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White Fingers
15 abonnés
1 237 critiques
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1,0
Publiée le 12 mai 2023
Présenté comme un film, « Retour à Legend city » ressemble beaucoup plus sur le fond et sur la forme à un téléfilm ou plus certainement un format adapté à un contenu « plate-forme », mais plutôt fourchette « bas de gamme » ou « premier prix ». Beaucoup de westerns estampillés années « 2000 » sont comme ce film : incohérences dans l’histoire, manque d’imagination, faiblesse des acteurs et des dialogues, image fade... J’ai pu le visionner sur une plate-forme non pas doublé en français, mais avec une voix française qui se superpose à la voix anglaise ce qui provoque un drôle d’écho assez détestable. Je passe outre sur les événements complétements inintéressants qui ponctuent cette histoire. La fin du film, à la « Notre Dame de Paris » de Jean Delannoy, est pitoyable, avec, en prime, une référence aux « fantômes bienveillants » ; une véritable mièvrerie. Ce film est un catalogue de facilités et d’inepties. A fuir.
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"Retour à Legend City", un western qui à du mal à accrocher le spectateur, un film poussif, ponctué de longueur, il n'est pas visuellement irrregardable, mais le scénario n'accroche pas, les personnages n'accrochent pas. Un mauvais téléfilm dans lequel il est difficile de réussir à se projeter. Vu il y a moins de 48h, je ne serais plus capable d'en raconter le contenu, à peine vu, déjà oublié. spoiler: Je ne me souviens que de la scène où ils repeignent l'église ... avec des pinceaux totalement contemporains achetés au magasin de bricolage du coin, le genre de petit détail qui contribuent à faire "sortir" du film.
Il y a des films où dès le début on sait que ce ne sera pas bon, comme ici avec ce prégénérique en guimauve assorti de dialogues bibliques. Les références à la bible deviendront répétitives et gavantes pendant tout le film, assénées de la plupart du temps de façon absurde. Sur le thème classique de la vengeance qui devient compliquée, le réalisateur se plante dans les grande largeurs, et n'évite jamais le ridicule dans les plans (avec ses ralentis grotesques) dans les dialogues (i faut toujours qu'il en ait qui raconte leur vie aux personnes qu'ils vont tuer) dans les scènes (celle du tomawak, m'a fait hurler de rire) ou dans le comportement des personnages : l'Indienne est débile, les rôles secondaires ne sont pas écrits, mais le pire est le méchant car à trop de forcer la dose, on n'y croit plus. En plus c'est un film à message inspiré de je ne sais quelle secte biblique, un message bien mal illustré auquel on ne saurait adhérer. On ne s'attache à personne et on sauvera éventuellement la distribution féminine avec dans des genres très différents : Marnie Alton et Tonantzin Carmelo.
Un film à la gloire des criminels ce n'est guère commun, mais c'est ici le cas. On se farcit les vilénies d'un malfrat pendant les trois quarts du film, avant un final qui; au vrai, donne raison au dit malfrat. Cela n'est évidemment pas clairement exprimé dans cette histoire, mais y transpire fortement. Les principes religieux qui vont à l'encontre de la justice ne peuvent devenir universels. Les victimes n'ont plus droit à la parole et les assassins la gardent. Bien sûr, ce n'est que du cinéma mais quand on distille des inepties, le spectateur a aussi le droit de dire ce qu'il en pense. Pour le reste; il s'agit d'une histoire à l'eau de rose qui aurait pu être financée par le Vatican, bien banale, qui se traîne en longueur et qui ne présente rien d'original sinon ce qui est dénoncé plus haut. La réalisation n'est pas mauvaise, les acteurs sont un poil grandiloquents, excessifs dans leur jeu, en débitant des dialogues ampoulés et pompeux. Inutile de dire que ce spectacle n'obtient pas notre adhésion.
Vraiment pas terrible :/. 1h45 de gâché :/. Même angus macfadyen n'arrive pas à remonter le niveau avec un jeu d'acteur que je ne lui connaissais pas. Pourtant, l'histoire au début pouvais paraître séduisante mais plus ça vient, plus on s'ennui... dommage.
Ennuyeux a souhait, le héros est un homme a qui il arrive tous les malheurs et le vilain gras comme un moine est peu crédible, mais il ne s'agit pas d'un navet non plus. J'aime bien la musique du film.
sur 1h50 de film on a droit a 5 minute de generique, 35 minute de moment guimauve, le reste est lent, sent le cliché le deja vu et le senar tiens sur une feuille de PQ. Bref pas si top que ca.