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    Zeroville
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    Alain D.
    Alain D.

    595 abonnés 3 287 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2021
    Avec beaucoup de références au cinéma, ce film, fait hommage au métier de monteur qui est exercé par un James Franco assez détonnant dans le rôle principal. Il est superbement secondé par une Megan Fox réellement captivante.
    Ce Drame, réalisé par James Franco, est intéressant de par ses acteurs, sa musique et sa photographie souvent très esthétique. Il est nettement moins séduisant sur le fond. Son scénario, plus que glauque, nous impose une première heure (sur 1H30) de film assez décousue et ennuyeuse. Heureusement, le final nous offre un trait de lumière avec cette révélation spoiler: "de film dans le film".
    RealPrime
    RealPrime

    86 abonnés 1 754 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2021
    Basé sur un ait réel de ce que j'ai pu lire, ce film est intéressant dans le sens qu'il nous montre le métier de monteur, ce que nous voyons rarement et qui nous montre l'importance de ce métier même si je comprend difficilement comment on peut dire qu'un montage est bon ou non. Mais voir cet homme dans l'action avec ses bobines était génial, tous cette artillerie mécanique pour corriger ou améliorer une longue bande était intéressant. Megan Fox elle joue le second rôle certes, mais de 2 manières et là aussi il y à originalité, là voir aussi bien en vrai que dans le montage fut bien penser et la futur obsession de notre monteur pour cette jeune et belle nouvelle star d'Hollywood était presque prémonitoire. Puis le personnages le plus ignoble, j'aurais envie d'insulter mais pas autorisé... Le producteur joué par Will Ferrell est l'exemple le plus parfait de ces personnalités d'un films dont le rôle est crucial certes, mais ce personnage bien que non fictif, montre le mauvais côté de plusieurs n'ayant aucun respect pour les personnes travaillant sur les projets. Notre héros le verra en plein action verbal et n'est officiellement plus à sa place dans cet Hollywood qui n'a que trop changer à son goût. Un récit qui devient quand même flou au milieu lorsque ce monteur se retrouve au plus mal. Un duo d'acteur très bon avec une mention spécial pour Franco tant son jeu est excellent, Fox est aussi très bonne et joue toujours de son charme décapant. Une plongée de les années presque folles qui nous offre une bonne dose de clins d'œil aux futures œuvres monumentales. Le titre lui est discutable mais le film reste bon en partie.
    selenie
    selenie

    6 288 abonnés 6 192 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2020
    Un hommage au Septième Art plutôt nostalgique puisque le personne principal est hanté par le cinéma dit de l'Âge d'Or symbolisé par son film favori. Ainsi Vikar peut débattre, discuter, échanger sur une multitude de films au gré de ses rencontres avec des inconnus qu'on devine être Spielberg, Lucas, Coppola dont la plupart apparaissent dans ce qui est sans doute la scène la plus jouissive du film.. Pour n'importe quel cinéphile, certains passages du film sont un fantasme qui méritent un détour mais malheureusement la trame générale demeure trop fouillie. Le plus décevant est que le cinéaste occulte sa propre tagline "Sex, cinema and punk rock" qu'on attend toujours. Par là même, le livre est doté d'un humour certain qu'on ne retrouve jamais. Dommage, mais certaines séquences restent pourtant d'un charme fou.
    Site : Selenie
    Rony Bass
    Rony Bass

    10 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2020
    Comme son nom l'indique: Zero. Cela résume à peu près tout pour ce film d'auteur (ou qui se veut d'auteur je ne sais pas) ennuyant du début à la fin. Le seul point positif reste les références aux films et réalisateurs des années 70 avec la seule scène sympa du film ( spoiler: La baston des réalisateurs avec George Lucas qui veut absolument mettre des robots partout dans ses films et celui de Spielberg
    ).
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    695 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2020
    À propos de Casablanca ou de La Passion de Jeanne d’Arc, il est dit que ces films ont d’abord pris le temps de vivre, sous-entendant que le geste de l’artiste ne consiste qu’à capter et capturer des instants et des mouvements qu’il a certes engendrés, mais dont il n’est pas le détenteur ; la caméra serait alors l’instrument d’un sauvetage et d’une immortalisation. Et si ce fantasme, en partie faux compte tenu des œuvres investies, atteste l’aveuglement de James Franco devant un panthéon cinématographique qu’il aime de tout son cœur mais auquel il peine à comprendre grand-chose, il révèle également son incapacité à produire ce qu’il vénère, soit du vécu, du véritable, du sincère à partir d’artifices pourtant minutieusement analysés. C’est dire que Zeroville se pense comme la scène et les coulisses, rappelant en moins bien encore The Disaster Artist : comme si la technicité constituait un garde-fou le protégeant de l’échec et un tremplin grâce auquel il accéderait au septième art. Or, rien de tel, sinon une tentative ratée de rendre hommage à l’âge d’or d’un Hollywood rêvé et remis à la sauce vulgaire qui caractérise si bien le style Franco ; tentative doublée d’un narcissisme qui commence franchement à agacer. Franco, comme son personnage, adopte des poses et des postures glanées à droite à gauche, comme si le talent, voire le génie, pouvaient se décalquer, se transférer par du physique, du matériel. Tout n’est que surface et apparence, sans jamais porter un regard critique ou réflexif sur cette industrie du faux à créer du vrai, sur la propension de l’artiste à injecter dans une technique ou un ensemble de techniques son âme, sa passion, son être tout entier. Zeroville est nul, dépourvu de cette vie qu’il tente de compenser en compilant des extraits de films agglutinés les uns aux autres, pour « faire cinéphile ». 0+0 = la tête à Franco.
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