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    Terri
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    2,9
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    54 critiques spectateurs

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    gregou11
    gregou11

    48 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2012
    Film sympathique, ni mauvais ni exceptionnel !
    Des acteurs jouant très bien et un sujet qui ne vire pas dans le mélo (mais qui aurait pu!), c'est déjà ça de gagner ! Maintenant, la lenteur et la non explication (ou l'explication trop implicite??) de certaines scènes sont dommageables..
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 août 2012
    « Terri », c’est l’histoire d’un gamin qui vit en pyjama, partout où qu’il aille et notamment à l’école où les autres élèves et le personnel du lycée ont fini par s’y faire.
    Et si Terri se promène en permanence en pyjama, c’est juste car il estime que c’est confortable, en tout cas, c’est ainsi qu’il se justifie. Aller en pyjama à l’école, c’est le cauchemar qu’on a tous fait au moins une fois mais lui se sent bien ainsi.
    Le film d’Azazel Jacobs ne raconte pas forcément grand-chose, il suit l’adolescent au quotidien, et il faut dire que la vie de ce dernier ne fait pas vraiment rêver. Il n’a pas un physique facile et en plus de ça, il vit avec son oncle rongé par la maladie d’Alzheimer. Ce n’est pas non plus franchement l’idole du lycée et ses retards constants l’amène à être suivi hebdomadairement par le directeur en personne, qui réserve ce traitement au cas les plus désespérés de l’établissement.
    « Terri » c’est avant tout un beau film, soigné et atypique qui ne cherche pas à en mettre plein les yeux ou à jouer exagérément sur les sentiments du spectateur, c’est surtout un message, simple mais bien amené, qui consiste à dire qu’on a tous nos galères, nos moments de doute, que l’on soit gros, maigre, beau, moche ou qu’on soit proviseur du lycée, qu’importe qui vous êtes. Mais la petite lueur d’espoir, la main tendue, n’est jamais loin pour autant.
    Servi par une brochette d’acteurs inconnus mais talentueux, « Terri » paraitra peut-être ennuyeux à certains, la faute à un rythme plutôt lent, d’autres trouveront le message simpliste, il mérite pourtant largement d’être vu au moins une fois.
    chryerle
    chryerle

    8 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2012
    Assez bon film, sans pretention, qui nous plonge dans une atmosphere un peu kitsch dans un endroit un peu paumé des USA. Le jeu des acteurs est bon, parfois surprenant, quelques bons moments attachants et cocasses. Petit film à voir tout de même en VO pour ne pas denaturer la bonne prestation de tous les acteurs!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 août 2012
    Je suis loin de partager l'avis de certains internautes de allociné.

    Effectivement on est loin de la "comédie", personnellement je suis tombé dans le piège d'où ma déception (peut-être). Excessivement lent, l'intrigue ne se lance pas vraiment. La question de l’adolescence est traité de manière abrupte et choquante. La scène dans la cave de terri avec ses 2 compères étaient tout simplement répugnante. Traiter des adolescents à problème, pourquoi pas, mais il y a bien d'autre moyen de présenter la chose. Là il y avait de l'excès et à mon avis pas si proche de la réalité.

    Le bon point du film est la prestation des jeunes acteurs, rien à redire la dessus. Pour le reste chacun en fera sans avis.
    roger pierre
    roger pierre

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2012
    Je trouve les propos de spectateurs d'Allo ciné et des critiques très modérés au regard de "Terri". Il s'agit d'un des meilleurs films indépendants américains vus ces dernières années. Largement supérieur au sympathique "Sumertime". Il est pour moi juste derrière le chef-d'oeuvre que représente à mes yeux "Cyrus", avec le même "plus grand acteur américain" JC Reily. Comment être insensible à l'écriture magnifique d'émotion de la séquence où JC Reily annonce à Terri la mort de la standardiste et lui demande de l'accompagner à son enterrement ? Et il y a beaucoup d'autres scènes comme celle-là dans "Terri" d'une justesse et d'une écriture subtiles qui disent sur le monde et sur les êtres beaucoup plus que les prétentieux et ridicules films français vus ces dernières semaines sur les écrans et pour lesquels Roger Pierre n'a même pas eu la force de prendre le clavier ... la canicule passée, j'espère qu'il retrouvera les forces nécessaires à la condamnation (c'est son combat) d'un cinéma qui a tant à apprendre de films comme Terri.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 août 2012
    Entre son aspect de dernière trouvaille indé Sundance, un premier rôle tenu par un obèse et la présence au générique de John C. Reilly, « Terri » rappelait étrangement « Cyrus », autre comédie dramatique indé, sympathique et vaguement dépressive. « Terri » ressemble à beaucoup d'autres films mais aucun ne lui ressemble vraiment tout à fait, son réalisateur prenant soin de ne pas aller là où le genre aurait voulu qu'il aille. Terri, adolescent obèse, vit avec son oncle dans une maison perdue dans les bois et ne s'habille qu'en pyjama. Là où Azazel Jacobs vise juste, c'est qu'il ne cherche pas à expliquer pourquoi son personnage est comme cela. Pourquoi s'habille t-il en pyjama ? Parce que c'est confortable, point. Terri existe comme il est, et la force du film est de le faire accepter aux yeux du spectateur.

    Jacobs ne tente pas plus de nous faire croire que tout va s'arranger pour lui. Certes, Terri trouve des amis, mais si le film a des allures de fable, il ne finit pas comme un conte de fée. Un petit peu comme le récent « Summertime », mais avec moins d'effets, « Terri » raconte un morceau de vie d'un jeune homme et se finit par le choix d'un nouveau départ. C'est moins radical ici, moins romanesque, mais quelque part plus crédible. Le film de Jacobs n'est certainement pas inoubliable, mais il est d'une belle simplicité et d'une sincérité non feinte
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 août 2012
    décevant..partie au bout d'une heure. la bande annonce donnait vraiment envie mais le film été long, les images s'enchaînaient sans réel histoire. dommage
    Requiemovies
    Requiemovies

    207 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2012
    Si le cinéma indépendant a vue son apogée dans les années 90, une certaine « formule » et « tendance » se répète depuis. Terri fait partie de ces films, de marque « indé », assumés, mais qui par le mode même sur lequel ils se construisent, oublient de se créer une identité. La lenteur du film se juxtapose avec sa qualité première d’être touchant. Le regard posé de Azazel Jacobs est juste et permet à Jacob Wysocki de nous offrir une performance attendrissante. Au-delà de cet ensemble, le film se veut commun et facile du fait que le spectateur a déjà vu tout cela ne nombreuses fois. Les maux de l’adolescence ont ainsi déjà été contés et de plus belles manières. Les facilités et raccourcis que le réalisateur emploie au travers son personnage principal, en pyjama, son apparence physique nonchalante, viennent détruire l’effort de l’intention première film. Il est d’ailleurs amusant de faire un pont à Steven Soderbergh, figure de proue d’une certaine vague indé il y a plus de 20 ans, qui lui s’offre des joutes de mise en scène à l’extrême opposé, en filmant le monde du strip-tease masculin (Magic Mike), paillette et éclatant, alors que certains tentent de recoller des tiques faciles de mise en scène…
    http://requiemovies.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 août 2012
    Très décevant!!!! Il y a pourtant des choses à dire sur le thème de l'adolescence et l'obésité. Au lieu de cela on voit une superposition de scènes à la vraissemblance douteuse!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 août 2012
    Fable tendre sur les tumultes et les cruautés de l'adolescence, Terri, sans se montrer larmoyant ou excessif, s'écoule sur une rythme lent et parvient à toucher le spectateur, légèrement ; loin du bouleversement mais là n'était pas le but...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 août 2012
    Le seul reproche, et il est de taille, qu'on puisse faire à ce film, c'est sa longueur (1h45 !) couplée à son excessive lenteur. Sinon, on a ici la chronique d'une tranche de vie d'un ado américain, marginalisé dans son école par son obésité, sa nonchalance et son non-conformisme. Ses relations avec le principal de son établissement scolaire et deux de ses camarades, garçon et fille, sont assez bien décrites, en dépit de leur anachronisme et de leur invraisemblance. Le film n'a ni début, ni fin, et il s'en dégage une sorte de philosophie optimisme de la vie, même si elle n'est pas toujours drôle pour les protagonistes. Pas mal d'humour aussi là-dedans, surtout dans les mimiques des personnages. Vu en VO, indispensable à mon avis.
    traversay1
    traversay1

    3 584 abonnés 4 865 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2012
    Azazel Jacobs, le réalisateur de Terri, n'est pas un idiot. Des centaines de films se sont déjà penchées sur le mal-être de l'adolescence, il serait fort présomptueux de vouloir renouveler le genre. A défaut, le cinéaste réussit en grande partie une variation subtile sur les états d'âme de l'âge ingrat, en traçant le portrait d'un garçon trop gros, trop solitaire, trop misanthrope, trop sensible, trop lymphatique, bref, globalement, trop ! Le propos est modeste, ténu, avec l'intention de tenir l'émotion en laisse et la colère à distance. Pas mal fait. Terri est un film vaporeux et délicat, drôle, parfois, bizarre, souvent, et finalement tendre et déliquescent. Son architecture est fragile, dans une mouvance "Sundance" revendiquée, mais le film est plutôt exempt des tics de réalisation que l'on note fréquemment dans le cinéma américain indépendant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 août 2012
    Mon blog cinéma : http://ombreserrantes.com/



    J’avoue avoir été moyennement convaincu par ce teen movie, qui a, il est vrai, un grande originalité et s éloigne à la fois des poncifs fabriqués en série dans les fictions les plus standardisées du cinéma américain mais également des tics agaçants du cinéma indépendant quand il tente d’aborder le territoire de l’adolescence, en y planquant généralement une vision reconstruite d’adulte, par idéalisation pseudo-nostalgique ou par une surenchère émotive dans un traitement caricatural des souffrances de la mue vers l’âge adulte. Nous sommes ici espace fictionnel au référent volontairement flou ( en fait il s’agit de la banlieue de Los Angeles, mais il pourrait tout aussi bien s’agir de n’importe quelle petite ville provinciale, tant le film a l’apparence d’un conte sans ancrage réaliste avec quelques pôles qui aimantent la narration: le lycée, la maison du personnage principal, et des lieux où apparaît une nature laissée à l’abandon qui relient d’ailleurs les différents espaces). Toute la fiction va se centrer autour du personnage éponyme, adolescent obèse, qui vagabonde dans la vie avec une sorte de détachement permanent, entre aboulie et indifférence. Hors-monde, ou en tout cas profondément satisfait de son propre univers( comme le montre l’obésité du personnage, dans laquelle il ne faut pas voir une espèce de métaphore de l’inadéquation entre soi et soi, ou une relecture du personnage du freak, qui essaiment pourtant l’univers des teen-movies, mais la rondeur du personnage est la marque de son autosuffisance et de l’inutilité du monde extérieur), il capte pourtant l’attention du proviseur du lycée, qui a pris pour habitude de convoquer les élèves « en marge » dans son bureau pour une sorte de psychothérapie d’une vacuité absolue, en fait une manière pour lui , manifestement, de régler ses propres névroses.
    Autour de Terri, d’autres personnages singuliers vont évoluer et se téléscoper dans des séquences, parfois émouvantes, toujours authentiques, mais d’où émane souvent une sorte de lenteur neurasthénique qui a tôt fait de s’emparer, par effet-miroir, du spectateur lui-même. Dans ce monde au ralenti, nous trouvons un jeune garçon rachitique, à la sexualité frustrée, qui a la fâcheuse tendance de s’arracher les cheveux, et une jeune fille qui se trouve en butte à l’opprobre générale après avoir été forcée de se laisser ausculter son orifice intime en cours de cuisine par le crétin populaire du lycée, qui bien sûr, n’aura aucune sanction. Le monde des adultes, lui, est une espèce quasiment en voie de disparition: le directeur, dont je viens de parler, joué par John C. Reilly, personnage presque sympathique dans sa faiblesse même, et encore proche de ce monde de l’enfance dont il a la charge, sa secrétaire au bord de la tombe( et qui finira par y tomber, d’où une scène burlesque d’enterrement assez réussi), deux enseignantes sans intérêt, qui servent de pure toile de fond, et l’oncle, qui joue le rôle de substitut parental à Terri, qui manifestement connait les symptômes d’Alzheimer.
    Point d’odyssée initiatique, d’apprentissage et de naissance à soi-même dans cette oeuvre qui se situe en permanence dans une sorte de flottement, presque hors-du monde, ou à sa lisière, comme en témoigne le pyjama dont est toujours affublé le personnage, matérialisation de son refus de jouer la comédie de l’existence: la musique de Mandy Hoffman accentue ce phénomène d’absence au monde ainsi que l’utilisation de la Slider qui permet des déplacement à peine perceptibles mais marqués par une grande fluidité. Seule émerge, ancrée dans une dimension réaliste, la scène où se retrouve les trois adolescents, qui évoque , d’une manière à la fois trop lourde et pas assez audacieuse, la rencontre des corps et l’apprentissage de la sexualité. Azazel Jacobs peint ici une sorte de Gulliver perdu dans un territoire dont les adultes sont de simples lilliputiens assez pitoyables et sans épaisseur .
    On a donc ici une écriture cinématographique indéniable, un univers qui a au moins la mérite d’exister mais qui élude, sans doute volontairement, tous les abîmes des personnages qu’il met en scène.


    Mon blog cinéma: http://ombreserrantes.com/
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 665 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2012
    Fin, nuancé, émouvant sans pathos : un joli film indépendant, qui déjoue les pièges d'un sujet casse-gueule. Une date dans l'histoire du teen movie.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    117 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 août 2012
    Terri est une comédie dramatique sur la vie d'un ado mal dans sa peau et livré à lui même. Ce film malgré de bons moments d'émotions reste dans assez moyen.
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