Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
0,5
Publiée le 29 mai 2015
nul . un sujet mal traité l amour d un père pour sa fille qui passe par des pseudos zombies......on y croit pas du tout . on s y ennuie a mourir et d ailleurs plusieurs personnes ont quittés la salle au milieu du film
Je crois qu'on peut difficilement faire pire que ce film. Moi qui étais heureux de revoir notre Shwarzy à l'écran, au final ça fait peine à voir. Son jeu est aussi triste que le scénario en lui même. Rien de nouveau : une histoire de zombies avec des contagions, des hémoglobines, de la morale et ... du vide. En fait, il n'y a rien à retenir car même la petite Abigail (qui a bien grandi) n'est plus à la hauteur de l'immense succès de "Little Miss Sunshine". Là, pendant 1h30 il ne se passe absolument rien, on s'ennuie ; les effets spéciaux ne sont pas terribles ; le scénario est cousu de fil blanc ; les acteurs sont d'une tristesse ; les clichés sont plus que jamais présents ; la bande originale est quasi inexistante ; même les scènes avec les "monstres" sont foirées et ne font ni peur ni rien du tout d'ailleurs. Là chose que l'on pourrait retenir sont les rares plans variés, le retour d'Arnold même s'il n'est pas réussi et puis ... c'est tout ! "Maggie" représente la définition parfaite de ce qu'est l'ennui et le gâchis. Rien de bon, tout de mauvais (ou presque à 95%) donc évidement, je ne le conseille à personne. 5/20.
Alors qu'une épidémie transformant les gens en zombie s'est propagée à travers la planète, le fermier Wade Vogel retrouve enfin sa fille, infectée par le virus. Refusant de la placer en quarantaine, il la ramène chez lui pour s'en occuper et profiter du temps qu'il lui reste avant que sa transformation ne soit définitive. Si l'approche dramatique d'un film de zombies avait de quoi séduire et pose une problématique intéressante, force est de constater que "Maggie" ne tient aucune de ses promesses. Mélodrame prévisible et terriblement mal écrit, reposant essentiellement sur des clichés dans un contexte original, le film vaudra surtout le détour pour voir Arnold Schwarzenegger s'essayer au drame, l'acteur se montrant plutôt convaincant dans ce rôle de père aimant et dévoué même s'il n'est pas aidé par des dialogues totalement ineptes. Une belle idée qui perd vite de son intérêt, se noyant dans des ficelles lourdingues, nous faisant vite souhaiter une fin rapide pour Maggie.
Un film lent, mou, sans passion, qui traite d'un sujet qui mérite un peu plus d'action et un peu moins d'actrices aussi molles que Breslin et Richardson. Vraiment dommage !
Une arnaque pour les amateurs de films de zombies, un drame psychologique creux et ennuyeux pour les autres. Une épidémie transforme de braves gens en zombies, et les personnes contaminées sont priées de se rendre en zone de quarantaine au plus vite. Sauf que Schwarzie c'est pas un rigolo, il décide donc de garder sa fille, mordue par une de ces créatures, aupres de lui, quitte à braver les forces de l'ordre (comprenez par là les deux flics rednecks de son village). On essaie donc de suivre sans s'endormir la dégénérescence de l'adolescente dans la maison familiale à grand renforts de fausses scènes de suspense et de dialogues lénifiants sur fond de piano. le film est classé (-10) pour faire plus d'entrées ciné, ce qui explique sa platitude générale. Le scénario est quant à lui très vide... A fuir!
Le rythme est effroyablement lent, l'atmosphère opaque, les personnages sans vie. Cette façon d'utiliser les flous et les plans "icôniques" avec peu de dialogue sied bien à Schwarzy en masquant ses imperfections d'acteur, mais à force d'"utiliser l'outil estompage" un peu partout, on s'ennuie ferme dans ce brouillard sans aucune inspiration.
Avant toute chose, ce qui distingue Maggie des autres productions post-apocalyptiques traitant de virus et autres infections bactériologiques transformant les humains en créatures déambulant à la recherche de viande fraîche, c'est l'approche familiale qu'il adopte. Ainsi, point de courses-poursuites enchaînées, d'hémoglobine de masse ou de membres disloqués, Maggie se contente d'aborder la relation de proximité entre un père (Arnold Schwarzenegger) et sa fille (Abigail Breslin), infectée, dans un monde soumis à la peur et au désespoir. Premier constat : il ne s'agit nullement d'une production véhiculant sa dose d'action, puisqu'elle adopte un développement lent et pauvre en dialogue. Ici, ce sont les regards qui témoignent, les émotions qui communiquent. Intention louable, et novatrice pour le coup, l'accroche reste néanmoins difficile, en dépit des efforts payants d'un ex-Gouverneur qui exp(l)ose enfin ses réelles capacités d'acteur. Point fort du métrage, Schwarzy est remarquable, mais est-ce suffisant pour qualifier le film de réussite ? Pas si sûr....
Maggie avait tout pour plaire. Un joli visage, un physique et des formes plutôt avantageux, mais surtout, un caractère particulier. Et c'est ce qui manque au film en lui-même : une réalisation attractive et un casting qui pourrait véritablement nous émouvoir. Car Schwarzenegger possède un jeu soit trop brusque, soit trop mou, ce qui nous laisse de froid face à sa tristesse ou son amour envers sa famille, ou plus précisément pour sa fille. Breslin ne surprend jamais guère : son interprétation, à défaut d'émouvoir, fait du sur-place, tout comme le film qui crée un huis-clos barbant sur de la musique de grande dramaturgie... Épuisante. En plus de ces défauts qui insistent en revenant durant toute la durée du long, Henry Hobson frappe d'un coup de contemplatif tous les détails d'une seule pièce, faisant dérégler notre patience à plus d'un titre, outrageant sa méthode, ne se réinventant JAMAIS, ne réparant JAMAIS son ozoneur (cassé dès les premières minutes), il est fabriqué ici un véritable flou artistique avec lequel l'impression de fin n'intervient JAMAIS. À force d'équiper d'un poids chaque technicité, Hobson forme un palis autour d'un troupeau de brebis en feu. Inatteignable, car trop arrosé. Le geste est admirable, mais le rendu n'est malheureusement pas équipé d'un palladium face aux critiques.
Maggie n’est ni un film centré sur l’héroïne de la série The Walking Dead, ni la suite de Bienvenue à Zombieland (avec Abigail Breslin). Et encore moins un blockbuster musclé dans lequel Arnold Schwarzenegger flinguerait des hommes revenus d’outre-tombe… Pour son premier film, Henry Hobson traite d’un thème clairement à la mode ces derniers temps sur le grand et le petit écran : le zombie. Mais comme dans la série phare d’AMC, ne vous attendez pas à...
Venez découvrir ma critique dans son intégralité sur mon site ScreenReview !
C'est lent, très lent... quelques notes de piano, une ambiance pesante, très pesante, glauque et un finish sans saveur... Dommage, il manque de la profondeur au film et une intrigue plus clinquante. J'ai rien vu de plus sur ce film que sur un autre film du genre... Un "The last of us" en beaucoup moins bien....
Un melange de genre pas vraiment reussi , un rythme assez lent , un lumiere sombre , des acteurs moyen et donc au final pas vraiment d'interet pour ce film.
C'est mou, c'est lent, ça n'en fini pas... Après ça, je peux argumenter, pour les personnes qui veulent plus d'explications.
L'idée d' Henry Hobson de vouloir tourner la zombification comme une maladie à gérer, plutôt que comme un fléau plongeant le monde dans un cataclysme, et un bain de sang où quelques survivants essaient de survivre, n'est pas mauvaise. Mais, juste l'idée... Je ne serais dire si ça vient de l'acting ou des dialogues, ou juste du fait qu'on dirait que le film a été tourné sous "Prozac", mais en ce qui concerne l'aboutissement, c'est juste totalement raté ! On sent que le réal a tenté de donner une couleur dramatique, un coté humaniste, une émotion, sans malheureusement y parvenir ne serait ce que 5 minutes. Classé ça dans épouvante ? Je l'aurais plutôt mis dans somnifère. Hobson aurait pu semer de ci, de là des scènes d'actions, pour rythmer un peu le tout,ou au moins par pitié pour ta femme qui t'entend ronfler comme un porc depuis plus d'une demi heure, mais non... Il a cru bon qu'avec trois de notes de piano et un tempo à 30 BPM, une larme de Shwarzi et une petite brune, l'affaire était dans le sac... Bref... il y avait mieux à faire, qu'enfermer l'histoire "limite" dans un huit clos, avec des acteurs qui ne peuvent pas assumer ne serait-ce qu'une minute de monologue.
Alors oui c'est un film de zombies mais rien à voir avec Walking Dead ou les créations de Romero. Ici, on est dans l'émotion avec un Schwarzenegger désirant protéger sa fille contaminée. Mais l'histoire est d'une longueur qu'on perd peu à peu l'intérêt de ce genre de long métrage...
Si Maggie eut été finalement ce que l'on aurait souhaité c'est-à-dire un film de zombies ou Arnold Schwarzenegger dégomme à tout va des morts-vivants tout en protégeant quelques rescapés dont sa fille on aurait sans doute à défaut d'originalité gagné par contre en efficacité. Malheureusement Maggie est décevant car passé les 15 premières minutes qui sont pas mal, cela tourne rapidement en rond, on suit une histoire peu prenante et n'ayant rien de palpitant, le rythme est souvent mou et la réalisation pas inspirée des masses. Arnold Schwarzenegger s'en sort plutôt bien dans un rôle dramatique dommage pour lui que ce film ne soit pas une réussite.