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Un visiteur
3,0
Publiée le 1 septembre 2012
Dans une scène, quand Knightley pleure, j'ai cru revoir "A Dangerous Method" où elle fait sa Gollum. J'ai vraiment du mal avec elle ^^'. Toutes les scènes où ils n'étaient que tous les deux m'ont un peu ennuyée, mais sinon, le reste, c'était sympa. J'ai bien aimé le chien, les guests (y avait Britta de "Community", deux types de "Children's Hospital" et Jerry de "Parks and Rec", j'en passe et des meilleurs) notamment Connie Britton (trop contente de la revoir) ! J'ai adoré le concept. Vraiment. C'est là qu'à notre tour on se pose les questions habituelles, qu'est-ce qu'on ferait si c'était la fin du monde ? Est-ce qu'on continuerait à suivre la loi ? (La réponse est toute trouvée pour moi, c'est sûr que non...) Il y avait quelques bonnes réflexions, j'ai bien ri à certains moments, et je trouve qu'ils ont bien gardé leur fil conducteur tout au long de l'histoire. Mais punaise, le couple principal, qu'est-ce qu'il m'a saoulée. Je trouve que Carell ne fait que les mêmes rôles actuellement, le type ringard de service. Coincé et tout. C'est mieux que quand il jouait le comique de service, mais depuis "Little Miss Sunshine", il ne fait que des rôles "rigides"... Un peu dommage :'/.
le film faisait pensé à un genre catastrophique et ben franchement,et ben j'ai été assez surprise du style du film qui fut à la fois comique dramatique et romantique.en effet,'est tout le contraire qui se passe,ce n'est pas du tout à ce à quoi on s'attend au vu du titre " jusqu'a ce que la fin du monde nous sépare ".bonne interprétation des 2 acteurs principaux qui jouent bien et n'ont pas du tout peur de la fin du monde ils profitent des deniers instants pour vivre leur vie pleinement comme ils ont jamais faits.
Un film mélancolique un brin déprimant (et dépressif), qui aurait eu plus a y gagner en originalité en jouant la carte de l'humour (entamée brièvement en début de film) plutôt que celle, un peu facile, du drame. Du coup le film ne décolle jamais, se contentant un peu du minimum syndical avec une certaine paresse. Reste qu'on suit les derniers jours de ce couple sans déplaisir, si ce n'est dans les 3 ou 4 scènes vraiment ratées de dialogues mous et sans intérêts qui ponctuent le film. Raté, mais regardable quand même.
Après "2012" de Roland Emmerich et "Melancholia" de Lars Von Trier, voilà un nouveau film qui nous promet une apocalypse imminente. Mais puisque l'éternellement souriant Alain Cirou nous l'écrit depuis longtemps : en 2012, la fin du monde n'aura pas lieu ! Il faut vous le dire comment ??? Néanmoins, le sujet de ce nouvel accès de catastrophisme est assez intéressant : que ferait-on des jours qu'il nous resterait à vivre si on savait notre mort prochaine et inéluctable ? Malheureusement, celui-ci est assez mal traité et j'ai eu du mal à comprendre si "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" était une comédie (ce que la présence du pas très drôle Steve Carell pourrait nous laisser penser de prime abord) ou autre chose. Ce qui donne une oeuvre bancale et de toute façon improbable car on voit mal comment la douce Keira Knightley pourrait s'enticher du plus tout jeune Carell. Il est d'ailleurs clair que j'aurais vachement plus de chances que lui avec elle. Ceci dit, je ne me leurre cependant pas : ma fabuleuse histoire d'amour avec Keira n'aura hélas pas lieu.
Cet habile mélange entre la comédie romantique et le film apocalyptique se révèle sans surprise mais le résultat est sympathique. Le film insiste beaucoup sur ce questionnement : que faire du temps qui nous reste à vivre avant la fin du monde ? Une question qui trouve sa réponse avec ce road-trip mené avec mélancolie par Steve Carell et Keira Knightley.
Que feriez vous si vous saviez qu'il ne vous reste que 3 semaines à vivre ? Accepteriez vous de finir vos jours seuls ? Voilà le postulat et la réflexion de ce beau road movie avec le couple Steve Carrel et Keira Knightley qui continuent à se chercher et à donner un sens à leur existence sachant que la fin est proche. Sous ces airs calmes et malgré quelques longueurs l'émotion nous saute en plein visage à la toute fin du film ce qui prouve la réussite de Lorene Scaferia. On regrettera juste de ne pas avoir plus d'illustrations sur la réaction des uns et des autres. Illustrations que nous avons de manière partielle tout au long du film avec des conséquences diverses selon les personnages rencontrés. Une histoire originale qui fait réfléchir une fois le clappe de fin passé.
Tromperie sur la marchandise ! Ce film parle à peine de la fin du monde et de comment les gens réagissent à cela. On se retrouve avec une comédie-romantique-road-movie, rempli de bon sentiment qui n’ose pratiquement rien. C’est souvent téléphoné et on ne peut plus classique. Le film reste trop sérieux, les seuls points qui auraient pu être marrant sont à peine effleurés, pour ne pas trop choqué, pour mettre en avant des sentiments plein de guimauve et donc on s’ennui devant l’écran. Le long métrage est également remplie de fausses bonnes idées qui sont soit disant drôle mais que j’ai trouvé ridicules (le suicide, le flic entres autres) Le duo d’acteur sauve un peu l’ensemble, ils sont touchants et attachant, ils nous font sourire de temps en temps mais l’ensemble n’apporte rien de nouveau au genre, Encore un film qui n’ose pas et donc franchement pas terrible …
voilà un opus surprenant ! je n avais jamais vu une fin du monde aussi paisible et calme. on a presque tendance à l oublie. sûrement dut au bon duo d acteur qui porte l histoire. malgré tout le film est charmant par son ambiance d une grande légèreté mais hélas complètement dénué d intérêt, cette histoire de Road movie post fin du monde est nulle trop facile on devine à l avance. on tombe dans une forme de pathétique pas très intéressant.le scénario est trop faiblard quel dommage. il s agit la du principal défaut du film car l ensemble et la mise en scéne partaient d un bon sentiment.
Je m’étonné de ne pas voir d’autres films parlant cette fameuse théorie houleuse de fin du monde en 2012, et voilà que « Jusque à ce que la fin du monde nous sépare » déboule (enfin) en salle. Quelle fut ma surprise de voir que Ben Stiller (Little Miss Sunshine) et Keira Knightley (Pirates des caraibes, Domino, ) savaient encore joué la comédie, et dans un très bon film qui plus est !% En gros, deux âmes perdues, marginales, à la vie dure et la personnalité originale se retrouvent curieusement sur la même route. Ce duo d’acteurs, a, il faut l’avoué une drôle d’alchimie, qui n’est pas pour me déplaire, mais pour en revenir au sujet du film, ça parle de tout ce qui vaut la peine d’être vécu et d’exister dans nos pauvres et tristes vies de citoyen lambda. (l’amour surtout en fait…) Bref, ce film est super et pour une fois la fin vaut vraiment le coup d’œil, alors courez vite voir ce film !%
Même si le film se perd dans des dialogues d'une longueur et d'une banalité soporifique, il faut avouer que "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" (titre on ne peut plus explicite) confond intelligemment différents genres ; de la romance improbable à la catastrophe apocalyptique en passant par un road-movie léger et comique. Cette nuance est très subtile car cela influe naturellement sur les émotions du spectateur qui peut passer du fou rire aux larmes, du regard alerté au sourire détendu. Délicat, juste et mené de front par deux acteurs à la sensibilité imposante, le scénario est d'une originalité sûre et dérangeante. Comment cela se passerait-il si l'on apprenait qu'un astéroïde s'apprêtait à percuter la Terre de plein fouet en y supprimant toutes vies, et cela dans les trois semaines à venir ? Le chaos prend place, le monde se détruit et les personnalités se détraquent. J'ai trouvé les scènes très bien imaginée, à la fois imprévisibles et effrayantes. C'est pas parce que c'est une histoire d'amour qu'il n'y a pas de suicides, de chiens abandonné ou des personnes qui décrochent de toutes leurs responsabilités, engagements ou repères jusqu'à perdre totalement la tête... L'humour est noir, parfois totalement absent. De cette surface comique, qu'est le duo Carrell / Knightley, le film délivre un côté peu rassurant de l'Homme et de l'Histoire du monde (si proche de nous, 26 décembre 2012....) et répond parfaitement au fait qu'on est un petit rien dans l'univers, une fourmi en quête de sentiments et de tendresse. Ce qui est remarquable, c'est que la réalisatrice réussit à créer une histoire d'amour entre deux opposés, que ce soit les personnages ou les acteurs, car on n'imagine absolument pas Keira Knightley et Steve Carell ensemble... Et pourtant, le contexte est si envahissant et la fin si brutale qu'on se laisse y croire sans soucis, les mots sortent plus vite et les sentiments ne se cachent pas bien longtemps. Même si c'est selon moi le grand défaut du film, à savoir son côté bavard, les deux personnages sillonnent le pays en quête de dernières volontés, dernières personnes qu'ils souhaitent revoir avant la fin. De longues scènes de parlottes viennent faire irruption, où les personnages parlent du passé, de leur entourage, de ce qui va leur manquer ou pas, de leurs sentiments,... Heureusement, le début est super, notamment les scènes du bureau ou celle du bar où tout le monde est ami, c'est à mourir de rire. Avec de vieilles musiques en guise de bande originale, l'amour naît entre une Keira tantôt souriante tantôt pleureuse et un Steve discret mais riche en émotions. C'est magnifique alors qu'au fond, c'est rien du tout.
Le prétexte de la fin du monde (l'approche de décembre 2012 inspire fortement les scénaristes...) pour exacerber les sentiments : ou comment chercher un sens à sa vie lorsque l'on sait sa mort prochaine. Pas d'apocalypse, d'effets spéciaux, d'hystérie, de folie ; rien qu'une étude réaliste, plus réfléchie et pleine d'espoir. Les personnages s'attachent encore étrangement à leur quotidien, aux moindres détails de leur vie passée, comme pour mieux en jouir, la savourer ; la plupart choisissent de vivre, aussi simplement possible, plutôt que de succomber au chaos. C'est l'histoire d'une rencontre improbable, une histoire d'amour sans fioritude, une histoire d'humain, avec leurs blessures, traversée de personnages croustillants, un road movie halluciné qui n'oublie pas d'être drôle, optimiste, avec cette pointe d'émotion qui en fait une oeuvre simple, touchante, troublante et surtout émouvante. On ressort de ce film en se disant que dans la vie, rien n'est une perte de temps, tout a un sens. Même si le réalisateur parait un peu coincé entre ses dialogues, un peu trop discret et que le jeu est par moment tout juste (heureusement pas sur l'ensemble du film), cette oeuvre atteint pleinement son but : nous donner la pêche tout en nous parlant de la fin du monde. Bref, en gros ; je me suis bien amusé même si effectivement je n'ais pas rit aux éclats (mais là n'était certainement pas le but) ; je ne me suis pas spécialement ennuyé même si la mis en route peut paraitre un peu longuet (comme dans bien nombre de films). On accroche vite par la suite et l'empathie des personnages nous suit dans leurs aventures... Conclusion, pari réusii! Du bon divertissement, ou l'on nous fait pas dans l'excès coté sexe, vulgarité et je ne sais quoi pour faire rire ou apprécier une production aux spectateurs. A voir sans aucun (mais, bon il faut tout de même adhérer un minimum à Steve Carell et Keira Knightley qui tiennent une grande part dans le film). Apres, a vous de voir...
Pour son premier long métrage, en tant que réalisatrice, Lorene Scafaria ne manque pas d’audace. Ce film est inhabituel, extravagant et sentimental. Cette fin du monde reste étrangement calme et même euphorisante. Le scénario a du mal à tenir sur la durée, et la réalisation assez biscornue manque de finesse. Il n’en reste pas moins quelques jolies scènes, attachantes, parfois joyeuses. Je reste étonné d’avoir été ému par le jeu de Steve Carell, mais c’est ainsi. Il porte le film de bout en bout. Keira Knightley se cherche encore. La BO est réjouissante et la fin particulièrement réussie. Peut-être parce qu’il y est question de l’essentiel. Tout simplement d‘amour. http://cinealain.over-blog.com/categorie-12061735.html
Jusqu’à ce que la fin du monde nous sépare est un film de science fiction et une comédie romantique. Drôle de mélange mais finalement plaisant. Le film oscille entre humour noir, mélancolie et réflexion sur la vie et la mort. Les deux héros Steve Carell et Keira Knightley sont à eux seuls sur l’affiche un ovni ! mais le couple mal assorti fonctionne très bien. Steve Carell déprimé et calme, Keira Knightley pétillante et inquiète. On suit leur histoire avec le compte à rebours en permanence dans la tête. Les personnages fouillent dans leur passé pour profiter du présent et du peu qu’il reste… bien entendu la fin est prévisible mais on se laisse emporter par l’histoire