Film super ennuyeux, il ne se passe rien pendant 1H15. Scénario plus que moyen : Alice, jeune femme issue d'une famille bourgeoise, qui refuse de grandir, qui n'arrive pas à trouver l'amour et qui se réfugie dans les films de woody allen qui est son idole. Le film se traine en longueur et la fin n'est pas terrible malgrès l'apparition du grand Woody Allen. Seule l'apparition de David Marsais du Palmashow m'a fait lacher un petit sourire (et encore). Film à éviter.
Le pitch, le nom de Lellouch et celui de Allen aguichent fortement... Malheureusement le film ne vas pas plus loin que le pitch, la fille n'égale pas le (déjà inégal) père, et si le concept de Allen est par contre bien intégré au scénario, ça ne suffit pas à relever le film qui au final se révèle être une comédie romantique lambda réalisée à la sauce franco-américaine. C'est pas un mauvais divertissement en soi, mais j'attendais un contenu qui nourrisse davantage l'intellect. Bémol pour Bruel qui, le temps d'un tournage, a oublié qu'il était meilleur sur les planches que sur scène.
Tout n’est pas à jeter dans ce petit film qui a la prétention d’avoir pour interprète un Woody Allen en transit. Jeter ce petit film c’est aussi jeter Woody Allen. Au risque d’en énerver plus d’un, Ken Loach avec « Looking for Eric » était dans la même démarche. Un fan d’Eric Cantona qui avait une conversation imaginaire avec son idole... Là, c’est un peu pareil avec une Alice adulescente fan de Woody Allen au point de lui poser des questions existentielles. Cette pharmacienne cinéphile a l’originalité de joindre aux ordonnances quelques DVD soit comme substitut ou complément aux médicaments. Sa liaison avec Victor était des plus prévisibles mais j’ai apprécié leurs relations. Par contre, la réalisatrice ne veut rien nous dire des pratiques de la sœur d’Alice ; cette dernière avec Victor vont la surprendre dans un hôtel de luxe en train d’embrasser une call-girl en présence de son mari. Comme Alice et Victor, je regardais brièvement, caché, la scène mais je n’en saurai pas plus. Quel intérêt a cette scène ? Elle n’apporte rien au film, déjà court. Tout n’est pas à jeter, déjà parce qu’il y a Woody Allen, et parce qu’Alice Taglioni interprète une Alice qu’on a envie d’aimer. Trois étoiles, « c’est mon maximum ! »
Plat. En regardant le casting, on pouvait légitimement s'attendre à mieux, hélas ça ne vole pas bien haut. Je n'ai pas cru une seule seconde au coup de foudre entre les 2 protagonistes tant il manque une dimension émotionnelle à ce film. Insipide.
Une comédie romantique de 77 minutes. Rien que ça,ça n'annonçait rien de bien. Et il n'y a pas de miracle. "Paris-Manhattan" pose son unique argument originel sur cette pharmacienne,obsédée de Woody Allen,et qui se rêve donc en héroïne libre et spirituelle. Alice Taglioni fait ce qu'elle peut avec ce pitch catastrophique,d'autant que l'alchimie avec Patrick Bruel n'est pas du tout au rendez-vous. Comment dès,croire à leur coup de foudre. On sent aussi que la réalisatrice a voulu créer un univers gentiment loufoque pour rendre hommage à Allen,mais les situations sont trop pauvres pour cela. Enfin,comment a t-elle pu convaincre Woody Allen lui-même de faire une apparition dans son film? C'est un coup d'éclat,qui ne change rien au mépris que l'on éprouve pour ce film opportuniste et vide.
Autant le couple Taglioni-Bruel donnait envie d'en savoir plus, faisait office d'attraction intéressant, autant l'histoire, la réalisation, la douceur de ce long métrage annihilent toute notre attention et évitent tout attachement à cette romantique histoire qui manque de crédibilité, de saveurs. Une comédie finalement plus que moyenne malgré la présence de ce personnage atypique en fin de film !!
Aucun intérêt à ce film: scénario inexistant, nombre de scènes/dialogues inutiles incalculable, même les acteurs principaux, pourtant corrects d'habitude, semblent ne pas y croire. J'aime et ce film ne lui fait vraiment pas honneur. Le pauvre.
Paris Manhattan a ceci d'original que l'héroïne du film est une fan absolue de Woody Allen tout comme la réalisatrice. Elle a un poster géant qui trône dans son salon, elle lui parle et lui en retour la conseille, lui donne son avis. Mieux, comme elle est pharmacienne, elle file des DVD de ses films à ses clients comme médicaments. Pour le reste, c'est relativement classique. Sa vie amoureuse ne la comble pas, elle rencontre un fabricant d'alarmes désabusé et de fil en aiguille vont tomber amoureux sous l'oeil de Woody Allen qui a même une scène avec Bruel à la fin. Comment la réalisatrice a fait pour le convaincre ? ça restera un mystère. Le propos est léger, respecte les conventions du genre avec ses personnages bien dessinés : le père juif possessif, l'ado rebelle...Le film fait moins d'1h20, ça reste une petite friandise au plaisir éphémère.