AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
1,9
392 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Darkness ?
5
1 critique
4
1 critique
3
8 critiques
2
31 critiques
1
12 critiques
0
6 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Je n'attendais rien de particulier de ce film et, même s'il n'évite pas certains clichés de ce genre de production, une ambiance plus qu'une tension est créée tout au long de cette histoire. On ne voit pas grand chose, tout est suggéré... Pas mal. Une fin alternative est proposée en bonus (
spoiler:
très pessimiste comparée au happy end de la version retenue
).
).
Très sincèrement j'ai accroché au départ du film, mais, très vite je me suis ennuyé. Le rythme est bien trop mou pour rester accrocheur.
Un peu "classique" comme thème.
Je ne vous le conseil pas.
Un peu "classique" comme thème.
Je ne vous le conseil pas.
On attend savamment les scènes flippante mais malheureusement trop vue auparavant le film semble fade et kevin bacon qui a l'impression d'avoir une perruque fait tous pour sauver la situation tombe cette fois ci à plat avec une Radha Mitchell transparente tous comme la réalisation si le scénario démarre bien plutot malin, avec des pierres maléfiques des indiens d'anasazi qui perturbe la famille modèle qui a évidemment son lot de malheur, mais rien de bien effrayant dans le style vaut mieux The Conjuring 1 et 2, un film d'horreur d'une banalité affligeante égalité avec la malédiction de la Dame blanche qui était du même acabit à quelques choses près. Pas d'originalité et fort ennuyeux.
Un film que l'on choisi d'abord pour ces acteurs, sachant que ce sont des bons dans leur domaine, ensuite, une histoire un peu flippante pourquoi pas. Résultat, on n'arrive pas à rentrer complétement dans cette histoire, tous les ingrédients sont là pour faire un bon film à suspens, avec quelques effets horrifiques, mais, rien n'y fait, on passe à côté. Est-ce que les acteurs ont cru eux mêmes dans ce projet. Ce qu'il en reste est un film qui se laisse regarder, mais qui ne nous emmène pas réellement là où on voudrait. Jamais on ne tremble pour cette famille, jamais on monte d'un cran dans le suspens, tout cela manque de punch, de psychose, voir même d'audace. Même le moment final où l'on chasse les démons de la maison reste presque bâclé, un petit tour et puis s'en vont, alors qu'on nous dit qu'ils sont super puissant. En voulant se démarquer, le réalisateur à réussit à s'écarter de son but initial, et du coup passe à côté de son film, nous aussi.
nul de chez nul. je viens de le voir à la télé août 2021 c'est un film qui ne sert absolument à rien . pas un film d'horreur ni thriller ni fanrastique ni suspens. nada. à la rigueur catégorie perte de temps.
Nicothrash
Point de départ dans le Grand Canyon, de belles images, une ambiance qui s'installe et qui n'est pas sans rappeler la saga "la colline à des yeux", forcément et puis fin des réjouissances ! Retour en ville et dans une maison plus ou moins hantée avec un schéma et des presque jumpscares tout ce qu'il y a de plus classique. J'avais placé quelques espoirs avec la présence de Kevin Bacon au casting et ce malgré des premiers retours peu emballés et j'aurais mieux fait de m'abstenir. Non pas que ce soit si mauvais mais c'est loin d'être palpitant et surtout, à aucun moment c'est effrayant, tout est attendu, les ficelles du genre sont de sortie et si la réalisation tient la route durant une bonne partie du métrage, elle s'effondre littéralement sur la fin. Pour finir, si le casting est satisfaisant dans l'ensemble, le jeune autiste n'est pas du tout dans le coup. Un tout petit film d'épouvante sans saveur, on attend quand même beaucoup mieux de Greg McLean dorénavant ...
On a ici un film que j'ai trouvé bien classique, qui s'approprie un thème extrêmement porteur de l'horreur et même des thrillers en général: l'attaque d'une famille au sein de l'endroit au sein duquel elle devrait être en théorie le plus en sécurité c'est à dire son foyer, sa maison...et cela génère une tension dramatique qui fait que ce genre de film, s'il est à peu près bien réalisé (et c'est le cas ici) est efficace pour atteindre son objectif c'est à dire faire peur. L'originalité principale de ce film réside dans la menace qui s'immisce dans la vie de cette famille, c'est à dire des esprits anasazis...Après, on a droit à tous les poncifs habituels du genre (le père protecteur mais faillible, l'enfant menacé...), donc c'est peu original...Mais si votre objectif est de voir un petit film d'horreur sans prise de tête, allez-y...
RedArrow
Tiens, tiens, les esprits démoniaques des légendes indiennes... Le rouleau compresseur de la production horrifique Blumhouse ne nous avait pas encore fait le coup ! Cet oubli est désormais réparé avec ce "The Darkness" particulièrement lamentable.
Comme d'habitude, une famille remplie de traumas faciles (le père infidèle, la mère alcoolique, la fille anorexique, le garçon autiste) devient donc la cible d'attaques de forces surnaturelles mais cette fois c'est à cause du fils qui a eu la mauvaise d'idée d'embarquer des galets indiens trouvés dans une grotte. Et les "esprits" qui sont fournis avec ces pierres vont se révéler extrêmement fourbes.
Déjà, ces saligauds prennent l'apparence d'animaux pour paraître plus sympas, ce qui donne à l'écran des scènes franchement hilarantes où la mère de famille croise un loup dans sa maison de banlieue chic et où une mamie se retrouve avec un énorme crotale sur sa table de cuisine (bizarrement, l'esprit dit du buffle ne se matérialise pas, ça aurait pu être marrant un énorme buffle dans le salon !). Ensuite, ils n'ont pas vraiment une hygiène irréprochable, ils sentent apparemment très mauvais et laissent traîner leurs sales pattes pleines de suie partout dans la maison (et souvent sur la jeune fille adolescente d'ailleurs, ils sont toujours dans le coin quand un membre féminin de la famille est dans la salle de bains). Surtout, à part produire de la fumée noire en ouvrant des entrées sur des dimensions diaboliques, ben, ils ne font pas grand chose et sont désespérément peu présents à l'écran, se contentant seulement de vampiriser et d'exacerber les maux de la famille.
Pendant ce temps-là, le spectateur, lui, est consterné devant cette énième déclinaison prémâchée de film de maison hantée par des spectres qui n'ont d'original que leurs origines indiennes. Tous les clichés du genre y passent (il y a même un exorcisme ridicule en bout de course), il n'y a pas à dire, ils sont très forts chez Blumhouse pour nous resservir la même soupe indigeste. L'absence d'effroi de "The Darkness" laisse très vite place à un sentiment de lassitude qui nous ferait envoyer tous ses participants devant et derrière la caméra dans la dimension maléfique la plus proche.
Mais quelle mouche a donc piqué l'excellent Greg McLean ("Solitaire", Wolf Creek") pour qu'il aille se perdre dans un truc pareil ? De même, qu'est-ce qui a bien pu attirer tous ces noms prestigieux dans ce produit purement commercial et dépourvu de toute ambition (Kevin Bacon et Radha Mitchell en tête) ? Les réponses à ces questions sont les vraies ténèbres de "The Darkness".
Comme d'habitude, une famille remplie de traumas faciles (le père infidèle, la mère alcoolique, la fille anorexique, le garçon autiste) devient donc la cible d'attaques de forces surnaturelles mais cette fois c'est à cause du fils qui a eu la mauvaise d'idée d'embarquer des galets indiens trouvés dans une grotte. Et les "esprits" qui sont fournis avec ces pierres vont se révéler extrêmement fourbes.
Déjà, ces saligauds prennent l'apparence d'animaux pour paraître plus sympas, ce qui donne à l'écran des scènes franchement hilarantes où la mère de famille croise un loup dans sa maison de banlieue chic et où une mamie se retrouve avec un énorme crotale sur sa table de cuisine (bizarrement, l'esprit dit du buffle ne se matérialise pas, ça aurait pu être marrant un énorme buffle dans le salon !). Ensuite, ils n'ont pas vraiment une hygiène irréprochable, ils sentent apparemment très mauvais et laissent traîner leurs sales pattes pleines de suie partout dans la maison (et souvent sur la jeune fille adolescente d'ailleurs, ils sont toujours dans le coin quand un membre féminin de la famille est dans la salle de bains). Surtout, à part produire de la fumée noire en ouvrant des entrées sur des dimensions diaboliques, ben, ils ne font pas grand chose et sont désespérément peu présents à l'écran, se contentant seulement de vampiriser et d'exacerber les maux de la famille.
Pendant ce temps-là, le spectateur, lui, est consterné devant cette énième déclinaison prémâchée de film de maison hantée par des spectres qui n'ont d'original que leurs origines indiennes. Tous les clichés du genre y passent (il y a même un exorcisme ridicule en bout de course), il n'y a pas à dire, ils sont très forts chez Blumhouse pour nous resservir la même soupe indigeste. L'absence d'effroi de "The Darkness" laisse très vite place à un sentiment de lassitude qui nous ferait envoyer tous ses participants devant et derrière la caméra dans la dimension maléfique la plus proche.
Mais quelle mouche a donc piqué l'excellent Greg McLean ("Solitaire", Wolf Creek") pour qu'il aille se perdre dans un truc pareil ? De même, qu'est-ce qui a bien pu attirer tous ces noms prestigieux dans ce produit purement commercial et dépourvu de toute ambition (Kevin Bacon et Radha Mitchell en tête) ? Les réponses à ces questions sont les vraies ténèbres de "The Darkness".
videoman29
vec « The darkness », le réalisateur Américain Greg McLean (« Wolf Creek ») nous propose un petit thriller horrifique de construction et d'inspiration très classique. Le début est plutôt agréable à suivre et on se dit qu'on va enfin avoir droit à un film qui fait réellement peur. On suit donc avec envie la mise en place de l'intrigue, d'autant qu'elle se déroule au cœur du grand Canyon et que le cinéaste en profite pour nous glisser quelques sublimes images touristiques. Du coup, la tension se relâche, la méfiance s'envole et on laisse la confiance s'installer (un peu trop vite, avec le recul). Du coup, les héros quittent les rives magiques du Colorado pour retourner dans leur petit pavillon de banlieue sans grand intérêt... Et c'est le drame ! Le scénario qui, jusque là s'en sortait honorablement, se met à patiner gravement dans la semoule. Les soit-disant fantômes sont tristes à mourir, leurs rares apparitions sont plates, ultra-prévisibles et condamnent petit à petit le spectateur à l'ennui. Pourtant, quelques effets relativement effrayants parviennent à surnager et nous évitent de sombrer dans le désintérêt le plus total. Ils restent malgré tout bien trop discrets pour nous épargner la déception d'être passé à côté d'un bon film. A signaler, faute de mieux, un casting satisfaisant, emmené par Kevin Bacon qu'on prend toujours plaisir à retrouver. C'est pauvre, mais on survivra !
Eric C.
Bof, malgré la présence des solides et toujours excellents Kévin Bacon et Raddah Mitchell un film un peu inutile aux senteurs multiples de déjà vu en passant par la civilisation indienne disparue et ses démons et esprits, ceux ci qui ne demandent qu'à se réveiller alors su'ils étaient emprisonnés. On ajoute une couche avec l'enfant différent qui lui voit des choses que d'autres ne voient pas, la maison qui peu à peu se révèle hantée et les esprits frappeurs. Encore un poncif avec la famille un peu en rupture qui sera soudée face à k'adversité et aux épreuves, au passage un conseil pour les couples en crise, comme thérapie habitez une maison hantée. Et un final en apothéose avec un exorcisme au passage avec une grand mère hispanique et sa petite fille pratiquement sortie de nulle part, presque les pages jaunes, et une scène de desenvoûtement d'un ridicule total quasiment risible. Un scénario donc copie collé sans aucune inventivité, un final bâclé, un petit film qui heureusement bénéficie de la prestation très correcte de 2 acteurs chevronnés qui sauvent un peu l'ensemble.
Frédéric M.
Vu sur Netflix, le film ne vole pas haut, malgré un bon casting (Kevin Rada), l'alchimie des acteurs ne fonctionne pas. Le film a un rythme sacadé, on est pas épargné des clichés et autres jumpscare inutiles. Une belle déception après une affiche prometteuse.
Un navet ni plus ni moins.
Ce film est une succession de tous les clichés de film d'horreur ! Le père absent, la mère débordée, la grande sœur hystérique, le petit frère autiste... Sans parler des animaux qui ont un comportement étrange, les draps qui se soulèvent comme des fantômes, les portes ouvertes par des esprits... Bref cliché sur cliché pour un film qui pourrait facilement être une parodie de film d'horreur.
Ce film est une succession de tous les clichés de film d'horreur ! Le père absent, la mère débordée, la grande sœur hystérique, le petit frère autiste... Sans parler des animaux qui ont un comportement étrange, les draps qui se soulèvent comme des fantômes, les portes ouvertes par des esprits... Bref cliché sur cliché pour un film qui pourrait facilement être une parodie de film d'horreur.
« The Darkness » est un bon film d’horreur, qui a la particularité d’aborder l’autisme comme toile de fond. Le scénario est plutôt moyen et la fin est bâclée, car trop vite expédiée et de manière trop simpliste. La mise en scène est correcte même si le réalisateur fait appel aux effets parmi les plus classiques du genre. Le casting offre de bonnes prestations dans l’ensemble, notamment Kevin Bacon et les enfants. L’histoire est plaisante, mais n’apporte aucune innovation. Un film qui se tient, donc on lui donne la moyenne avec un petit plus par rapport aux thèmes sous-jacents de la trame principale.
Film qui ne prend pas on s’ennuie, tout y est téléphoné sa manque de conviction et même les acteurs n'y croient pas eux même se demandant se qu'ils font la
L'histoire de vieux esprits revanchards qui viennent s'immiscer dans la vie d'une famille américaine moyenne qui les ramenés d'un pic-nic dans le Grand Canyon. Un postulat fort intéressant, avec un début d'histoire bien sympa (et Kevin Bacon). Hélas, malgré l'action, l'histoire s'enlise dans les longueurs ; je regrette aussi de ne pas avoir sursauté plus que cela, mais surtout, le film use et abuse de ficelles surannées et complètement téléphonées.
spoiler:
La fin est par ailleurs "expédiée" de façon bien trop simple... Dommage !
A voir pour les paysages, la petite histoire... et Kevin Bacon ;-)
A voir pour les paysages, la petite histoire... et Kevin Bacon ;-)
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse