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clint54
25 abonnés
495 critiques
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2,5
Publiée le 27 mai 2015
...Schwarzy le retour en milieu très hostile. Ici l'adversaire est un virus transformant les êtres humains en Zombie...pléthore et accumulation de superlatifs dans ce genre cinématographique. L'ensemble est regardable mais un air de déjà "beaucoup vu " rend mal à l'aise l'intérêt du propos. Alors il faut regarder du côté artistique et du décor pour relever çà et là des plans images pas trop mal. La relation Père-Fille est aussi parfois susceptible de décrocher un regard plus incisif, le thème de la différence, du partage et du sacrifice forme le trio gagnant pour ce drame familiale dans un monde toujours plus sombre et angoissant. Schwarzie reste convaincant en Père digne,vertueux et courageux.
Ce film montre la relation entre un père et sa fille dans l'accompagnement vers la mort inévitable. Le réalisateur offre une sorte d'errance comme un bref moment suspendu dans le temps mais l'ensemble est un peu trop homogène et l'histoire manque finalement de vrai instant de pure émotion. Les acteurs sont pourtant convaincant même Schwarzy dans un registre à contre emploi mais l'histoire l'est moins.
Je suis sidéré ! Comment un film aussi nul peut voir le jour ? OK je peux comprendre l’envie du réalisateur de faire un film sur l’amour que porte un père à sa fille. Mais ce film ?? Comment un acteur tel que Schwarzenegger peut tourné dans un truc aussi mou ?! Bref ce n’est même pas la peine de regarder ! Un demi-point pour Schwarzie parce que je l’aime bien !
Comment faire une mayonnaise qui ne prend pas. Le mélange drame-psychologique/film de zombie était un pari risqué. Schwarzy joue juste mais a du mal à être touchant, voir crédible. Sa jeune compagne rame autant. La mise en scène est molle et soporifique et l'ambiance sonore fait son effet à la manière d'un lexomil. C'est vraiment dommage car il y avait là tout les bons ingrédients pour faire mieux...
Dans les films de zombie, on connaissait le genre "sanglant et flippant" (ex: l'armée des morts) et on connaissait aussi le genre "amusant et fun" (ex: shaun of the dead ) mais j'avoue qu'avec "Maggie", un nouveau genre est né ... le film de zombie "dramatique et triste". Alors autant ça fait plaisir de voir Schwarzy dans un rôle de père assez émouvant, autant le scénario nous emmène sur un thème que tout les films de zombie on déjà utilisés au moins une fois (une-personne-que-vous-aimez-va-se-changer-en-zombie-après-avoir-été-mordue). Et c'est bien là le problème, car pendant tout le film, ... on attend ... et la transformation dure 3 semaines ! Et c'est long, ... très long, ... trop long. Le spectateur s'ennuie et on devine la fin du film dès le début. Donc si vous vous attendiez a du sang et des frissons, un épisode de "walking dead" fera bien mieux l'affaire que "Maggie".
C'est original, c'est intéressent, c'est bien joué, et l'ambiance est plutot réussi. Mais bon sang...qu'est ce que c'est que cette réalisation, les plans sont moches et bardés de symboles clichés et inintéressent, sans compter l'effet de flou que le realisateur a souhaité appliqué à presque toute ses scènes. Le sens en est évident, mais je regrette, c'est laid, et j'avais les yeux qui pleurait au bout de 30 minutes à force de scruter ces espaces flous, sans compter que tous les personnages sont filmés en super gros plan, au point qu'un quart de l'écran était envahis par son nez. Et j'exagere à peine. spoiler: Quant à l'histoire, elle lance une réflexion qui se termine abruptement sans reelement rendre interessente cette scène finale qui prend un symbole christique assez degueu. Lorsque le final cut arrive, un gout de cendre nous reste dans la bouche. Tout ça pour ça ? Finalement, je souligne l'effort, mais c'est malheureusement raté.
Plutôt duraille de faire jouer les gros dur à un acteur sur le retour. A plus de soixante berges, Arnold, un peu poussif dans les scènes de chizbroque, peine à retrouver son souffle. Pour pallier cet avaro cinématographique, Henry Hobson a mis le paquet sur l'émotion en taillant à Schwarzy un costard de daron aimant et responsable. Cerise sur le gâteau celui-ci n'aura pas manqué d'y ajouter quelques zombies, histoire d'être sur de ne pas verser dans le film d'auteur !
Un film de zombies intimiste qui est totalement centré sur le personnage de Maggie, l'évolution de sa "maladie" et le combat de son père pour la maintenir en vie. Un beau contrepied, de belles images, une tension, une émotion palpables et une excellente Abigail Breslin, mais quelques longueurs également. Le film intrigue plus qu'il ne déchaîne les passions.
Avant de reprendre son rôle de Terminator pour la quatrième fois, Arnold Schwarzenegger s'offre une parenthèse dans sa carrière d'Action Hero pour jouer dans Maggie, un drame sensible visiblement inspiré par la série The Walking Dead , première oeuvre du réalisateur Henry Hobson qui ne semble pas franchement attiré vers l'horreur. Un regard différent sur le genre pour spectateurs bien conscient de ce qui les attend.
Attention, si vous vous attendez à voir des hordes de zombies attaquer d'innocents survivants, vous vous êtes trompé de film. L'histoire de Maggie s'intéresse avant tout aux derniers survivants comme la série The Walking Dead en supprimant tout ce qui pouvait y apporter de la tension. Ici l'épidémie touche à sa fin et c'est à peine si l'on verra cinq créatures de tout le long métrage. Un long métrage que l'on peut difficilement qualifié d'horrifique et qui n'est d'ailleurs accompagné que d'un simple avertissement, ce qui veux tout dire.
La seule chose emprunté des films de George A. Romero c'est le fait qu'on ne nous expliquera rien de l'épidémie qui a touché le monde. Coupé du monde dans leur petit patelin américain, Wade et sa petite famille recomposé pense avant tout à eux. Il n'y a même pas besoin de sortir armé ou se barricader tant le danger semble désormais presque écarté. Ce qui a conduit au drame la pauvre Maggie qui en adolescente écervelée à voulu vivre une vie normale dans un monde qui ne le permettait plus.
En réalité les zombies ne sont qu'une excuse pour attirer en salles un public auquel au final le film ne s’adresse pas vraiment. On aurait très bien pu imaginer la même histoire avec une véritable maladie contagieuse en phase terminale. Le long métrage y aurait gagné en réalisme et en compassion. Les fans de films d'horreur attendent forcement avec impatience que Maggie se transforme là où le réalisateur voudrait qu'on s'émeut sur son sort en laissant traîner la transformation sur des semaines. Henry Hobson se plante sur toute la ligne et n'arrivera pas à nous faire verser une larme sur le sort de la pauvre Maggie.
Que dire des effets spéciaux lamentables du long métrage, la transformation progressive de Maggie en zombie est drôlement sommaire. Quelques veines qui noircissent et des yeux qui changent de couleur, on est très loin du splendide travail de KNB sur la série The Walking Dead. Même les morts vivants complètement transformés ne sont pas à la hauteur et ne font du coup vraiment pas peur.
Découverte dans Little Miss Sunshine, l'actrice Abigail Breslin avait réussi à échapper aux morts vivants il y a quelques année de cela dans l'excellent Bienvenue à Zombieland. Elle a eu moins de chance ce coup ci puisque c'est elle qui incarne Maggie, l'héroïne du premier film réalisé par Henry Hobson. Alors qu'on aurait pu craindre le pire, Arnold Schwarzenegger se montre vraiment étonnant dans ce rôle sensible qui lui va plutôt bien. L'ex-Mr Univers devrait sérieusement songer à se réorienter dans ce registre plutôt que de vouloir réincarner tous les personnages qui ont fait sa gloire.
Est-ce parce qu'il s'agit d'une co-production américaine et suisse que le film est si lent ? L'histoire de Maggie se traîne vraiment en longueur pour ne rien raconter. Mais le pire c'est que le scénario n'avait clairement pas besoin de morts vivants pour un tel sujet car cela aurait pu être bien plus émouvant avec une maladie réaliste. Henry Hobson cherche à rivaliser avec The Walking Dead avec encore moins de moyen qu'un épisode de la série. Les fans du genre risquent d'être très déçus comme ceux d'Arnold Schwarzenegger qui ne s'attendront pas à le voir jouer les papa gateaux au lieu de se castagner avec des morts vivants.
(...) Ici, le gore se dessine dans une esthétique réaliste, loin de l’hémoglobine pure du genre, vue sur la dernière décennie (et même plus). Hélas, hors des frontières esthétiques et de l’originalité, ne reste qu’un petit film à l’ambiance marquée, dégageant une vraie proposition mais surfant peut-être sur trop de diversité de ton. A contre-courant Henry Hobson est au minimum le dépositaire de sa propre grammaire cinématographique, qu’on demande à voir exploiter sur un sujet plus dense et moins classique. Reste donc l’interprétation très solide d’un comédien en la présence du colosse Shwarzie, surprenant dans un rôle dans lequel on ne l’avait pas encore vu. Emprunt d’une certaine mélancolie, « Maggie » reste entre l’objet de curiosité, et la bande démo autant pour son réalisateur que pour un acteur revenu de loin depuis son retour face caméra. Hélas, à force d’être trop dans le méditatif, rien ne s’élève au final de cette proposition.
Traiter les zombies en forme de drame, c'est original. Arnold joue dans un rôle inédit pour lui et s'en sort bien. Mais finalement l'ennui nous guette et on compte les minutes pour un dénouement ultra prévisible !
Belle prestation de Schwarzi qui réussit là une future reconversion dans des rôles moins robotiques...... je ne suis pas une machine, je suis aussi un humain semble-t-il dire....... sinon pour le film en lui même, on frise l'overdose zombiesque, bientôt sur les écrans zombies vs Sherlock Holmes..... l'histoire voudrait nous tirer des larmes mais...... ben non......
Dans un monde en proie à une épidémie transformant les hommes en ? A - chaises, B - zombies, C - femmes, nous suivons les derniers jours d'une jeune fille aux côtés de son père. Maggie est un film de B certes mais il traite le sujet de manière très intimiste, en se focalisant sur les relations entre ces deux êtres qui s'apprêtent à ? A - se dire adieu. B - écouter le dernier album de JUL en boucle pendant 72 heures. C - manger des raviolis en boîte. La présence d'Arnold est évidemment une des raisons pour lesquelles on se laisse tenter. Voir l'action man des années 90 endosser un rôle plus sobre où la charge émotionnelle doit être le maître mot intrigue. Et sur ce point, on peut dire que le résultat est mitigé ! Après avoir éprouvé quelques difficultés à rentrer dans le film à cause de son rythme et de la distance volontaire initiale entre les personnages, passé la première demie heure, les quelques rapprochements et les échanges viennent donner du relief à l'ensemble pour emmener le film jusqu'à son final. Sans crier à l'arrache-cœur, certaines scènes au demeurant très simples fonctionnent pleinement. Henry Hobson dont c'est le premier film en tant que réalisateur réussit à ne pas faire du larmoyant mais il ne retranscrit pas non plus pleinement l'impact émotionnel de son histoire. A l'image de l'adaptation de : A - "La route" B - "Garfield" C - "Twilight" qui n'atteignait pas le niveau des relations père-fils du livre, "Maggie" semble nous montrer deux êtres pudiques face au désastre personnel qui s'annonce. Indéniablement baigné de bonnes intentions, parfois secondé de belles images, le film a le mérite de prendre son temps pour nous offrir ce requiem sincère mais entaché d'un manque d'interprétation.