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Un visiteur
2,0
Publiée le 28 juin 2013
Woody Allen devrait peut être baissé le rythme car au final un film sur deux et bon et après l'excellent Minuit à paris, Woody Allen revient avec ce pénible To Rome with Love. Le souci du film est le même que vous allez rencontré un sombre inconnu. Woody Allen ne sait pas faire un film avec des segments car il perd le spectateur dans l'espace temps et en plus certains perdent en qualité et sont plus brouillon que d'autre. Le film est péniblement long, bourré de cliché. Certains acteurs sont sous exploités comme Alec Balwin et Jesse Elsenberg. Par contre le segment du jeune couple avec Penelope Cruz est sympa tous comme le segment de Roberto Benigni et la réalisation est génial.
Une comédie chorale de Woody Allen teinté d'humour et de romantisme dans cette belle ville de Rome superbement mis en image !! Le réalisateur a de la suite dans ses idées de fabriquer ses longs métrages en peu de temps, je sais pas comment il trouve de l'imagination mais parfois ça marche comme "To Rome with love". Ce film raconte quelques petites histoires souvent cocasses de plusieurs personnes Américaines et Italiennes avec dans les détails des parents venant voir leur fille et connaitre leur beau fils dont le père a une voix d'opérette en or mais seulement sous la douche (objet qui le suivra sur scène dans sa progression), un jeune homme qui voit le fantome d'une de ses idoles le suivre (mème dans son idylle avec la meilleure amie de sa fiancée), un couple Italien infidèle (lui avec une prostituée tombé au hasard, elle avec son acteur fétiche), un présentateur télé tombé de plein fouet dans la célébrité, toutes les histoires qui m'ont fait beaucoup rire. C'est très bien écrit, la musique en partie en accordéon est magnifique, Rome est une belle ville qui a inspiré Woody Allen. Les comédiens comprenant ceux que je connais, Woody Allen, Judy Davis, Alec Baldwin, Jesse Eisenberg, Ellen Page, Pénélope Cruz, Roberto Begnini plus le reste d'acteurs sont tous excellents. On passe un bon moment.
Seuls le casting, la musique et la beauté de la ville joue en faveur du dernier Woody Allen . Il s'agit en somme d'un faux film choral puisque les diverses tranches de vies qui nous sont racontées n'ont aucun point commun autre que celui de se dérouler dans Rome. Par ailleurs les dialogues sont très "écrits", l'ensemble manque de naturel et l'intention sous-jacente à la plupart des répliques transparait plus ou moins manifestement. Du coup,...pour l'effet comique, c'est râpé! Quelques idées saugrenues, des instants de surréalisme vague peuvent éveiller un sentiment de curiosité convenue, mais, finalement et malheureusement, il n'y a guère de matière derrière les incongruités du scénario. Le réalisateur m'avait habitué à bien mieux.
« To Rome with love » est un Woody Allen léger, très léger quasi inconsistant. On suit pendant une heure quarante quatre histoires en parallèles qui ont toutes lieux, comme le titre l’indique, dans la Ville Éternelle. On y retrouve comme dans les films précédents un casting international, mi-américain, mi-italien et on y voit le grand retour à l’écran de Woody Allen, absent depuis « Scoop ». Le problème c’est que ce récit éclaté manque singulièrement d’unicité, autre que le lieu, et que toutes les histoires ne sont pas vraiment réussies. Si celle avec Roberto Benigni est plutôt maligne dans sa critique du star-système et de ces célébrités, célèbrent parce qu’elles sont connues, le reste est vraiment très inoffensif voire carrément creux comme l’histoire mettant en scène Penélope Cruz. On ne s’ennuie pas, mais on cherche vraiment pendant tout le film un semblant de passion dans cette carte postale romancée d’une Italie sinon de carton-pâte, du moins clichée. Les acteurs font d’ailleurs le job avec l’air de se rendre compte que tout cela est bien vaporeux. Un Woody Allen des mauvais jours qui est bien loin de « Vicky Christina Barcelona » et même du cliché, mais plus réussi « Minuit à Paris ». Une déception assez nette pour un réalisateur dont on espérait qu’il donnerait un petit coup de rein après le gentillet film publicitaire sur Paris. Au lieu de ça on a film anodin dans la capitale italienne avec un scénario et des acteurs en mode mineur. Pas ennuyeux, mais définitivement sans grand intérêt. À réserver aux fans inconditionnels de Woody Allen.
C'est lent... Pour ne pas dire ennuyeux en fait... Plusieurs saynettes: la meilleure est celle d'Alex Baldwin. Sauf qu'on devine en deux secondes le noeud de l'intrigue... Donc ça tourne en rond et c'est tout juste si on sourit à peine au bout d'une heure. Une vraie déception.
On est dans du Woody Allen tout craché ! Un film extraterrestre, sans queue ni tête, où plusieurs histoires s'entremêlent sans qu'on comprenne vraiment pourquoi. Mais l'intérêt est ailleurs ; l'intérêt est dans le burlesque, dans l'ironie permanente, dans l'originalité. Et Benigni est le porte-voix de ce film complément délirant. Pour autant, "To Rome with love" manque de poésie, cette poésie envoûtante qui nous transportait dans un autre univers dans "Minuit à Paris". L'exposition des contradictions des désirs amoureux ou encore la dénonciation du grotesque des télé réalités sont des thèmes "Woody Alleniens" par excellence mais il leur manque la touche cinématographique leur permettant de nous faire rêver comme le réalisateur a déjà su le faire à merveille auparavant. C'est donc un film dans le pur style de Woody Allen, mais on a affaire à un Woody Allen assez décevant.
Le film est trop décousu car les différentes histoires sont trop mélangées sans aucun lien. Certaines scènes sont cocasses mais le plus souvent, dans ce film, c'est dénué de sens. Avec un tel casting, on aurait pu avoir mieux.
Catastrophique, j'ai pas pu aller au bout. P. Cruz se ridiculise, j'ai eu de la peine pour elle. Tout est raté dans ce film, l'ambiance, les 3 histoires parallèles, les acteurs n'y sont pas. Et pourtant je suis plutot fan des Woody Allen récents.
Cette succession de sketchs, sans rapports les uns avec les autres, est un Woody Allen mineur. Le plus réussi est celui avec Jesse Eisenberg et Ellen Page. Celui avec Benigni et surtout celui avec Pénelope Cruz sont décevants.
À Rome, dirigez vous vers la Piazza Navona puis tournez à gauche, et vous tomberez sur un couple coincé tout juste marié, désireux d'avoir de nouvelles conquêtes. Prenez sinon la route du Colisée et à l'angle de la vieille pizzeria, vous croiserez le chemin d'un jeune homme luttant pour ne pas tomber dans les bras de la femme parfaite. Optez enfin pour le café sur la via Lombardia, où deux amoureux font la rencontre de leurs beaux-parents. Woody Allen continue son périple européen après Barcelone et Paris en faisant escale sur l'une des villes les plus romantiques du monde : Rome. Et quelle surprise, son film parle d'amour ! On ne s'étonne plus, les clichés et les images type « cartes postales» sont toujours de la partie. Le réalisateur se plaît à filmer des rues aux couleurs chaudes et où les murs de ces appartements semblent s'être imprégnés du passé.
S'il n'y a pas de surprise au niveau du thème abordé (la complexité des sentiments vue à travers différents personnages), on se ravit de voir à nouveau Allen devant la caméra. Jouant un metteur en scène d'opéras aussi borné qu'incompris, le parallèle avec son métier de cinéaste saute aux yeux de façon plaisante. De plus, Roberto Benigni (une apparition de l'acteur à l'écran est toujours un régal) est sûrement le personnage le plus intéressant de cette chorale. Chose rare, il incarne la classe moyenne, et la (fausse) célébrité subite à laquelle il est confronté est intelligemment traitée.
Mais finalement pourquoi aller voir le dernier Allen ? Il en sort un par an non ? Tout simplement pour rêver auprès d'un réalisateur qui conserve une vision d'un monde simple où la beauté peut être partout. Non To Rome with Love n'a rien de novateur et ne fera pas date dans la carrière de l'américain. Mais il a le mérite de filer la pêche et de donner le sourire. Ce n'est pas si mal.
Ce voyage à Rome sublima la ville comme une carte postale mais pour le reste Woody Allen semble en manque d'inspiration, ce mélange d'histoires et de personnages différents offre deux trois sourires mais ne transcende pas, la recette magique de Woody Allen aura-t-elle atteint ses propres limites ? Espérons que non.
Une comédie qui croise 3 histoires énergiques et riches en quiproquos. On oscille du début à la fin entre rire et gène dans ce film barjot mais agréable, servi par un casting de choix !
Ça se regarde, mais ce Woody Allen n'est guère enthousiasmant. Pas de scénario, pas d'histoire. Un documentaire touristique sur Rome, c'est le parfait résumé de ce long métrage qui ne restera pas dans les annales. J'espère que Woody en a terminé de son périple européen, et qu'il va se renouveler un peu, car là ça devient lassant.