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    To Rome with Love
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    Jean Francois L
    Jean Francois L

    14 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 juillet 2012
    La patte de woody allen est là, le coté délirant, peut etre trop... jusqu'à s'ennuyer au bout d'un moment! Heureusement qu'il y a ces belles images de Rome et une pléiade d'acteurs interressant. Son retour à l'image est plutot réussi, par contre Benini fait encore et toujours du Benini, ca devient presque douteux quant à son titre d'acteur d'autres comédiens sont par contre peu utilisés, dommage...J'avais largement préféré son précédent film, on verra le prochain...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 décembre 2020
    Curieux film, curieux montage, avec les facéties de Woody Allen toujours égal à lui-même et ses répliques un peu attendues sur la religion, l'amour, la peur de l'avion, etc. Mais c'est assez sympa, à part la musique qui est vraiment soulante. Des idées bien vues notamment celle du chanteur sous la douche, parce que les italiens aiment chanter sous leur douche. Des histoires qui devraient s'entremêler, mais qui ne s'entremêlent pas finalement. Par exemple, on s'attend à voir se croiser la jeune actrice américaine névrosée qui fréquente son psy cinq fois par semaine, avec la femme de Woody Allen qui est psychanalyste, mais non, l'histoire se solde par le départ inopiné de la jeune actrice. Le rôle de l'architecte aussi est bien vu s'agissant de Rome, mais on a du mal à savoir s'il s'agit d'un fantôme ou d'un personnage réel. Peu à peu Woody Allen s'efface, ce qui n'est finalement pas si mal. On trouve les mêmes poncifs sur la femme objet vue par les hommes, l'objet sexuel, de désir, un peu contrebalancer par les répliques de la psychanalyste. donc, plusieurs histoires s'entremêlent est on a du mal à cerner le rythme car certaines se déroulent sur une journée, alors que d'autres se passent sur plusieurs semaines. Ce n'est certainement pas le meilleur film de Woody Allen, mais il est plaisant.
    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    Je pense qu'il est temps d'oublier que c'est Woody Allen (quoiqu'il joue dans son film) qui réalise ces films européens....Personnellement j'ai pris ça comme une gentille comédie italienne et j'ai trouvé qu'il y avait une dizaine de réparties qui font sourire (attention il faut être vigilant)....Moins carte postale que son film à Barcelona, ici Woody Allen nous raconte des histoires sentimentales moins délurées et les personnages sont plus sympathiques et complexes;....Critique de la célébrité au travers de l'aventure de Bégnigni (gnangnan), le film passe en revue, le bel canto, la gentille prostitution (penelope cruz), l'amour innocent, la tromperie sentimentale (Ellen Page "juno"),.....La ville de Rome est photographiée de façon légère et affectueuse, quelques allusions au cinéma et à la littérature (alec baldwin), le tout constitue une comédie gentille très loin de la verve psychanalytique de woody allen (d'ailleurs dans le film pour se consoler il est marié à une psychiatre).....Comme il le répète avec humour dans son film c'est un peu l'age de la retraite.....Petit détail, la scène si originale de la douche sur scène est "extraite " d'un superbe film chinois (SHOWER de zhang yang, 1999) que je recommande fortement de voir en dvd (un bijou de sensibilité)......Quant au film de woody allen, à vous de voir....
    lionelb30
    lionelb30

    436 abonnés 2 591 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2012
    Rome , ville eternelle, Woody Allen aussi.Apres barcelonne et paris , rome , l'europe lui va bien.Joli film , tres belle image et lumiere , histoire croise pleine de drolerie.Un bon moment.
    cinono1
    cinono1

    300 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2012
    quatres histoires aussi inconsistantes les unes que les autres. Woody Allen croule sous les clichés de la péninsule au lieu de jongler avec. Bien sur, on retrouve le ton léger du cinéaste (quoique même la bande-son est plus laborieuse que d'habitude) mais ces successions de scènes vaudevillesques n'éveillent que de rares sourires. Et on a un peu l'impression d'avoir assisté à un très tres vieux film aux rebondissements super usés. Paresseux, poussérieux et décevant.
    Robin M
    Robin M

    70 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 juillet 2012
    http://lecinemaduspectateur.wordpress.com/2012/07/13/to-rome-with-love-quantite-ou-qualite/

    Woody Allen s’est toujours placé dans le rôle du génie incompris, sauf que dans son cas, ce n’est pas le reste du monde qui ne le comprend pas, mais lui même. Cette posture psychologique face à son propre art lui a toujours permis d’éviter les foudres de la presse qui reçoit ses films en chefs d’oeuvre ou tièdement. Mais, il est certain que Woody Allen est entrain de couler. Son radeau esquissé par “Minuit à Paris” ne fonctionne finalement pas. Sans doute que l’air parisien lui sied mieux que celui de Rome. Depuis “Match Point” en 2005, film étonnant dans sa filmographie, Woody Allen se perd dans un voyage européen qui s’éternise. Il est le cinéaste de la ville, le cinéaste de la classe bourgeoise d’un New-York dont il est l’âme. Mais, le Woody Allen globe-trotteur ne rassemble dans son sac à dos que les mauvais côtés de son cinéma. Certes, il a toujours des éclairs de génie: le rôle de Pénélope Cruz dans “Vicky Cristina Barcelona” (le seul grand rôle de l’actrice non-écrit par Almodovar), l’alter-égo de Allen dans “Whatever Works”… Mais son cinéma est devenu bavard. On peut dire que Allen a toujours été le cinéaste des dialogues, le scénariste de la parole. Mais, le contenu n’est plus. Il reste seulement un assemblage de phrases creuses. Où est passé l’humour si spécial de l’auteur ?

    Pour palier sa vision péjorative de sa filmographie, Woody Allen a toujours dit qu’il privilégiait la quantité à la qualité, en espérant que dans le tas, un ou deux films seraient réussis. Mais, vu les chefs d’oeuvre qu’il laisse derrière lui, ne devrait-il pas maintenant prendre le temps de faire des films aboutis. “To Rome With Love” donne l’impression d’être un film fait à la va-vite. La réalisateur ne se pose pas sur la ville de Rome, il la survole seulement. Il n’apporte qu’une vision superficielle de Rome et de ses habitants. Les clichés pleuvent sur Rome, les monuments à voir sont vus. Mais dans tout cela, Woody Allen ne crée rien. Certains se plaignaient du côté carte postal du Paris allenien, mais que diront-il alors du Rome qu’il dessine ?

    “To Rome With Love” montre le nouvel amour du cinéaste pour le film choral. Sauf que l’intérêt du film choral ne réside qu’uniquement dans l’entrelacement des histoires. “Babel” de Alejandro Gonzales Inarritu n’aurait certainement pas la même saveur si les histoires n’étaient pas relier par la vente d’un fusil des années auparavant. “To Rome With Love” n’est alors qu’un banal film à sketchs. Woody Allen aurait du moins éparpiller son scénario dans la futilité de certaines histoires: la partie avec Benigni est si mauvaise que sa présence à l’écran en devient agaçante, l’inutilité du rôle de Alec Baldwin dans le segment Eisenberg-Page. Mais l’esprit de Woody Allen perce quand même de temps à autre le brouillard qui s’abat sur son film. Le Segment Eisenberg-Page rappelle le trio amoureux de “Vicky Cristina Barcelona” sans folie meurtrière, le côté doux et soft. N’oublions pas également la partie qui marque le retour en tant qu’acteur de Allen. C’est dans cette partie que ressort l’absurdité comique qui parcourt certains films de son oeuvre. Sa frénésie, son débit de parole, et les travers de son personnage sont le charme même des scénarios alleniens. Cependant, les moments de répit dans la lourdeur de “To Rome With Love” sont bien trop minces pour oublier les défauts et les ficelles (si visibles) de ce film touristique.

    Il ne reste plus qu’une chose à faire pour sauver le cinéma de Woody Allen: lui offrir un billet pour New-York.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    Woody Allen nous emmène en Italie dans le cadre de son odyssée Européenne, et c'est dans la belle ville de Rome qu'il plante son décor. Alors, ce dernier opus est-il réussit ou non ?

    « To Rome With Love » n'est qu'une semi réussite, on retrouve la mise en scène soignée mais discrète de Woody Allen, son humour gentillet qui ne plaît pas forcément à tout le monde, et bien entendu une histoire ou plutôt des histoires qui s'entrecroisent sans cesse.
    Nous sommes clairement dans un film purement Allenien c'est certain, cependant là où « Minuit à Paris » nous émerveillait, c'était bien sûr dans sa déclaration d'amour à la capitale française, malheureusement ce n'est pas réellement ce qu'il se passe dans « To Rome With Love », il n'y a pas ici une abondance de plans oniriques mettant en valeur la capitale italienne, sauf quelques-un mais ils sont si rares. Car oui par moment il est évident de reconnaître qu'Allen est un homme amoureux de l'art, cet art qui émane de l'architecture Romaine et des ruines antiques. Allen aime filmer ces vestiges, et ça se voit, mais ce n'est que trop rarement, et cela enlève grandement le charme qu'aurait pût avoir « To Rome With Love ».
    Cependant il ne faut pas non plus être trop dur, car le film est tout de même une très bonne comédie, l'humour de Woody Allen est présent, et pointe sans malice les travers de notre société. Ainsi nous pourrons retrouver un Roberto Benigni en état de grâce, cet homme simple qui du jour au lendemain et sans aucune raison va devenir une célébrité, sur ce point Allen s'amuse à dénoncer les travers des médias et de l'argent, le pouvoir également, en montrant que la plèbe aime les idoles même si ces dernières ne font rien d'extraordinaire. Mais finalement c'est sur ce point là que le film se montre intéressant, c'est sur cet humour malicieux et dénonciateur, ce qui évince presque les autres intrigues et c'est dommage. D'autant plus que le reste du casting ne s'en sort pas vraiment très bien, Ellen Page et Jesse Eisenberg ne trouvent jamais leur place, tout comme Alec Baldwin, seul Woody Allen et Roberto Benigni sont drôles à souhaits et montre une véritable qualité d'interprétation.

    Alors pour ce qui est de « To Rome With Love » ce sera, POUR : Car l'humour frais et décalé de Woody Allen fait du bien, mais également le côté dénonciateur sur la société. CONTRE : Car Rome n'est pas assez mise en valeur, et que certains acteur semblent un peu perdus.
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2012
    Un nouveau Woody Allen, c'est toujours une fête. Alors pensez, un Woody Allen AVEC Woody Allen, voilà qui nous réjouit d'avance. En l'occurrence il s'agit d'une forme de film choral avec pour cadre la Ville éternelle. Quand Woody aime une ville, il le dit haut et fort. Un peu trop, penseront certains qui l'accuseront d'avoir multiplié les paysages de cartes postales avec Fontaine de Trévi, Piazza del Popolo, Piazza di Spagna et autres lieux enchanteurs et conviviaux chers à tous les touristes du monde entier. Quatre histoires plus ou moins tirées du Décaméron de Boccace font se croiser des personnages souvent hauts en couleur: un employé pris au piège d'une émission de télé-réalité qui le fait devenir la célébrité d'un moment; un découvreur de talents lyriques qui voit en un entrepreneur de pompes funèbres un nouveau Caruso, à la seule condition que celui-ci puisse se produire sur scène sous sa douche; un architecte qui revoit son passé et dialogue avec son double, un jeune homme aux prises avec le grand amour; un jeune couple en voyage de noces, constitué d'un sympathique nigaud et d'une jolie dévergondée. Bref, un film qui se découvre avec plaisir. D'autant que Woody Allen a engagé du beau monde: Alec Baldwin pour incarner l'architecte qui découvre en un savoureux flash-back sa jeunesse amoureuse; Roberto Benigni qui n'a guère de mal à se mettre dans la peau de l'employé devenu star de quelques jours; Pénélope Cruz qui, après avoir irradié dans le "Vicky Cristina" barcelonais, apparaît telle une bombe sexuelle auprès de notre sympathique nigaud terrorisé par ses parents et beaux-parents. Et n'oublions pas Woody Allen qui se met en scène avec cet art du second degré qui le caractérise si bien (splendide scène de l'avion au tout début!). Le tout est bien filmé, admirablement éclairé (la lumière du ciel romain est, il faut bien l'avouer, une fameuse complice) et joliment interprété. Seul bémol: Woody en fait parfois trop: le gag de la douche est certes amusant, mais répété il devient lassant; notre ami Benigni a le sens de l'excès, mais ici il frôle la surdose; l'histoire du couple en voyage de noces a tendance à s'égarer. Si Woody s'était un peu plus recentré sur l'essentiel, le film aurait gagné en intensité et en profondeur. Mais ne boudons pas notre plaisir: Woody is Woody!
    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 juillet 2012
    A la veille de partir pour Rome avec mon amoureuse , je m'attendais à un film magique comme le précédent Woody aallen ... qu' elle ne fut pas ma déception devant une telle daube sans intéret , ni humour ni intelligence. Heureusement Rome fut sublime loin de ce film déplorable .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 juin 2014
    J'ai apprécier le film tout d'abord grâce à son ambiance travailler (Rome est une trés belle ville) mais aussi grâce à son casting splendide malheureusement j'ai parfois eu du mal a suivre le scénario qui souffre de quelque lourdeur qui sont heureusement trés vite effacer par le talent des comédiens.
    Malteser
    Malteser

    19 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2021
    film vraiment sympa à la Woody Allen, on reconnaît bien le style et l'humour. Mais dommage car fin du film bâclée
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2016
    On retrouve sans conteste le style Allen. On passe d'aventures en aventures dans un décors séduisant et une narration poétique et joyeuse.
    SuperMadara
    SuperMadara

    84 abonnés 935 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2012
    Une comédie a sketchs sympathique, qui offre quelques éclats de rire mais qui n'ai ni l'originalité ni l'ambiance enivrante des meilleurs Woody Allen. Terriblement inégal, l'histoire essaye de résumer l'essence de la ville de Rome a travers plusieurs petites histoires qui ne se croiseront jamais, et ce jeu de quiproquos permanents rend le tout tellement inégal, entre certaines histoires vraiment drôle et d'autres sauvé par un acteur ou même une seule scène, mais ce choix n'est au final pas si bon que ça... Dans ce casting encore très large et intéressant, les deux acteurs qui sortent vraiment du lot sont Alec Baldwin et Pénélope Cruz, l'un qui apporte une touche d'humour et d'expérience dans une sous-intrigue qui en a bien besoin et l'autre qui apporte de la sensualité et du charme dans un film qui sans elle en manquerait ; et le reste du casting est aussi correct mais aussi inégal. Donnant presque l'impression d'y être contraint, Woody Allen filme Rome en se limitant au côté carte postale, entre des décors répétitifs et des plans d'une utilité très contestable et qui se répète bien souvent.
    Une comédie romantique juste sympathique, très inégal et même raté sur certains points mais assez agréable au fond.
    littleplayer77
    littleplayer77

    71 abonnés 948 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2012
    Lors de la sortie de "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu", j'avais reproché à Woody Allen un manque certain de renouvellement et une certaine forme de clientélisme : si "Minuit à Paris" avait quelque peu rassuré sur sa capacité à réinventer son univers, ce "To Rome with love" montre que ses travers sont toujours d'actualité. Après Londres, Barcelone et Paris, le réalisateur Américain met le cap vers la péninsule transalpine et explore ici la capitale Italienne, haut lieu de l'infidélité (la réputation des latins en la matière ...) sous la forme de 4 histoires entremêlées qui s'avèrent absolument inintéressantes (la seule bonne idée du film, c'est le ténor qui ne chante que sous la douche. Pour le reste, on s'ennuie ferme entre un jeune architecte qui se perd avec une séductrice (Ellen Page) loin d'être aussi fatale qu'une Pénélope Cruz (histoire polluée d'ailleurs par la présence fantômatique d'Alec Baldwin), un couple de jeunes mariés ou l'histoire décalée de Roberto Begnini (dont l'intérêt suscite le doute ...)). Sur le papier pourtant, pas mal d'arguments nous donnaient envie, à commencer par un pitch alléchant et un casting exceptionnel composé d'habitués de Woody (Pénélope Cruz, Judy Davis, Alison Pill, lui-même), de petits nouveaux (Ellen Page, Jesse Eisenberg) et de surprenants invités (Roberto Begnini, Alec Baldwin, Ornella Muti, le ténor Fabio Armiliato). Oui, mais voilà : en plus d'être en panne d'inspiration, Woody a perdu de sa verve psychanalytique d'antan, ne faisant finalement que recycler ses vieux thèmes. Pour ceux qui cherchent le charme farfelu du cinéaste, sa fantaisie imaginative ou son ironie débordante, vous pouvez passer votre chemin : l'intelligence d'écriture et l'humour acerbe qui jalonnent habituellement son oeuvre ne sont malheureusement pas au rendez-vous ici. Malgré le cadre idyllique de la cité Italienne, l’ensemble apparait totalement rébarbatif et ne réussit ni à nous charmer, ni à nous faire rire et encore moins à nous surprendre ... En conclusion, avec "To Rome with love", le cinéaste nous offre là l'un de ses pires films qui tient plus d'un voyage au bout de l'ennui que de la Dolce Vita attendue ...
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    51 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Pour sa production annuelle, Woody Allen nous propose la suite de son petit tour Européen. Le réalisateur nous présente donc un petit voyage To Rome in Love, et le moins que l’on puisse dire c’est que l’amour est omniprésent dans cette nouvelle production. Par delà la ville, magnifiée comme d’habitude, Woody nous raconte ainsi 3 histoires un peu déjantées qui finiront toutes au lit. Dommage, lui qui avait su nous transporter dans la magie de Paris ne réussit pas à renouveler la performance pour Rome, ville au final un peu chaude et ubuesque (l’opéra de salle de bain). Reste alors la douce mélodie italienne, le casting impressionnant (le réalisateur ayant même réussi à inviter une espagnole), qui permettent de passer un moment correct…
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