Malgré les lourdes critiques de la presse j'ai regarde le film et j'ai eu raison ! J'ai passé un bon moment , il y a quelque scène un peu légère mais dans l'ensemble le film est bien . Content d'avoir retrouvé Smain ça faisait longtemps .
Pas un navet . Mais un film blindé de clichés visuels et scéniques qui en créent l écœurement . Le flingue qui passe de mains en mains c’est d’un cliché affligeant et très mal filmé. Reste un quartier de cœur que j’apprécie de voir et malgré tout quelques scènes pas mal .
Smaïn est plutôt convaincant même si ça vise pas la lune.
Olivier Marshall est par contre désolant de nullité dans son rôle . Voix rauque forcée a fond , monoexpressif …où c’était un film alimentaire à ses yeux ou il était atteint d’une constipation chronique durant le tournage .
Scénario d'une legerté déconcertante, on est dans le cliché tout le temps..Ce qui est encore plus ncroyable c'est que ce film n'a pas de fin , il termine comme une série, suite au prochain épisode... je n'arrive pas à concevoir que ce type de film bénéficie d'aide public.
Ce film a été éreinté par la critique au nom de tous les clichés qu'il contiendrait.... Peut-être... Toujours est-il que j'ai passé un fort bon moment, que c'est très divertissant, que ce petit film n'est pas prétentieux (certains diront "encore heureux" mais j'ai vu bien des films français médiocres se la raconter plus....), que même si Olivier Marchal a toujours la même gueule, il m'est toujours très sympathique, que ce quartier de Ménilmontant dans lequel je vis est joliment filmé et que, même s'il n'est pas faux que tout cela a un petit coté très téléfilmé, ce défaut donne du charme à l'ensemble (on est plus près d'un Burma avec Guy Marchand que "Plus belle la vie" quand même, il faut rendre à César....) ; enfin, un gamin, Nassim Boutelis, crève l'écran en petit Al Pacino du 20ème arrondissement style Scarface.... Les critiques pouvaient au moins rendre hommage à ce gosse.
Au début, des allures de téléfilm. Bonne dose de méfiance et l'impression d'avoir déjà vu ça cent fois. Et puis, sans effets de manche ni retournement de veste, tout en continuant son bonhomme de chemin, l'histoire finit par accrocher sévèrement, et les craintes du début cèdent la place à un certain enthousiasme. Au final, un petit film bien troussé qui doit autant à son comédien principal (et aux jeunes, tous formidables) qu'au savoir faire et à la minutie nécessaire pour (bien) raconter une (bonne) histoire. Quatre étoiles, car c'est pas si facile de me faire changer d'avis en cours de route. Bien joué.
Mine de rien, voir le nom d'Olivier Marchal sur une affiche sonne très souvent comme la promesse d'un bon, d'un très bon film. Celui-ci ne déroge pas à la règle. Ici, Marchal ne réalise pas, il se contente d'être comédien. Mais qu'importe finalement, car la touche de l'ex flic est bien palpable, et on sent le vécu dans le personnage de son Jo, l'ancien taulard. Olivier Marchal n'a sans doute eu que l'embarras du choix pour piocher dans les truands auxquels il avait eu affaire durant sa carrière, pour concocter son personnage. Alors certes Marchal fait ici du Marchal, et si son univers en exaspère certains à force de redites, mieux vaut passer son chemin. On retrouve son univers sombre, glauque, pessimiste, où toute maigre lueur d'espoir s'éteint vite. Quoique, il est parfois permis d'espérer. On est dans la vraie vie. Les happy-ends existent rarement, surtout dans le Paris des années 2010; notamment pour un truand qui a passé les 15 dernières années de sa vie en prison. Son quartier, Ménilmontant, a terriblement changé. Pas lui, toujours réfractaire aux téléphones portables à cause desquels de trop nombreux de ses ex-codétenus sont tombés. Jo est un ancien, avec ses valeurs d'avant, et ses codes. Ainsi ne comprend-il pas le pouvoir de cette nouvelle jeune délinquance qui terrorise son pote Maklouf (excellent Smaïn!), ex truand lui aussi, reconverti en tenancier de bar. Maklouf leur aurait mis une raclée, jadis, à tous ces jeunes "caïds"; aujourd'hui, il s'écrase pour être tranquille. Jo tente bien de s'adapter, de s'acheter une conduite, surtout pour tisser des liens avec un fils qu'il n'a pas eu le temps de connaître. Il tente des choses, mais son quotidien, son passé, le rattrapent. La vraie vie, encore et toujours. On retrouve au casting une habituée des films de son (ex) mari, soit Catherine Marchal, ainsi que Jeanne Savary que les fans de "NESTOR BURMA" reconnaîtront sans peine. Elle y tenait le rôle d'Hélène, sa secrétaire. "UN P'TIT GARS DE MENILMONTANT" ne possède ni la maitrise, ni la qualité globale du "36 QUAI DES ORFEVRES" et de "LES LYONNAIS", et encore moins l'extrême noirceur de "MR 73", tous réalisés par Marchal. Mais le film d'Alain Minier, malgré une fin qui peut laisser le spectateur perplexe, possède les qualités nécessaires pour passer un excellent moment de cinéma avec un vrai bon polar à la française. Et c'est un plaisir qui ne se boude pas."
Prévisible et malgré un Marchal convaincant ce film un comme une andouillette mal montée, elle se tient pas et termine en peau de boudin. En fait il manque carrément le dénouement du film, il ne devait plus rester assez de pellicule!
DÉCEPTION : Ce film policier avec Olivier Marchal est une déception majeure. L'interprétation laisse à désirer, oscillant souvent vers la caricature, et donnant l'impression d'un téléfilm à petit budget. Une perte de temps.
Un excellent film avec un Olivier Marchal comme on l'aime (brut de pomme avec un peu d'humour). A notre aussi l'excellente prestation de Smaïn. J'attend le dvd avec impatience !!
On sent la différence entre Olivier Marchal devant et derrière la caméra. Les 10 premières minutes donnent le ton... Tellement de caricatural, d'attendus, de sous-entendus. Puis le reste... ne change rien. Une scène en particulier m'a fait mourir de rire, quand Olivier aka le héros malheureux se ballade sur les quais du canal, arme à la main. A ce moment-là on s'attend tous à ce qu'il la jette dedans... et il le fait. Bref, un scénario aussi prévisible qu'un Martine à la mer, quelques acteurs bons mais tellement caricaturaux (ce ne sont pas de leur faute). Scénariste, producteur, bravo, vous avez pondu un déchet.