Derniers Avis : Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare - Page 22

Je m'attendais à un truc pathos et finalement le réalisateur à réussi à faire d'un film au sujet obscur quelque chose plein d'espoir. Certainement pas un monument mais une bonne surprise.

Un film très ennuyant, les scènes sont longues et pas très drôle. Le temps est passé lentement. Bref je n'ai pas aimé.

Film raté malgré une idée originale, qui alterne entre pathos pas émouvant spoiler: (le suicide par tueur à gages)
et grotesque pas drôle (le "restopôtes"). Néanmoins, vers la fin, quelques scènes dans lesquelles les 2 personnages se retrouvent seuls tous les deux sont plus réussies sans doute grâce aux talents de Steve Carell et Keira Knightley. Bizarrerie, au début du film on a un décompte des 21 jours sur lesquels se déroule l'intrigue jusqu'à -12 jours et après plus rien! Autre bizarrerie, pendant 21 jours, les personnages ne changent pas de fringues (sans doute le budget costumes était-il réduit)!

Un type un peu "contemplatif" et une nana toute jeune se rencontrent à quelques jours de la fin du monde. S'en suivent des saynètes basées sur les réactions des gens face à l'inéluctable destin. Puis, un road-movie avec différentes rencontres... Moi j'ai pas compris où ça voulait en venir. Je me suis ennuyé grave. Bref, un bon navet à éviter !

Un excellent sujet de depart avec une premiere demi heure correct puis completement gache par le cote romantique de plus en plus mievre jusqu'a la fin.Vraiment dommage car le sujet etait en or et les acteurs pas mal.

Mignon, petite comédie sentimentale. ils auraient pu jouer d'avantage sur le thème sympa de la fin du monde. Voir les effets plus psys sur l'homme. un moment doux.

L'idée de départ est intéressante et c'est pas mal filmé. L'ambiance générale de cette fin du monde permet de bien se mettre dans la situation.
En revanche, on attends pendant tout le film que ça décolle un peu. La plus grosse surprise est qu'il n'y en a pas. Légèrement soporifique une fois passé le concept de départ

Très bon film, l'histoire est déjà vue mais le jeu d'acteur est très bon, un très bon moment de à passer.

Cela commence très bien, sur un mode humoristique, c'est la fin du monde, mais la vie continue, d'où des dialogues décalés et humoristique, comme la station de radio, l'épisode dans le bureau du directeur, puis cela se gâte avec la voisine horripilante à souhait, que l'on envie de baffer. Une sorte de nunuche mal dans sa peau, qui n'arrête pas de parler, reçoit par erreur le courrier du voisin de palier, oublie de lui donner mais conserve et range précieusement toutes les lettres.
Les incohérences sont légions, certaines sans doute voulues spoiler: l'électricité et le gaz fonctionnent jusqu'à l'ultime seconde, mais les transports aériens sont tous arrêtés on ne sait pourquoi, il faut bien justifier la balade en voiture, les trains non plus ne doivent plus fonctionner. Suite a des émeutes et le feu, Dodge s'enfui de son logement avec la voisine, pour revenir dans le même appartement parfaitement intact en fin de film. Les parents de Penny sont en Angleterre (ou Nouvelle-Angleterre, je n'ai pas bien compris) En chemin, Penny retrouve un ex, ancien marine, fin prêt pour la fin du monde et qui possède un téléphone satellite, bien pratique pour la scène cul-cul où elle appelle ses parents, qui bien sûr répondent tout de suite, à peine le numéro composé. Dodge retrouve un père perdu de vue depuis 25ans, et c'est rebelote pour la scène violon. Par chance, le père est pilote et possède son propre avion, un bon vieux Cessna, pratique pour emmener une Penny endormie retrouver ses parents, à part qu'un Cessna n'a surement pas l'autonomie pour cela. Passons sur la smart, elle aussi à l'autonomie incroyable, les personnages toujours propres et bien maquillés, malgré qu'ils se soient enfui sans rien et que le voyage dure des jours, avec une mention spéciale pour les ongles impeccablement vernis. En plus, en gros plan, le maquillage est terriblement visible. Penny réapparait comme un cheveu sur la soupe à la fin du film, une fois réveillée, elle a simplement demandé au paternel de faire demi tour (mais où donc le Cessna a bien pu se poser en ville ?)

Au final, on obtient une suite de scène plus ou moins drôle, simplement reliée entre elle par le pauvre fil conducteur de la relation entre Dodge et Penny.

Comment dire, je m'attendais à un film comique, je suis tombé sur un film mélancolique... Et ca fait du bien ! Deux acteurs placés ensemble de maniere improbable et qui fonctionnent bien. Certes quelques répliques sans sens, mais un fond très généreux en matiere de reflexion : qui sommes-nous ? Qu'est ce que vaut un etre humain ? Est-ce que l'on peut vivre seul ? Et si on nous annoncait la fin du monde dans 21jours, comment réagirions nous ( perso, je me la colle grave puis je croise Keira Knightley telle qu'elle est ds ce film) ? Une superbe bande son qui rappelle certains souvenirs... Bref un film qu'il est bon de voir : sans fioritures, sans cascades folles, sans Armageddon ( bien appréciable aussi dans un autre genre). Vivons la vie à pleines dents, car nous n'en avons qu'une seule et qu'elle peut etre abrégée sans qu'on le sache... Keira, je t'aime !

Prenez deux personnes normales, une situation à laquelle il est impossible d'échapper, donnez leur un maximum d'opportunités et de choix à faire, laissez-les faire ces choix, ajoutez-y une réalisation et un scénario impeccable et vous obtiendrez cette petite pépite... Steve Carell et Keira Knightley sont excellents, bref, un film à voir absolument.

Franchement, je suis plutôt fan des films de keira, mais alors la ... Payer 6€ une place de cinéma pour voir un film qui ne fait ni rire ni pleurer, ou mourir d'ennui, je dis non. Je comprends qu'il soit diffusé dans une salle aussi minuscule. En gros, le film est nul.

Une version américaine de Melancholia, donc pas aussi exigeante tant du point de la philosophie (Dieu beaucoup trop présent) que de l'image, mais la sensiblerie des bons sentiments romantiques est touchante. Et puis malgré les longueurs dans les discussions sans intérêts on trouve beaucoup de questions pertinentes sur le sens de nos existences (ou l'absence de sens plus exactement). Au détour d'une fête d'apocalypse, déglingos mais pas trop, on se lâche, on prend de l'héroïne, oui mais on veut on prendre sur du Radiohead. Et c'est aussi ce que j'apprécie beaucoup dans ce film, c'est la place qu'il donne à la musique, au coeur de nos vies. Comme dit le jingle: "la vie est trop courte, choisissez bien la bande-son qui va avec". Et enfin même si ce n'est pas Lars Van Trier à la réalisation, ce que j'apprécie, c'est la qualité des plans rappochés sur Steve et Keira. Steve vu d'en haut est même beau (et pourtant quel pif!), et Keira resplendit parfois. Ce petit défaut de dentition que je n'avais jamais remarqué avant chez elle la rend hypnotiquement attirante. Même les inconditionnels des fortes poitrines auront un petit pincement au coeur. Il faut dire aussi qu'elle a de sublimes jambes. Mais bon, je m'égare un peu. Ah non, aujourd'hui c'est la Saint Amour , ce qui à mon sens serait un meilleur jour pour fêter les amoureux que la Saint-Valentin, qui est ce connard de Valentin d'ailleurs? Enfin, je m'en fous, une femme m'a dit aujourd'hui qu'elle était fière de moi, je lui ai dit merci, voilà, tout est dit. Bisous à vous.

Un film mélancolique un brin déprimant (et dépressif), qui aurait eu plus a y gagner en originalité en jouant la carte de l'humour (entamée brièvement en début de film) plutôt que celle, un peu facile, du drame. Du coup le film ne décolle jamais, se contentant un peu du minimum syndical avec une certaine paresse. Reste qu'on suit les derniers jours de ce couple sans déplaisir, si ce n'est dans les 3 ou 4 scènes vraiment ratées de dialogues mous et sans intérêts qui ponctuent le film. Raté, mais regardable quand même.

Sur un pitch absolument génial la réalisatrice tire tout d'abord une comédie exceptionnelle où chaque trouvailles peut déclencher un fou rire général! Steve Carell et Keira Knightley sont absolument géniaux en ploucs paumés dans ce monde qui se barre en couilles! Le vrai problème c'est la seconde partie du film qui s'installe dans un mélodramatique et sentimentalisme ridicule... C'est bien dommage de ne pas camper ses positions et de vouloir tout mettre en un seul film... Il faut souligner que même si les personnages secondaires sont sacrifiés dans ce scénario, William Petersen et Martin Sheen sont géniaux!