Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
McConaughey est tout à la fois. Un raté, un illuminé, un gogo, un champion, un cul-terreux et un amateur, les mains tendues vers son inaccessible étoile. Il est fascinant.
LCI
par Marilyne Letertre
"Gold" est suffisamment bien huilé pour captiver. Mais la véritable pépite du long-métrage reste sans conteste son duo d’acteurs. Edgar Ramirez (...) s’avère (...) un partenaire à la mesure de la démesure de Matthew McConaughey. Lequel (...) livre une impressionnante performance physique et dramatique (...).
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Nathalie Simon
Pas d'effets de caméra ni de plans audacieux. Stephen Gaghan respecte son scénario, mais oublie de le couper. Il doit beaucoup à Matthew McConaughey (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Sylvestre Picard
Rien ne manque dans ce récit des aventures d'un prospecteur d'or des années 1980 : c'est efficace, mais un peu trop classique.
VSD
par Bernard Achour
Entre récit d'aventures exotiques et réflexion vaguement ironique sur les ravages humains et sociaux du capitalisme, le film connaît quelques beaux pics d'intensité. L'interprétation histrionique de Matthew McConaughey produit de jolies étincelles.
L'Obs
par François Forestier
Stephen Gaghan, scénariste de "Traffic", signe ici son premier film et donne à Matthew McConaughey l’occasion de s’enlaidir un max. Il faut voir le film jusqu’à la dernière image, qui change tout. Pas du grand art, mais de bonnes vibrations.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un explorateur des temps modernes tente un dernier coup de poker : trouver de l’or au fin fond de la forêt vierge indonésienne. Par le réalisateur de Syriana qui en dit long sur la crise financière et la rapacité de l’espèce humaine.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Encore un rôle de composition pour Matthew McConaughey, cette fois chauve et ventripotent, embarqué dans une histoire assez ahurissante malgré des longueurs et un dénouement à tiroirs.
Les Fiches du Cinéma
par Jacques-Antoine Maisonobe
Académique sur le plan technique, “Gold” prospecte dans toutes les directions sans trouver le style qui lui convient.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Le tout n'est pas désagréable a suivre malgré un sentiment de confusion permanente. On a connu le scénariste de "Traffic" plus inspiré.
Voici
par La Rédaction
Success story et chute made in America, musique omniprésente et rôle à cabotinage. Avec seconds couteaux plus affûtés.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela ressemble à une resucée en plus plat du Loup de Wall Street, avec un zeste d’American Bluff, de David O. Russell, pour le côté kitsch. À l’arrivée, l’exercice est plaisant, mais désespérément linéaire et un peu bateau.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La fièvre de l’or remise au goût du jour, à travers deux jungles - Wall Street et la forêt de l’aventure -, mais avec toujours le même rêve américain, lequel, à l’image du film, fait ici un peu fouillis.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce flibustier des matières premières, qui, dans le monde réel, a été au centre d’un énorme scandale, aurait peut-être pu être au centre d’un film formidable. Pour cela, il aurait fallu, entre autres, que le Kenny Wells de la fiction ne soit pas capturé par Matthew McConnaughey qui en fait le prétexte d’une série d’acrobaties histrioniques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Frédéric Foubert
Sans la folie cartoon et cocaïnée de Martin Scorsese, un film de Stephan Gaghan reste, euh… un film de Stephan Gaghan. Didactique, sage et empesé. Et dont le sérieux papal est ici en décalage total avec son interprète en roue libre.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bien qu'en apparence prometteur, "Gold" est desservi par une mise en scène sans âme. Seule la présence de Matthew McConaughey lui confère un certain intérêt.
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Thriller financier au léger parfum d’aventure, cette sempiternelle histoire de réussite et de déclin peut justifier le déplacement pour la présence de Matthew McConaughey en tête d’affiche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Syndrome de la bidoche : écrasé par son acteur principal, moulinant jusqu’à l’écœurement, le film s’effondre. (...) De ce Loup de Wall Street cacochyme, prévisible jusqu’à l’os, restera la sensation frustrante d’un énorme ratage : celle d’un film qui à l’or préféra l’éclat fake de la pyrite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Etant donné son amour pour la figure du self-made man et le peu d’égards avec lequel il traite les Indonésiens, "Gold" peut aussi être vu comme le parfait film de l’ère Trump avec sa nostalgie d’une Amérique ultra impérialiste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Malheureusement, le trait est ici bien grossier. Le scénario s'épuise à multiplier les rebondissements, sans que cela paraisse motivé ni par l'histoire ni par le sujet. (...) Bref, l'ensemble est mou, filandreux et, au final, assez lâche.
Télérama
par Pierre Murat
L'ascension, la chute et la vengeance du héros hâbleur sont filmées avec une désolante sagesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
McConaughey est tout à la fois. Un raté, un illuminé, un gogo, un champion, un cul-terreux et un amateur, les mains tendues vers son inaccessible étoile. Il est fascinant.
LCI
"Gold" est suffisamment bien huilé pour captiver. Mais la véritable pépite du long-métrage reste sans conteste son duo d’acteurs. Edgar Ramirez (...) s’avère (...) un partenaire à la mesure de la démesure de Matthew McConaughey. Lequel (...) livre une impressionnante performance physique et dramatique (...).
Le Figaro
Pas d'effets de caméra ni de plans audacieux. Stephen Gaghan respecte son scénario, mais oublie de le couper. Il doit beaucoup à Matthew McConaughey (...).
Ouest France
Rien ne manque dans ce récit des aventures d'un prospecteur d'or des années 1980 : c'est efficace, mais un peu trop classique.
VSD
Entre récit d'aventures exotiques et réflexion vaguement ironique sur les ravages humains et sociaux du capitalisme, le film connaît quelques beaux pics d'intensité. L'interprétation histrionique de Matthew McConaughey produit de jolies étincelles.
L'Obs
Stephen Gaghan, scénariste de "Traffic", signe ici son premier film et donne à Matthew McConaughey l’occasion de s’enlaidir un max. Il faut voir le film jusqu’à la dernière image, qui change tout. Pas du grand art, mais de bonnes vibrations.
La Voix du Nord
Un explorateur des temps modernes tente un dernier coup de poker : trouver de l’or au fin fond de la forêt vierge indonésienne. Par le réalisateur de Syriana qui en dit long sur la crise financière et la rapacité de l’espèce humaine.
Le Journal du Dimanche
Encore un rôle de composition pour Matthew McConaughey, cette fois chauve et ventripotent, embarqué dans une histoire assez ahurissante malgré des longueurs et un dénouement à tiroirs.
Les Fiches du Cinéma
Académique sur le plan technique, “Gold” prospecte dans toutes les directions sans trouver le style qui lui convient.
Studio Ciné Live
Le tout n'est pas désagréable a suivre malgré un sentiment de confusion permanente. On a connu le scénariste de "Traffic" plus inspiré.
Voici
Success story et chute made in America, musique omniprésente et rôle à cabotinage. Avec seconds couteaux plus affûtés.
L'Humanité
Cela ressemble à une resucée en plus plat du Loup de Wall Street, avec un zeste d’American Bluff, de David O. Russell, pour le côté kitsch. À l’arrivée, l’exercice est plaisant, mais désespérément linéaire et un peu bateau.
Le Dauphiné Libéré
La fièvre de l’or remise au goût du jour, à travers deux jungles - Wall Street et la forêt de l’aventure -, mais avec toujours le même rêve américain, lequel, à l’image du film, fait ici un peu fouillis.
Le Monde
Ce flibustier des matières premières, qui, dans le monde réel, a été au centre d’un énorme scandale, aurait peut-être pu être au centre d’un film formidable. Pour cela, il aurait fallu, entre autres, que le Kenny Wells de la fiction ne soit pas capturé par Matthew McConnaughey qui en fait le prétexte d’une série d’acrobaties histrioniques.
Première
Sans la folie cartoon et cocaïnée de Martin Scorsese, un film de Stephan Gaghan reste, euh… un film de Stephan Gaghan. Didactique, sage et empesé. Et dont le sérieux papal est ici en décalage total avec son interprète en roue libre.
Rolling Stone
Bien qu'en apparence prometteur, "Gold" est desservi par une mise en scène sans âme. Seule la présence de Matthew McConaughey lui confère un certain intérêt.
aVoir-aLire.com
Thriller financier au léger parfum d’aventure, cette sempiternelle histoire de réussite et de déclin peut justifier le déplacement pour la présence de Matthew McConaughey en tête d’affiche.
Culturopoing.com
Syndrome de la bidoche : écrasé par son acteur principal, moulinant jusqu’à l’écœurement, le film s’effondre. (...) De ce Loup de Wall Street cacochyme, prévisible jusqu’à l’os, restera la sensation frustrante d’un énorme ratage : celle d’un film qui à l’or préféra l’éclat fake de la pyrite.
Les Inrockuptibles
Etant donné son amour pour la figure du self-made man et le peu d’égards avec lequel il traite les Indonésiens, "Gold" peut aussi être vu comme le parfait film de l’ère Trump avec sa nostalgie d’une Amérique ultra impérialiste.
Positif
Malheureusement, le trait est ici bien grossier. Le scénario s'épuise à multiplier les rebondissements, sans que cela paraisse motivé ni par l'histoire ni par le sujet. (...) Bref, l'ensemble est mou, filandreux et, au final, assez lâche.
Télérama
L'ascension, la chute et la vengeance du héros hâbleur sont filmées avec une désolante sagesse.