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    Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare
    Note moyenne
    3,0
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    368 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mars 2013
    Plutôt cool!
    J'ai beaucoup aimé l'histoire et la façon dont on la vie. Keira y est très attachante et Steve tout à fait convaincant.
    Tonantzin D
    Tonantzin D

    28 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    excellente comédie jouant sur lecôté délirant autant que dramatique d'une fin du monde pour éviter toute niaiserie.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 226 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Premier long-métrage pour Lorene Scafaria (scénariste de Une nuit à New York - 2008) qui réalise avec Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare (2012), un road-movie existentiel sur fond de film apocalyptique et de comédie romantique, plutôt original n’est-ce pas ? L’ennui, c’est que le film s’avère être au final un banal road-movie avec en guise de happy-end, une romance "cul-cul" hautement prévisible. Ajoutez à cela une Keira Knightley dans la peau d’une délurée (qui continue de surjouer et qui s’avère au final peu convaincante) face à l’excellent Steve Carell (en cocu dépressif). Mais là où la réalisatrice en herbe nous séduit le plus, c’est dans la tournure humoristique que prend le film, avec une présence assumée tout au long d’un humour noir désopilant auquel on ne s’attendait pas forcément et de quelques running-gag (certes faciles) entre Dodge (Steve Carell) et sa femme de ménage. Il en résulte au final une comédie assez conventionnelle mais suffisamment plaisante et drôle pour faire abstraction de ses défauts.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 février 2013
    pas encor vu le film mai ma keira knightley na rien a faire dans se genre de film..alors je pense pas le regarder en fait.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2012
    Il y a tout juste un an, on assistait à un Mélancholia qui nous laissait dans un état de choc, les pupilles dilatées, la bouche béante, le poux accéléré. En tout début 2012, on prenait une seconde claque en regardant le très bon Take Shelter.
    Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare est le troisième film apocalyptique qui sort en un an, mais celui-ci propose un traitement très différent des deux précédents. Ceux-ci étaient fatalistes du début à la fin, très portés sur la forme, et avec une vision totalement pessimiste sur le comportement humain face à l’inévitable fin. Ici, on aborde le sujet par la comédie. Pas une comédie qui fait rire aux éclats, non, mais qui nous fait sourire et nous poser tout un tas de questions. Et tout dans ce film est crédible au plus haut point. Tout. C'est l'immense qualité du film. Son traitement nous laisse espérer une fin heureuse alors qu'on sait depuis le départ que la Terre vit ses dernières heures. Et pourtant, on se laisse avoir par cette légèreté. Que faire quand on sait que la Terre va disparaitre dans trois semaines ? Et bien, sensiblement la même chose ; tondre la pelouse, continuer d'aller au travail, faire le ménage... Car quoi faire sinon ? Nous serions perdus sans nos activités habituelles, semble nous dire Lorene Scafaria, la réalisatrice. Et je pense qu'elle a bien raison. Alors certes, les conneries se font un peu plus intensément ; on baise sans capotes, parce qu'à quoi bon se protéger quand on est certain de mourir dans la quinzaine ? Mais les gens restent attachés à leur mode de vie jusqu’à la fin. Le déroulement du film, du scénario, se fait avec une grande justesse. Le film prend son temps, comme pour laisser le spectateur penser que tout va bien. "There is no rush !" Il n'y rien à faire, juste à attendre l'inévitable. Il faut aussi parler de Steve Carrell absolument éblouissant dans ce rôle, le meilleur de sa carrière. Il devrait y avoir dans les Oscars une nomination pour l'homme qui a le plus progressé, comme en sport, et il serait sûr de gagner celui là. Il éblouit l'écran lors de la séquence finale qui est d'une force innommable. Et alors que le générique de fin défile à l'écran, le film continue dans votre tête. Vous vous repassez les images, vous rendez compte du cheminement, vous demandez ce qui valait la peine d’être fait, ce que vous auriez fait. Assurément un film qui marque.
    Joseph G.
    Joseph G.

    47 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 octobre 2012
    Vraiment pas terrible... N'ai pas eu le courage d'aller au bout de ce navet
    Comment certains bons acteurs peuvent faire cela ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 31 décembre 2012
    J'étais intriguée par l'improbable duo Carell/Knighley plus que par le sujet lui même. Malheureusement le film n'a aucun sens.
    Sebmagic
    Sebmagic

    173 abonnés 1 128 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 décembre 2012
    Pour continuer dans la lignée des films sur la fin du monde, Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare (dont le titre original prend bien plus de sens que celui-ci) prend le risque de faire de ce thème une comédie romantique, tout en restant dans le drame. Récemment, l'humour n'a pas vraiment eu sa place dans le cinéma apocalyptique (ce qui n'est pas un défaut lorsqu'on voit les merveilles qui sont sorties en salles). Ici, Lorene Scafaria a créé un magnifique film qui amuse sans lourdeurs, sans jamais oublier le fond dramatique de la situation. On a donc une trame plus légère que les films du même style, moins oppressante, mais tout aussi savoureuse. A vrai dire, j'avais un peu peur que le film ne soit trop centré sur l'humour et les mauvaises vannes, et je trouvais que l'idée manquait de cohérence. Mais lorsqu'on connait Steve Carell et ses talents d'acteur exemplaires, on ne peut que savourer ce mélange de drame et de rire. Le film alterne les situations cocasses et les situations plus tristes, grâce à des personnages très attachants. Les deux protagonistes sont seuls et paumés face à cette catastrophe et vont s'entraider, pour rattraper leur passé et tenter de chercher quelqu'un avec qui partager ses derniers instants. Steve Carell est comme toujours extrêmement efficace, que ce soit dans la comédie comme dans le tragique. Il est dommage que cet acteur de génie semble passer un peu à côté de sa carrière alors que son potentiel est colossal, mais ce film rattrape bien sa filmographie à mon goût. Quant à Keira Knightley, elle m'a fait un peu peur au début, la faute à son léger surjeu habituel qui se dissipe au fur et à mesure que le film passe. Lorsque l'histoire tourne au road-movie romantique, elle s'avère bien plus juste qu'au début, et de plus en plus touchante et crédible, devenant plus folle, se lâchant totalement. Les deux acteurs sont très complices, chose que je redoutais également avant de voir le film car ils ne paraissaient pas compatibles. Pourtant, le duo fonctionne à merveille, il s'avère cohérent et prenant jusqu'au bout. Grâce à leurs talents combinés, le film grouille de scènes mémorables. La scène d'ouverture place tout de suite le film dans une ambiance toute particulière, on sent que derrière les aspects humoristiques vont se cacher des enjeux dramatiques, et cette première scène plutôt tendue annonce d'ailleurs la couleur de la dernière. Autrement dit, le film s'ouvre et se conclut de façon sublime. Entre deux, on a affaire à une comédie romantique qui ne sombre dans aucun cliché, même lorsqu'il s'agit des relations familiales. Carell et Knightley forment un duo somptueux qui n'a cessé de me faire rire ou de m'attrister. La scène où ils discutent sur fond de tourne-disque est pleine de nostalgie et d'émotion, tout comme les profonds regards des acteurs qui parviennent à faire subtilement passer ce que les personnages ressentent. De nombreuses scènes, comme cette dernière, se jouent sur les regards et les silences, ce qui permet au film de prendre son temps et de nous laisser savourer chaque moment en même temps que les personnages, qu'ils discutent ou se tiennent simplement la main sur la plage. Je ne vais pas m'éterniser sur la dernière séquence du film afin de ne pas trop en dévoiler, mais je peux dire que j'ai pris mon pied à la contempler, fortement ému par la situation et le dialogue bouleversant qu'entretiennent les deux protagonistes. L'idée est fabuleuse et puissante, et j'ai eu plusieurs frissons lorsque j'ai compris de quelle façon ça allait se conclure. Outre toutes ces qualités, si j'ai autant apprécié ce film c'est indiscutablement grâce à la BO. Les musiques sont minutieusement choisies et correspondent parfaitement à l'esprit des scènes qu'elles accompagnent. La plupart du temps, les scènes concernées sont magnifiées par le son, avec entre autres The Beach Boys, Scissor Sisters, The Hollies, ou encore la sublime musique pleine de nostalgie "Dodge Walks Home/The Beach" de Rob Simonsen & Jonathan Sadoff qui reste pour moi la merveille de ce film. Sans oublier "This Guy's In Love with You" de Herb Alpert & The Tijuana Brass, qui passe pendant le générique final et nous laisse avec une sensation plutôt mélancolique et donne envie de rester savourer ce générique jusqu'au bout. Nul doute que j'écouterai ces deux derniers titres un bon moment. Bref, pour conclure j'ai absolument adoré ce film, qui n'utilise pas les codes de la comédie grossière ni ceux du mélodrame exagéré. Pour un premier film en tant que réalisatrice, Lorene Scafaria a tapé fort je trouve, parvenant à parler de la fin du monde avec douceru, légèreté et émotion. C'est tout ce que j'aime voir au cinéma.
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