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Votre avis sur The Darkness ?
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Plus épouvante qu’horreur, ce film n’a rien d’original quant aux ingrédients : paranormal, légendes indiennes, esprits maléfiques, possession. Même si cela reste très classique, l’ambiance est là et on a cependant envie de savoir comment cela se termine.
Fêtons le cinéma
The Darkness constitue certainement le film le plus faible de son auteur, Greg McLean, la faute à une forme pauvre qui ne laisse percevoir aucune appropriation du genre investi, sinon l’exécution mécanique d’un cahier des charges. Tout cela est assez longuet, tout cela ne fait guère peur, en dépit d’un segment final plutôt réussi.
Néanmoins, même raté, ce long métrage atteste la persistance des thématiques qui définissent le geste cinématographique de McLean : confronter une communauté fragmentée – l’embarcation de touristes dans Rogue, le groupe d’amis dans Wolf Creek et Jungle, les collègues de bureau dans The Belko Experiment, la famille dans le film qui nous intéresse, The Darkness – à une entité supérieure et qui met en péril son existence, à l’incarnation physique d’une totalité mythique en rapport direct avec la création du monde. Ce sont les Indiens Anasazis qui incarnent la menace, cinq esprits maléfiques qui se plaisent à tourmenter les êtres en les confrontant à leur ombre, c’est-à-dire à leurs vices, à leur part cachée ; le film prend aussitôt l’aspect d’un tribunal devant lequel est convoquée la famille, une puissance qui rouvre les blessures passées, dévoile les secrets, exhibe la faiblesse profonde de l’homme. Bronny Taylor se demande d’ailleurs si les perturbations qui viennent déstabiliser son quotidien ne sont pas les signes d’un karma qui la raccorderait, elle et son mari, à l’idée de faute primitive, cette conviction qu’ils sont responsables de l’autisme de Michael.
Car le long métrage introduit un personnage de jeune garçon autiste, ce qui lui permet de s’éloigner des sentiers battus pour proposer autre chose, une communication entre les esprits et le trouble en question en raison d’un rapport différent aux autres et au monde. D’autant que l’autisme n’a pas pour finalité d’être ici représenté comme une pathologie, mais constitue une clef donnant accès à un autre niveau de réalité, ce qui est certainement idéaliste, ce qui est certainement faux, mais qui a le mérite de brosser les traits d’un personnage qui participe à l’intrigue, qui la construit.
The Darkness est un film mineur, une ombre dans la petite carrière de son metteur en scène, un film qui dissémine néanmoins sous une forme convenue une réflexion sur la culpabilité parentale révélée par la confrontation à la violence des mythes primitifs.
Néanmoins, même raté, ce long métrage atteste la persistance des thématiques qui définissent le geste cinématographique de McLean : confronter une communauté fragmentée – l’embarcation de touristes dans Rogue, le groupe d’amis dans Wolf Creek et Jungle, les collègues de bureau dans The Belko Experiment, la famille dans le film qui nous intéresse, The Darkness – à une entité supérieure et qui met en péril son existence, à l’incarnation physique d’une totalité mythique en rapport direct avec la création du monde. Ce sont les Indiens Anasazis qui incarnent la menace, cinq esprits maléfiques qui se plaisent à tourmenter les êtres en les confrontant à leur ombre, c’est-à-dire à leurs vices, à leur part cachée ; le film prend aussitôt l’aspect d’un tribunal devant lequel est convoquée la famille, une puissance qui rouvre les blessures passées, dévoile les secrets, exhibe la faiblesse profonde de l’homme. Bronny Taylor se demande d’ailleurs si les perturbations qui viennent déstabiliser son quotidien ne sont pas les signes d’un karma qui la raccorderait, elle et son mari, à l’idée de faute primitive, cette conviction qu’ils sont responsables de l’autisme de Michael.
Car le long métrage introduit un personnage de jeune garçon autiste, ce qui lui permet de s’éloigner des sentiers battus pour proposer autre chose, une communication entre les esprits et le trouble en question en raison d’un rapport différent aux autres et au monde. D’autant que l’autisme n’a pas pour finalité d’être ici représenté comme une pathologie, mais constitue une clef donnant accès à un autre niveau de réalité, ce qui est certainement idéaliste, ce qui est certainement faux, mais qui a le mérite de brosser les traits d’un personnage qui participe à l’intrigue, qui la construit.
The Darkness est un film mineur, une ombre dans la petite carrière de son metteur en scène, un film qui dissémine néanmoins sous une forme convenue une réflexion sur la culpabilité parentale révélée par la confrontation à la violence des mythes primitifs.
Mais qu'est-ce que Kevin Bacon a bien pu aller foutre dans ce truc ?!?
Soit il lu le scrip-t un soir de cuite, soit il avait un sacré arriéré d'impôts à liquider...
Le film est un enchaînement de situations prévisibles et clichées, on a l'impression d'avoir toujours plusieurs scènes d'avance sur les scénaristes, avec un final complètement foireux qui ferait passer ceux de 'Poltergeist' 2 et 3 pour des monuments.
Le scénario n'a absolument aucun intérêt, et les rares fois où il essaie de trouver un peu d'originalité, on tombe dans la ringardise la risible (ou pathétique, au choix) qui soit (la fin).
C'est d'autant plus dommageable que les acteurs sont excellents, et croient vraiment à toutes ces foutaises. Les bienheureux !
Les effets spéciaux sont soignés mais pas assez nombreux pour vraiment emballer les rétines et donner le change par rapport à un scrip-t écrit sur un coin de table entre deux bières.
Reste un film à peu près divertissant par moments, surtout grâce à des acteurs qui ont occulté le fait que ce qu'il y a de vraiment terrifiant, c'est en fait la qualité du scénar qu'on leur a confié...
Soit il lu le scrip-t un soir de cuite, soit il avait un sacré arriéré d'impôts à liquider...
Le film est un enchaînement de situations prévisibles et clichées, on a l'impression d'avoir toujours plusieurs scènes d'avance sur les scénaristes, avec un final complètement foireux qui ferait passer ceux de 'Poltergeist' 2 et 3 pour des monuments.
Le scénario n'a absolument aucun intérêt, et les rares fois où il essaie de trouver un peu d'originalité, on tombe dans la ringardise la risible (ou pathétique, au choix) qui soit (la fin).
C'est d'autant plus dommageable que les acteurs sont excellents, et croient vraiment à toutes ces foutaises. Les bienheureux !
Les effets spéciaux sont soignés mais pas assez nombreux pour vraiment emballer les rétines et donner le change par rapport à un scrip-t écrit sur un coin de table entre deux bières.
Reste un film à peu près divertissant par moments, surtout grâce à des acteurs qui ont occulté le fait que ce qu'il y a de vraiment terrifiant, c'est en fait la qualité du scénar qu'on leur a confié...
Le gros problème de The Darkness est qu'il est tourné comme un film normal, alors que les épouvantes/horreur doivent avoir un schéma bien précis sinon ils peuvent être vite hors sujet ou ne pas satisfaire les fans du genre. Les premières "frayeurs" apparaissent trop classiquement, par une porte qui claque, un robinet qui s'ouvre et des apparitions/ombres, rien de bien transcendant. L'histoire et l'origine des "démons" étaient pourtant sympathiques. Kevin Bacon était intéressant. Mais les autres membres de la famille ne suivent pas, surtout la fille hystérique qui est plus énervant qu'autre chose. Enfin bof ! Quelques bonnes idées, c'est tout !
Bof, The Darkness est regardable mais mal fait et ne fait pas peur, je suis quelqu'un de très froussard, je panique au moindre bruit quand je suis dans mon lit, mais là, j'ai pas eu peur une seule seconde, le seul point positif au film ce sont ces acteurs qui jouent très bien, en même temps il y a Kevin Bacon au casting donc bon, le scénario est incohérent et plus prévisible tu meurs, c'est un film qui se rapproche plus du Thriller psychologique que de l'horreur pour moi.
Tout d'abord, je tiens à préciser que ce synopsis prête à confusion. Je m'attendais à une histoire de démons malfaisants qui prennent l'apparence des peurs pour s'en nourrir : il n'en est rien. On se retrouve avec un scénario classique, bourré de préjugés. Le film reste plaisant, mais je le conseillerais plus à de jeunes gens qui n'ont pas l'habitude des films d'épouvante/horreur, un film que regardent les pré-ados le soir d'Halloween en somme. On n'éprouve aucun frisson, sauf peut-être à la fin, tellement on a honte des mauvais effets spéciaux et du
spoiler:
happy-end
mal géré. Heureusement que Kevin Bacon rattrape le tout.
mal géré. Heureusement que Kevin Bacon rattrape le tout.
Rien d'original ici, une histoire de possession/maison hantée avec tous les clichés possibles. Les acteurs ne sont pas convaincants du tout. En regardant ce film on a beau chercher le petit truc qui va faire que.....mais finalement non.
Ah les productions Blumhouse tout une histoire , désormais Jason Blum est un nom à connaitre dans le cinéma horrifique . On navigue entre le très réussi ( Sinister et Oculus) et l' insipide ( les deux derniers Paranormal Activity parmi tant d' autres)
The Darkness , vas malheureusement faire partie de cette seconde catégorie. Et c ' est d ' autant rageant , parce que tout était réunis pour faire de ce métrage une oeuvre efficace.
Mis en scène par un réalisateur pourtant prometteur ( Greg Mclean) qui à su par le passé faire parler de lui avec une oeuvre sans concession : Wolf Creek.
Le casting aurait pu aussi être un gros atout pour le film. Radha Mitchell et Kevin Bacon ( abonnés au productions fantastiques décidément ) en tete d ' affiche , on aurait pu tomber plus mal non ? De vrais atouts de distribution donc (hormis Sami Mazouz qui manque de crédibilité en enfant autiste ).
Les intentions sont ici louables , tant on voit qu ' un effort a été fait sur l ' écriture des personnages. En effet on s' attache à cette famille , aussi clichée soit elle , car on prend le temps d ' épaissir leur traits de caractères.
Alors oui , le film partait sur de bonnes bases , mais pourtant le rendu final lui prend rapidement l ' eau et ce dés les premières minutes.
Hormis un classicisme effarant ( des démons s ' en prennent à une famille comme c ' est original ! ) , et un scénario sur pilote automatique tout du long , ce qui fait peine à voir dans ce film c' est bien son manque d ' audace.
En effet , The Darkess ne fait rien pour sortir des sentier battus , tout semble réchauffé tant la sensation de déjà vu nous hante tout le long.
Venant de Greg Maclean , le film ne peut paraître que comme un incident de parcours tant on ne sent à aucun moment le talent de metteur en scène du bonhomme. L' homme s ' est fourvoyer en réalisant un film d ' horreur surnaturel lambda, sans aucune saveur tant il ne fait que reprendre le schéma éculé de ses aînés ( on pense notamment à Sinister ou Poltergeist). Pas une once d 'originalité donc.
De plus , il y ' a de gros soucis dans l ' écriture. Les aberrations scénaristiques et les idées frisant le ridicule sont à la pelle ( encore une fois les protagonistes trouvent des explications aux phénomènes qu ' ils vivent en quelques clics sur internet ! ) , la réalisation sans aucunes fulgurances , et les scènes sensés nous effrayer sont soporifiques. C est simple à aucun moment on ne craint pour la vie des personnages tant la menace et les enjeux dramatiques sont inexistants. Ajoutez à cela un final qui n ' évite pas le happy ending fadasse. Aucun rebondissement notable ne viendrait sauver l' ensemble.
Il reste au final peut de choses à sauver du naufrage , si ce n' est quelques brèves séquences sortant brièvement de notre léthargie ( la scène de la salle de bain) , des acteurs qui tiennent la route , et une bande son stressante qui fait habilement le travail.
Un film qui ne pourra surprendre que les spectateurs les moins exigeants donc, peu habitués à ce type de productions. Pour les autres ce sera la douche froide hélas.
The Darkness , vas malheureusement faire partie de cette seconde catégorie. Et c ' est d ' autant rageant , parce que tout était réunis pour faire de ce métrage une oeuvre efficace.
Mis en scène par un réalisateur pourtant prometteur ( Greg Mclean) qui à su par le passé faire parler de lui avec une oeuvre sans concession : Wolf Creek.
Le casting aurait pu aussi être un gros atout pour le film. Radha Mitchell et Kevin Bacon ( abonnés au productions fantastiques décidément ) en tete d ' affiche , on aurait pu tomber plus mal non ? De vrais atouts de distribution donc (hormis Sami Mazouz qui manque de crédibilité en enfant autiste ).
Les intentions sont ici louables , tant on voit qu ' un effort a été fait sur l ' écriture des personnages. En effet on s' attache à cette famille , aussi clichée soit elle , car on prend le temps d ' épaissir leur traits de caractères.
Alors oui , le film partait sur de bonnes bases , mais pourtant le rendu final lui prend rapidement l ' eau et ce dés les premières minutes.
Hormis un classicisme effarant ( des démons s ' en prennent à une famille comme c ' est original ! ) , et un scénario sur pilote automatique tout du long , ce qui fait peine à voir dans ce film c' est bien son manque d ' audace.
En effet , The Darkess ne fait rien pour sortir des sentier battus , tout semble réchauffé tant la sensation de déjà vu nous hante tout le long.
Venant de Greg Maclean , le film ne peut paraître que comme un incident de parcours tant on ne sent à aucun moment le talent de metteur en scène du bonhomme. L' homme s ' est fourvoyer en réalisant un film d ' horreur surnaturel lambda, sans aucune saveur tant il ne fait que reprendre le schéma éculé de ses aînés ( on pense notamment à Sinister ou Poltergeist). Pas une once d 'originalité donc.
De plus , il y ' a de gros soucis dans l ' écriture. Les aberrations scénaristiques et les idées frisant le ridicule sont à la pelle ( encore une fois les protagonistes trouvent des explications aux phénomènes qu ' ils vivent en quelques clics sur internet ! ) , la réalisation sans aucunes fulgurances , et les scènes sensés nous effrayer sont soporifiques. C est simple à aucun moment on ne craint pour la vie des personnages tant la menace et les enjeux dramatiques sont inexistants. Ajoutez à cela un final qui n ' évite pas le happy ending fadasse. Aucun rebondissement notable ne viendrait sauver l' ensemble.
Il reste au final peut de choses à sauver du naufrage , si ce n' est quelques brèves séquences sortant brièvement de notre léthargie ( la scène de la salle de bain) , des acteurs qui tiennent la route , et une bande son stressante qui fait habilement le travail.
Un film qui ne pourra surprendre que les spectateurs les moins exigeants donc, peu habitués à ce type de productions. Pour les autres ce sera la douche froide hélas.
The Darkness est tout simplement un film boiteux et paresseux. Il a les plus petites graines de potentiel dans l'aspect de l'enfant autiste. Un film d'horreur qui utilise un enfant atteint de ce trouble et qui a une sorte de connexion psychique ou surnaturelle avec les choses pourrait constituer une bonne histoire pour un film mais ce n'est pas le cas ici. C' est un film générique jusqu'à son titre vous imaginez les visages qui s'illuminent lorsque les acteurs se font dire qu'ils vont jouer dans un nouveau film d'horreur produit par Jason Blum puis vient un scenario appelé The Darkness. Ce ne sont pas nécessairement tous de mauvais acteurs Kevin Bacon, Radha Mitchell, et même Paul Reiser que j'ai vu faire un excellent travail dans de grands films par de grands réalisateurs. Et bien sûr le fils qui est autiste bien qu'on ne le voit pas au début du film qui se déroule au Grand Canyon où il se trouve à plonger dans un trou et à trouver des rochers effrayants. Le réalisateur Greg McLean utilise davantage l'autisme pour garder les choses dans la première moitié du film. L'enfant est dirigé pour être joli en une dimension et il y a quelques moments qui sont juste ridiculement pauvres. Il n'y a rien d'original le scénario est incroyablement paresseux s'appuyant sur des jumpscares et sur la partition musicale. C'est une autre famille aisée dans une grande et belle maison que vous n'aurez jamais les moyens de vous offrir dans une intrigue très basique qui n'a aucune substance. Cela a été fait à maintes reprises mais mieux encore avec Poltergeist, Amityville, The Shining et la liste est longue. De grands talents sont gaspillés ici notamment Kevin Bacon. Le genre a eu de bien meilleures entrées ces dernières années il n'y a donc tout simplement aucune excuse à cela...
Malgré de bonnes intentions, The Darkness reste trop timide dans son scénario et son déroulement. Le manque d'intensité général est probablement du a son montage pas toujours inspiré. Un film divertissant mais qui sent malheureusement le déjà vu.
Film , sans style pour se démarquer , ou l'on ressort les grosses ficelles usées jusqu'à la corde des maisons hantées : assez vainement d'ailleurs vu qu'il ne fait pas peur ...
Reste qu'il est quand même bien fait et que les acteurs font correctement leur boulot.
Reste qu'il est quand même bien fait et que les acteurs font correctement leur boulot.
"The Darkness" est un film d'horreur qui explore les thèmes de la possession et de la malédiction, en s'inspirant de légendes amérindiennes. Une famille emménage dans une nouvelle maison en Arizona et découvre rapidement qu'une présence maléfique s'est invitée dans leurs murs.
Le film parvient à créer une ambiance pesante et oppressante, notamment grâce à une photographie sombre et à une bande-son discrète mais efficace.
Les séquences les plus effrayantes sont visuellement réussies, avec des créatures numériques plutôt convaincantes.
L'intrigue souffre de nombreux clichés du genre, et les rebondissements sont souvent faciles à anticiper.si on parle des personnages ils manquent de profondeur et sont parfois stéréotypés, ce qui rend difficile de s'attacher à eux.
Enfin Si vous êtes fan du genre et que vous appréciez les ambiances gothiques, vous devriez trouver votre compte. Cependant, ne vous attendez pas à une œuvre originale et mémorable.
Le film parvient à créer une ambiance pesante et oppressante, notamment grâce à une photographie sombre et à une bande-son discrète mais efficace.
Les séquences les plus effrayantes sont visuellement réussies, avec des créatures numériques plutôt convaincantes.
L'intrigue souffre de nombreux clichés du genre, et les rebondissements sont souvent faciles à anticiper.si on parle des personnages ils manquent de profondeur et sont parfois stéréotypés, ce qui rend difficile de s'attacher à eux.
Enfin Si vous êtes fan du genre et que vous appréciez les ambiances gothiques, vous devriez trouver votre compte. Cependant, ne vous attendez pas à une œuvre originale et mémorable.
C'est l'histoire d'une famille composée de quatre membres, les parents et les deux enfants, fille et garçon.
Le garçon et autiste et vie dans son monde et un jour ou ils sont en vacances dans le grand canyon le gosse tombe dans un trou et comme par hasard, il tombe dans une caverne ou est stocké des esprits indiens enfermés dans des pierres qui n'ont qu'une seule envie sortir et hanté les pauvres gens qui l'ont libéré.
Le cauchemar commence pour cette famille.
Histoire/scénario : ce film n'invente rien et on a déjà vu ce genre de film un nombre incalculable de fois, mais je trouve que ça reste efficace. Le seul problème, c'est que l'on connait les ficelles par cœur.
Acteurs : on retrouve avec plaisir :
– Kevin Bacon bien connu qui a joué entre autres dans tremors, appolo 13 et L'expérience interdite et bien d'autres films très bons.
-Radha Mitchell qui a joué entre autres dans silent hill et pitch black.
– Paul Reiser qui a joué dans pas mal de films, mais plus en second rôle.
– Ming-Na Wen qui a joué dans beaucoup de séries comme Marvel les agents du shields et le livre de Boba Fett et Street Fighter avec Van dame, oui, c'est Shun-li.
Quant aux autres, je ne les ai jamais vus, mais dans l'ensemble, tous se débrouillent bien.
Effets spéciaux/décors : pas mal de petits effets spéciaux qui sont convaincants et se fondent bien dans le film et la plupart du film se passe dans la maison de bourgeois , un petit château pour une famille de quatre personnes, c'est bien les Américains.
Le film est dans l'ensemble agréable à regarder, le seul problème est que c'est du vu et revu depuis des années, il n'y a aucune scène qui sort des clichés des films d'horreur et c'est bien dommage.
1 h 30 d'un film propre et avec de bons acteurs, mais ne vous attendez pas à de l'innovation. Dommage
Le garçon et autiste et vie dans son monde et un jour ou ils sont en vacances dans le grand canyon le gosse tombe dans un trou et comme par hasard, il tombe dans une caverne ou est stocké des esprits indiens enfermés dans des pierres qui n'ont qu'une seule envie sortir et hanté les pauvres gens qui l'ont libéré.
Le cauchemar commence pour cette famille.
Histoire/scénario : ce film n'invente rien et on a déjà vu ce genre de film un nombre incalculable de fois, mais je trouve que ça reste efficace. Le seul problème, c'est que l'on connait les ficelles par cœur.
Acteurs : on retrouve avec plaisir :
– Kevin Bacon bien connu qui a joué entre autres dans tremors, appolo 13 et L'expérience interdite et bien d'autres films très bons.
-Radha Mitchell qui a joué entre autres dans silent hill et pitch black.
– Paul Reiser qui a joué dans pas mal de films, mais plus en second rôle.
– Ming-Na Wen qui a joué dans beaucoup de séries comme Marvel les agents du shields et le livre de Boba Fett et Street Fighter avec Van dame, oui, c'est Shun-li.
Quant aux autres, je ne les ai jamais vus, mais dans l'ensemble, tous se débrouillent bien.
Effets spéciaux/décors : pas mal de petits effets spéciaux qui sont convaincants et se fondent bien dans le film et la plupart du film se passe dans la maison de bourgeois , un petit château pour une famille de quatre personnes, c'est bien les Américains.
Le film est dans l'ensemble agréable à regarder, le seul problème est que c'est du vu et revu depuis des années, il n'y a aucune scène qui sort des clichés des films d'horreur et c'est bien dommage.
1 h 30 d'un film propre et avec de bons acteurs, mais ne vous attendez pas à de l'innovation. Dommage
un sentiment de déjà vu dans ce film. Une famille part en vacances et ramene des vieux demons indiens.
certes le casting est interessant avec kevin bacon et radha mitchel (speciliste du film d'horreur) mais on s'ennuie et les rares effets speciaux ne vous font pas herisser les poils.
la fin est limite ratee on se demande meme que vient faire l'exorciste espagnole.
on est loi des conjurings.
a oublier
certes le casting est interessant avec kevin bacon et radha mitchel (speciliste du film d'horreur) mais on s'ennuie et les rares effets speciaux ne vous font pas herisser les poils.
la fin est limite ratee on se demande meme que vient faire l'exorciste espagnole.
on est loi des conjurings.
a oublier
L'idée de base est pas mal, il y avait moyen de plus creuser sur la légende... Dommage. Des mini frayeurs en mode déjà vue et une fin bâclée ... Bref si on veut perdre un peu de temps et qu'on a rien à voir pourquoi pas...
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