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L'idée était bonne: différentes histoires d'amour et/ou d'aventures au coeur de Rome. Au final, on a un film sans cohérence et qui passe du coq à l'âne. Seul le trio Page - Baldwin - Eisenberg sort du lot.
Les dialogues sont plats. Allen ne semblait pas inspirer ce coup là !
Les dialogues sont plats. Allen ne semblait pas inspirer ce coup là !
Je n'ai même pas su rester dans la salle jusqu'au bout c'est dire, au secours, fans de Woody Allen fuyez et retapez-vous sa filmo de préférence !%
Pas d'originalité pour ce film entrecoupé de gros gags qui tachent, de personnages aux traits forcés, de clichés poussiéreux, woddy Allen s'adore et se copie maladroitement.
Une comédie pleine de légèreté et de subtilité, fidèle au style que l'on connaît de Woody Allen. Le scénario est composé de 4 intrigues qui ne se croisent jamais, ce qui explique peut être son aspect décousu, mais elles en ressortent ainsi plus développées, plus singulières les unes des autres et donc plus intéressantes. Sans être un de ses films les plus prestigieux tels que Match Point ou Scoop, To Rome with Love s'inscrit cependant dans la lignée des comédies de moeurs, et se rapproche ainsi davantage de Vicky Cristina Barcelona. Des intrigues plaisantes en harmonie avec des "vacances romaines" savoureuses, bref, c'est un bon Woody Allen qui mérite d'être vu!
Je suis allée voir ce film avec quelques appréhensions, en raison des critiques mitigées. Ce fut un très agréable moment. Certes, W. Allen juxtapose des "courts métrages", dont aucun ne semble pouvoir tenir un film, et on pourrait éventuellement lui reprocher une certaine facilité. Ceci dit, l'inventivité du cinéaste et une légèreté certaine rendent ce film assez jubilatoire. Bref, Woody a encore rempli sa mission.
Woody Allen poursuit son tour des capitales européennes par Rome. C'est bien sûr l'occasion de mettre en avant son patrimoine architectural, ce qui n'est pas désagréable. Reste un film sympathique mais décousu, et ce malgré la bonne volonté d'une galerie d'acteurs célèbres.
C'est par une succession de clichés que démarre le film. On pourrait s'en amuser, se disant que l'auteur joue avec les images d'épinal pour nous livrer une réflexion sur l'image, ou la représentation, mais hélas, le film ne dépasse jamais ce stade ludique, parfois amusant, souvent irritant d'une représentation archétypale de l'Italie contemporaine.
Des paysannes habillées à la mode des années 20, des italiens libidinesques et coureurs de jupons poussiéreux, fieffés menteurs, escrocs, et amateurs de spaghettis et de ristretto.
jusqu'à la fin du film, qui s'achève comme elle a commencé, par un énorme cliché :
un générique de fin qui nous laisse pour le coup, sur notre faim. Enfin....
C'est trop.
De mauvaises rumeurs courent selon lesquelles Woody allen, atteint d'Alzheimer, serait devenu une franchise, et que ses films sont réalisés par de jeunes cinéastes avides de célébrité. Cela expliquerait peut etre le coté decousu du film.
Des paysannes habillées à la mode des années 20, des italiens libidinesques et coureurs de jupons poussiéreux, fieffés menteurs, escrocs, et amateurs de spaghettis et de ristretto.
jusqu'à la fin du film, qui s'achève comme elle a commencé, par un énorme cliché :
un générique de fin qui nous laisse pour le coup, sur notre faim. Enfin....
C'est trop.
De mauvaises rumeurs courent selon lesquelles Woody allen, atteint d'Alzheimer, serait devenu une franchise, et que ses films sont réalisés par de jeunes cinéastes avides de célébrité. Cela expliquerait peut etre le coté decousu du film.
Excellent film, on a le sourire du début à la fin et ca passe vite en + ; des dialogues encore une fois SAVOUREUX (en particulier ceux de woody et de son épouse). . .Juste génial quoi & on en redemande. Dire que lui-même ; 'ce père Woody' a dit qu'il a pas vraiment apprécié ce 'To rome with love''. Nous on adore. Certains disaient que Roberto Benigni en faisait de trop pour ma part je ne trouve pas du tout et franchement il est même excellent quand il arrive sur le plateau TV entre autre, il joue très bien. Tous les acteurs d'ailleurs. Vivement le prochain...
Et quelle beauté cette actrice qui cherche un coiffeur et perd son portable. Bises à Ornella Mutti lol que j'adore.
Et quelle beauté cette actrice qui cherche un coiffeur et perd son portable. Bises à Ornella Mutti lol que j'adore.
En un mot: génial !! Attention, il faut bien suivre et ne pas faire attention aux fausses incohérences.
Je ne comprends pas pourquoi ce film peut-être critiqué. En tant qu'admiratrice, Woody Allen signe ici un long-métrage qui n'est certes, pas aussi déroutant que certains de ses précédents, mais cependant travaillé et divertissant. Des réflexions sur la vie sous-entendues derrière différentes situations originales telles qu'il aime bien les mener. Un moment agréable en salle, avec quelques éclats de rires en bonus. Un projet peut-être peu ambitieux, mais qui respecte le style du réalisateur et qui se défend très bien.
Une vrai bouffé d'air frais ! Drôle du début à la fin, on s'attache aux différent personnages avec une simplicité inouïe. A voir pour tout les amateurs de Woody Allen.
Ce films avait bien commencer. Il était prometteur. Une bonne introduction, des beaux paysages de Rome qui y est sublimé par cette réalisation lumineuse. Mais mon dieu, que de clichés et d'absurdes il peut y avoir ! Qu'est-ce-que c'est que ces femmes toujours habillées à la payanne, avec une blouse et des cheveux remontés en chignon ?? Ma grand-mère italienne de 92 ans s'habille comme cela ! La gent masculine en prend également pour son grade (même si sa peut être véridique) : coucheurs, avec tout le monde et n'importe qui, trompeurs, menteurs, de vrais
spoiler:
porcs
, et absolument pas digne de confiance. Pour le reste c'est parfois incompréhensible : Quand Begnigni sort et est d'un coup pourchassé par les paparazzis, Eisenberg qui parle à Baldwin qui surgit de nul part, comme si c'etait sa concience ou son conseiller qui n'est vu et entendu que par lui, qui en fait vu aussi par Monica et donc qui a l'air d'être leur concience à eux deux, Monica qui est vu comme fatale et très belle ce qui es exagéré. D'ailleurs même si ce film fait passée un bon moment et fait bien rire (quoique que c'est peu être pas toujours voulu), Allen nous présente en quelque sorte une bonne satire (de la célébrité qui peut tombé sur le premier béta du coin qui n'a rien fait d'exceptionnel, de la facilité à couchers avec n'importe qui pour les uns, l'argent pour les autres etc.) avec donc beaucoup d'exagérations, parfois même trop.
, et absolument pas digne de confiance. Pour le reste c'est parfois incompréhensible : Quand Begnigni sort et est d'un coup pourchassé par les paparazzis, Eisenberg qui parle à Baldwin qui surgit de nul part, comme si c'etait sa concience ou son conseiller qui n'est vu et entendu que par lui, qui en fait vu aussi par Monica et donc qui a l'air d'être leur concience à eux deux, Monica qui est vu comme fatale et très belle ce qui es exagéré. D'ailleurs même si ce film fait passée un bon moment et fait bien rire (quoique que c'est peu être pas toujours voulu), Allen nous présente en quelque sorte une bonne satire (de la célébrité qui peut tombé sur le premier béta du coin qui n'a rien fait d'exceptionnel, de la facilité à couchers avec n'importe qui pour les uns, l'argent pour les autres etc.) avec donc beaucoup d'exagérations, parfois même trop.
Une charmante comédie estivale dans l'ensmble qui donne envie de visiter Rome mais assez brouillonne (surtout au début, ensuite les choses se clarifient une fois les enjeux des différentes histoires bien cernés) et qui manque de liants entre les 4 segments inégaux : le plus réussi étant pour moi le triangle amoureux Greta Gerwig/Jesse Eissenberg/Ellen Page, le moins celui où le personnage de Roberto Benigni devient une star du jour au lendemain.
La fin du triptyque pour Woody : après Barcelone et Paris, revoilà les Américains en goguette dans une ville carte postale. 1 h30 agréable dans l'univers allenien, nourri par deux (!) excellentes idées, par l'utilisation consciente des clichés romains et italiens, et avec une brochette d'acteurs surprenante. Une comédie enlevée, mais sans réel renouveau de la part du réalisateur.
Woody Allen for ever! Encore une belle réussite de la part de ce réalisateur, qui nous présente quatre petites historiettes toutes tournées dans la ville aux sept collines. Il s'amuse avec les clichés italiens et nous sort un plat délectable qui se regarde avec la banane. En plus, on le retrouve devant la caméra, et ça n'était pas arrivé depuis "Scoop" il y a six ans. L'occasion de constater à quel point il est un bon acteur, et très drôle. Un pur concentré de joie de vivre que ce film, avec en prime les dialogues ironiques et tordants qui ont fait sa réputation, et un humour absurde qu'on ne retrouve nulle part ailleurs.
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