parfaite son esthétique en négligeant inévitablement le corps de son scénario trop mystérieux. Les spectateurs par exemple, se perdront vite rien que Lucy qui commercialise son corps, sert de cobaye médical, serveuse et employée en charge des photocopies. Selon-moi, l’interdiction aux moins de 16 ans est assez justifier non pas pour les raisons cités mais pour quelques images comme cette scène un peu aristocrate ou les personnages âgées, en bonne compagnie, peuvent admirer deux… qui en feront pâlir plus d’un. Oui vous ne rêver pas ! Ca se trouve bien au milieu du salon. Après, cette scène est présente dans la bande annonce, donc n’allez pas ensutie y dénoncer quelque chose de choquant dans ce film, passez votre chemin et voilà. Emily Browning bien qu’elle reste irréprochable dans son rôle, ne saura pas sauver le film et rattraper les multiples inconvénients de ce film, devant lequel on est ; contrairement à ce qu’on aurait pu croire suite à l’attente de ce film ; aucunement conquis, ce qui doit malheureusement, compter un minimum dans le jugement de ce film de Julia Leight.
    Dommage, il y’avait matière à faire bien mieux car pourtant gratifier de plusieurs nominations, Sleeping Beauty est belle et bien une des plus grosses déceptions de cette année 2011 !
    Santu2b
    Santu2b

    251 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 octobre 2014
    Voilà un film qui porte bien son nom ! Et si une chose est sûr après l'avoir vu, c'est qu'il n'y a pas qu'Emily Browning qui risque de s'endormir. Présenté à Cannes en 2011, ce premier long-métrage de Julia Leigh ne restera donc pas dans les annales pour la simple et bonne raison qu'il ne repose que sur du vide, et ce, malgré la bonne interprétation de son actrice principale. Il y avait pourtant de l'idée mais la cinéaste ne fait au final que copier platement "Belle de Jour" de Bunuel en essayant bon gré mal gré d'y ajouter cet élément nouveau que l'on appelle la perversion. On se rend compte que celle-ci ne sait visiblement pas filmer le désir et la sexualité ; au lieu d'être une grande oeuvre sur le sujet tenant ses promesses érotiques, son propos consiste en une succession de tableaux désincarnés et répétitifs, portés par des plans fixes interminables. Voilà l'exemple type au cinéma de ce que l'on fait pour meubler tant bien que mal une coquille désespérément vide. De la mascarade !
    -Vinz-
    -Vinz-

    38 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mai 2011
    Dérangeant mais surtout chiant!! trop malsain, trop long, trop inutile, trop prétentieux... On nous sert des images déstabilisante sans aucun sens, ponctué de long plan dont on ne voit pas la fin! Alors oui quelques scènes "chocs" valent le coup d'oeil pour les émotions qu'elles procurent, mais ça ne suffit pas a faire un film attirant... Malgré tout, je retiens la courageuse interprétation d'Emily Browning.
    Cinemartrem18
    Cinemartrem18

    26 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mai 2011
    Vu à Cannes. Dérangeant et inutile.
    N'allez pas le voir, c'est un conseil. Vous me remercierez plus tard.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    633 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    J'avoue ne pas avoir saisi les trois quarts du film. Je m'attendais tellement à autre chose, de beaucoup plus prenant et violent. Au lieu de çà, je me suis trouvé face à un scénario sans bouts ni intérêts tentant en vain de former un dérangement aiguë et flou auprès du spectateur. "Sleeping Beauty" dévoile une alternative de prostitution étrange et désagréable autour d'un personnage paumé (c'est le cas de le dire) en quête d'une découverte de soi-même. Ce personnage, quoique bien interprété par Emily Browning mais dont la performance n'altère en rien l'exploitation de celui-ci, reste sans profondeur, sans ambitions et peurs concrètes, ce qui fait qu'on ne saisit pas ses actes, ses paroles parfois inattendues ni même ce qu'elle recherche. C'est là qu'on réalise l'utilité d'une voix-off quelque fois... Les rôles secondaires apparaissent comme des robots débitant leur texte, et on galère à tisser les liens avec le personnage principal. La réalisation s'étale sur des scène bien délimitées avec quelques longs plans, avec un beau fondu activé par la sortie des personnages en hors-champs ; je me suis même dit que cette histoire aurait bien plus d’intérêt et d'échos sur une scène d'un théâtre plutôt que dans une salle où la narration propre au film s'épuise d'elle-même. Le film est essentiellement basé sur des non-dits, du texte mis sous silence qui aurait très bien pu être utilisé si le réalisateur se voulait plus explicatif vis-à-vis du spectateur. Du coup, la parole se perd dans des banalités voire dans son contraire, des vulgarités crues formant directement le ton bizarre du film. Les corps se laisse complètement aller, envahir par une vague d'animalité très étrange ; les trois scènes de "viols" en témoignent. En fait, on se pose sans arrêt la question ; "pourquoi çà?", "à quoi çà sert?" alors que c'est l’esthétique même du film à laquelle je n'ai pas du tout adhéré. Le rythme est plat et lent, sans musique ni véritable tension ou décollage au plein coeur de l'action qui se fait cruellement attendre. Je me suis dit que c'est le même genre de film que "Donnie Darko" qu'on doit regarder deux fois ou plus pour reconstituer le puzzle entre tous ces éléments farfelus, mais en fait, là, on a même pas envie de se donner la peine de le revoir. Peut-être est-ce parce que c'est australien? Et cela même si Emily Browning donne tout ce qu'elle a...
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Des cadres somptueux et une superbe mise en lumière portent ce compte si froid. On est captivés tout le long par la prestation d'Emily Browning (qui s'est donné "corps et âme" pour ce film) dont on ne sait pas qui elle est et pourquoi elle ne dit non à personne. Un film très lent qui en laissera beaucoup sur la paille mais qui vaut le coup d'oeil pour son histoire et l'ambiance dérangeante qui à elle seule tient le spectateur en haleine tout le long.
    lhdlynch
    lhdlynch

    57 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 janvier 2013
    Film totalement navrant par son scénario d'une inutilité sans borne qui finalement ne fait que dégoûter par sa perversion gratuite et triste au sens propre. Révulsant. "À vous de juger" brancarde l'affiche ? C'est fait.
    Outburst
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    123 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2011
    Un film qui fait beaucoup parler de lui, notamment à cause de sa censure complètement injustifiée quand on connait la raison pour laquelle elle a été donnée, et aussi par les avis partagés qui en ressortent. Ce que je dirai personnellement, c'est que c'est un film qui s'adresse à des cinéphiles avertis. En effet, le rythme du film étant très lent, beaucoup auront vite fait de décrocher et de s'ennuyer, et le fait que la quasi-totalité des plans soient en plan fixe, filmés en une prise, sans musique n'aide pas forcément. Mais de là découle une histoire à la fois belle et troublante, mystérieuse et dérangeante et en soi, malsaine et choquante. Le film se raconte à travers de merveilleuses métaphores, que ce soit sur la vie elle-même, ou sur le personnage et sa descente aux enfers. Personnage porté par l'envoutante et talentueuse Emily Browning, qui tient certainement ici le rôle de sa vie quand on se rend compte de la difficulté de celui-ci et le professionnalisme qu'il demande. De mon avis, elle aurait largement mérité le prix d'interprétation féminine à Cannes devant Kirsten Dunst, même si celle-ci étonne dans Melancholia. Il est également important de noter que c'est le tout premier film de la réalisatrice Julia Leigh, et c'est avec grande surprise qu'on découvre un film maitrisé, qui sait où il va et qui, contrairement aux apparences, ne tombe jamais dans la vulgarité. Du cinéma comme il fait bon d'en voir parfois et qui peut, avec parfaite humilité, se faire appeler Chef-d’œuvre.
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