Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare : Critique presse
Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare
Note moyenne
2,9
17 titres de presse
Excessif
La Croix
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
L'Express
Le Monde
Mad Movies
Télé 7 Jours
TéléCinéObs
Télérama
Ecran Large
L'Ecran Fantastique
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
La seule limite de "Jusqu'à ce que la fin nous sépare", c'est de rester un film de scénariste, un peu faible en termes d'illustration. Mais l'avantage de cet inconvénient, c'est que le scénario est supérieurement écrit et que, comme l'annonce le titre, la fin justifie les moyens.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Film grave et drôle, préoccupé et léger, "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" allie les contraires avec habileté et propose une fable somme toute assez charmante, qui redonne du sens sans en avoir l'air.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
"Melancholia" à la sauce rom' com' : la recette prend grâce à l'alchimie entre son auteur et son interprète principal, le toujours excellent Steve Carell.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Grégory Valens
Avec une économie de moyens exemplaire, Lorene Scafaria prouve avec son premier long-métrage qu'on peut encore faire un film d'anticipation par la seule grâce d'une mise en scène intelligente et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gaël Golhen
Le point de départ (...) est un cliché que le film assume à fond, tout comme son ton nonchalant et le caractère bordélique du scénario. Et pourtant, quelque chose finit par fonctionner. A force de croire à son script et à ses comédiens, à force de tracer obstinément sa route sans se soucier des règles du jeu, [la réalisatrice] réussit l'impensable.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Julien Welter
Sans être une réussite, le film est une étrangeté drôle et romantique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le geste est audacieux, mais si personne ne l'a tenté jusqu'ici, c'est qu'il est impossible à accomplir sans verser dans le ridicule, la dérision ou le pathos. La réalisatrice Lorene Scafaria, qui commence donc sa carrière par la plus définitive des conclusions, a choisi la troisième option.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
C'était plutôt une bonne surprise.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Alternant saynètes drolatiques ou émouvantes avec de jolies compositions de Steve Carrel et de Keira Knightley, ces trois dernières semaines avant le clap final s'avèrent aussi originales qu'attachantes.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) une jolie rom-com d'anticipation doublée d'une comédie noire finement troussée. Certes, le film peine à tenir le rythme et la créativité de la première demi-heure, mais pour le génie de Steve Carell et son art du burlesque guindé, on reste preneur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Nicolas Didier
C'est un beau road-movie de science-fiction (...) une fin du monde étrangement calme et, paradoxalement, très euphorisante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Marine Baillon
Un tel sujet méritait de susciter en amont de véritables interrogations.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par YannLebecque
Ce road-movie romantique ressemble à ces innombrables démarques de genre codifiées à la nausée (...) où chaque séquence semble avoir été si souvent vue qu'on oubliera le tout si tôt franchie la porte de la salle.
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un mélo sentimental qui part dans tous les sens, un brin dépressif et déprimant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Si une alchimie bizarre s'opère par endroits dans ce couple d'acteurs asymétrique, la seule réelle émotion que suscite ce morne film est le regret de voir Steve Carell passer avec entêtement à côté de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Sophia Collet
Rom-com imbue de son romantisme, "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" rate son dynamitage des conventions du genre, renforcé par le festival de gesticulations de Keira Knightley.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
La seule limite de "Jusqu'à ce que la fin nous sépare", c'est de rester un film de scénariste, un peu faible en termes d'illustration. Mais l'avantage de cet inconvénient, c'est que le scénario est supérieurement écrit et que, comme l'annonce le titre, la fin justifie les moyens.
La Croix
Film grave et drôle, préoccupé et léger, "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" allie les contraires avec habileté et propose une fable somme toute assez charmante, qui redonne du sens sans en avoir l'air.
Les Fiches du Cinéma
"Melancholia" à la sauce rom' com' : la recette prend grâce à l'alchimie entre son auteur et son interprète principal, le toujours excellent Steve Carell.
Positif
Avec une économie de moyens exemplaire, Lorene Scafaria prouve avec son premier long-métrage qu'on peut encore faire un film d'anticipation par la seule grâce d'une mise en scène intelligente et sensible.
Première
Le point de départ (...) est un cliché que le film assume à fond, tout comme son ton nonchalant et le caractère bordélique du scénario. Et pourtant, quelque chose finit par fonctionner. A force de croire à son script et à ses comédiens, à force de tracer obstinément sa route sans se soucier des règles du jeu, [la réalisatrice] réussit l'impensable.
L'Express
Sans être une réussite, le film est une étrangeté drôle et romantique.
Le Monde
Le geste est audacieux, mais si personne ne l'a tenté jusqu'ici, c'est qu'il est impossible à accomplir sans verser dans le ridicule, la dérision ou le pathos. La réalisatrice Lorene Scafaria, qui commence donc sa carrière par la plus définitive des conclusions, a choisi la troisième option.
Mad Movies
C'était plutôt une bonne surprise.
Télé 7 Jours
Alternant saynètes drolatiques ou émouvantes avec de jolies compositions de Steve Carrel et de Keira Knightley, ces trois dernières semaines avant le clap final s'avèrent aussi originales qu'attachantes.
TéléCinéObs
(...) une jolie rom-com d'anticipation doublée d'une comédie noire finement troussée. Certes, le film peine à tenir le rythme et la créativité de la première demi-heure, mais pour le génie de Steve Carell et son art du burlesque guindé, on reste preneur.
Télérama
C'est un beau road-movie de science-fiction (...) une fin du monde étrangement calme et, paradoxalement, très euphorisante.
Ecran Large
Un tel sujet méritait de susciter en amont de véritables interrogations.
L'Ecran Fantastique
Ce road-movie romantique ressemble à ces innombrables démarques de genre codifiées à la nausée (...) où chaque séquence semble avoir été si souvent vue qu'on oubliera le tout si tôt franchie la porte de la salle.
Le Journal du Dimanche
Un mélo sentimental qui part dans tous les sens, un brin dépressif et déprimant.
Les Inrockuptibles
Si une alchimie bizarre s'opère par endroits dans ce couple d'acteurs asymétrique, la seule réelle émotion que suscite ce morne film est le regret de voir Steve Carell passer avec entêtement à côté de sa carrière.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Critikat.com
Rom-com imbue de son romantisme, "Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare" rate son dynamitage des conventions du genre, renforcé par le festival de gesticulations de Keira Knightley.