Franchement drôle pour un film sous estimé. Que demande t-on à une comédie, si ce n'est d'être drôle ? Oui le décors est une Rome de carte postale, oui les histoires croisées masquent un scénario paresseux, oui Roberto Benigni cabotine aux limites du supportable, mais qu'est ce que l'on rit avec les scènes d'opéra sous la douche !
Une comédie qui ne fera pas sourire ! Woody Allen, avec son "To Rome with love" agresse le cerveau dans cet amateurisme qu'on ne lui connait pas. Le réalisateur nous propose des histoires d'amour, en essayant de s'attaquer à leurs complexités avec une simplicité et un humour ratés, servies sous une réalisation soft aux répliques inutiles. On s'ennuie fermement, sans oublier ces mêmes musiques italiennes, répétitives et agaçantes.
Woody Allen continue à nous faire voir du pays. Cette fois-ci, il va planter ses caméras du côté de l'Italie et de Rome plus précisément. Une Rome de carte postale magnifiée par la photographie du talentueux Darius Khondji. To Rome with Love est composé de 4 petites histoires. Et comme souvent, on en préférera une plutôt qu'une autre. Je regrette qu'il n'y ait aucune connexion entre elles d'une part. Et d'autre part que certains délires soient un peu trop poussés. Exemple, Benigni qui au final fait du Benigni et le ténor qui ne peut chanter que sous la douche. Pourquoi avoir fait trainer ça durant 5 minutes dans la scène finale ? Après, comme je l'ai dit, Rome est bien filmée et les comédiens sont attachants. Quelques réflexions sur l'absurdité de la célébrité et le métier de comédien font toujours mouches. Et puis Penélope Cruz en prostituée, voilà quoi.
J'ai eu beaucoup de plaisir à regarder ce xième opus de Woody : fantaisie, intelligence, surprises, beautés ... ces choses qui manquent cruellement dans notre société/cinéma actuel ! merci Mr Allen !
Les paysages et les décors sont somptueux, le reste sans intérêt pour ma part, n'étant pas fan de Woody Allen, je n'ai apprécié ni sa réalisation, ni son scénario. Différentes histoires qui n'ont ni queue, ni tête, sans aucun réalisme.
Une séries d'histoires romantiques assez plates et déjà vues. On admire les paysages de Rome tout en appréciant le jeu des acteurs présent. À voir une fois mais pas deux.
Un excellent début pour cette comédie chorale romantique ou Rome est filmée à merveille. Toutefois le film s'essouffle perd en crédibilité sur la seconde partie. Ça reste un film plaisant qui se laisse siroter gentillement.
Une déclaration à la ville de ROME, filmée d'une façon magistrale, habillée de couleurs lumineuses à travers des histoires d'amours, des histoires ratées, que nous font vivre les différents personnages :
Roberto begnini quel plaisir de le retrouver dans ce rôle d'individu lambda, qui va rencontrer la célébritée inexpliquée avec ses avantages et ses inconvénients
Woody Allen dans le rôle d'un metteur en scène d'opéra à la retraite un peu loufoque
Penélope cruz en call girl Alec BALDWIN en personnage témoin et narrateur
et les autres j'ai bien aimé ce film avec des moments drôles, cocasses, absurdes, qui nous renvoit toujours à nous faire réflechir.
Encore un film décevant dans la carrière de Woody Allen, une comédie sans queue ni tête, ridicule. Allen confirme une fois de plus ses piètres talents d'acteur, avec toujours le même pantalon et la même chemise depuis 10 ans. Seule la beauté de Penelope Cruz apporte un rayon de soleil à ce navet...........
"To Rome with love" est une sorte de chronique avec des traits humoristiques propres à ce que Woody Allen fait d'habitude. Le ton est donc très léger et enlevé, et certains passages font mouche, en particulier ceux avec le chanteur d'opéra sous la baignoire. Mais le tout reste quand même parfois trop léger, pas assez piquant. On en vient à se demander parfois à quoi sert ce film. De belles images de Rome parviennent à maintenir un certain intérêt au tout.
On le sentait en lisant le pitch et les craintes étaient fondées : Woody Allen réalise un film choral sans histoire qui n'a finalement pas d'intérêt si ce n'est d'avoir alpagué le spectateur avec son casting.